dimanche 6 janvier 2008

Mon histoire


Tout a commencé après mon divorce qui a eu lieu, il y a plus de 15 ans maintenant. Quand elle est partie ce fut un vrai traumatisme pour moi, même si nos relations n'allaient plus du tout depuis pas mal de temps et que j'en étais réduit à la masturbation. J'ai alors commencé à faire du Minitel, et à aller sur les messageries roses.

Puis j'ai découvert les messageries de domination. Je ne me suis donc pris pour un dominateur et j'ai commencé à dialoguer avec des femmes soumises ou qui faisaient semblant de l'être. Je me sentais réconforter dans mon rôle de mâle et je prenais ainsi, non pas une revanche, mais cela compensé en quelque sorte le fait qu'elle m'avait abandonné.

Quand elle est partie, elle avait laissé derrière elle quelque collant en laine de gymnastique. Je me suis surpris à les mettre et à me masturber dedans. J'avais un peu-on de mois car j'avais toujours méprisé les travestis et les pédés. Je me disais que je faisais cela à cause de mon fétichisme pour la laine.

J'ai fini par rencontrer un certain nombre de femmes soumises et à les dominer. Ce ne devait pas être le dominateur qu'elles recherchaient parce que les ces relations ne sont jamais allées au-delà de 3 ou 4 séances. Je suis quand même allé assez loin dans ce jeu, car en plus de les utiliser comme des objets sexuels, de les attacher, de leur faire porter des godes, de les fesser, de leur imposer des pinces, j'ai une fois pratiqué l’uro en pissant sur deux d’entre elles et lui en m'asseyant sur leur visage pour lui faire sentir mes pets alors qu'elles me léchaient le cul.

C'est avec ces deux dernières que pour la première fois j'ai tenté d'inverser les rôles. La première m'a gentiment dominé en enculant avec un gode ce qui m'a laissé un souvenir incroyable et une jouissance extraordinaire. Mais après cela elle n'a voulu que je la domine et nos relations se sont arrêtées la. Quand à la dernière, elle s'est révélée une véritable dominatrice (ce qu'elle ignorait elle-même jusqu'à présent) en me donnant une fessée mémorable. Mais ce rôle-là l’a dégoûtée, je l'ai véritablement écoeuré de moi et elle a brutalement rompu toute relation.

Moi j'étais totalement désemparé car j'avais atteint le septième ciel et j'étais tombé amoureux d'elle. Malgré des lettres de supplications et après l'avoir imploré de nombreuses fois au téléphone et n'a plus voulu entendre parler de moi.

Je me suis alors mis à la recherche de dominatrice, ce qui, vous le savez, est un véritable chemin croix à moins d'accepter de payer auprès de « professionnelles ». J'ai ainsi fait quelques expériences toujours très décevantes. Je ne savais pas à l'époque que le moteur principal de mon excitation était l’humiliation, mon masochisme moral et qu’en fait je me délectais dans les peines de cœur et le sentiment de rejet.

J'ai fini par faire une rencontre qui a été déterminante. En fait il s'agissait d'une rencontre virtuelle avec une dominatrice, une vraie cette fois, qui étant sur le point de divorcer a bien voulu que les deux mois pendant quelques semaines par des échanges de messages et quelques conversations téléphoniques. C'est elle qui pour la première fois pour moi a évoqué des scénarios où elle me faisait humilier par des hommes pour s'exciter. En particulier à imaginer la situation où elle me ferait pisser dessus par des hommes.

D'abord choqué par cette évocation, je dois vous avouer que cela m'a remué profondément et il m'a aussi terriblement excité. Mais elle a encore affiné par me laisser tomber et je me suis retrouvé tout seul ne sachant plus ou j'en n'étais.

C’était le début de l'Internet en France. Et il avait peu de six de dialogue de cette alors je continue mes sur les messageries tandis que je découvrais une immense littérature de domination (en anglais bien sûr, pour se fier du français, c'était le désert absolu). Des histoires donc de domination féminine, avec bien sûr des scènes de travestisme est aussi de chasteté forcée.

C'est là que j'ai découvert qu'il existait un nombre important de modèle de ceinture de chasteté pour hommes. Cela a commencé à me fasciner énormément. Bien sûr je ne concevais pas d'en porter moi-même, ou alors de manière très temporaire. Et dont je me masturbais frénétiquement sur ces scènes d'hommes soumis devant rester chaste pendant des semaines et adorant totalement leur maîtresse.

Je méprisais toujours autant les homosexuels ou les bisexuels et cela me dégoûtaient. C'est pour cela que j'évitais soigneusement les histoires ou des hommes dominants intervenaient. Du moins au début. Parce que j'ai continué mon évolution et j'ai fini par trouver très excitant des histoires ou des hommes mariés étaient non seulement dominés par leurs femmes, mais où celle-ci les faisait cocu avec un notre homme (un vrai celui-là), et vous, petit à petit, d'histoires en histoires, cet hommes dominants les dominaient aussi alors qu'ils étaient travestis. Il devait donc aider le membre de celui qui les faisait cocu à entrer dans le vagin de leur femme, il devait le sucer pour le mettre en érection, etc.

je suis bientôt passé aux histoires entre hommes sans qu'il n'y ait plus de présence féminine. Parallèlement je me masturbais toujours frénétiquement en recueillant mon sperme dans une culotte en laine que je m'étais fabriqué et que je portais chez moi. Je finis progressivement sans m'en rendre compte au début, par associer dans un réflexe pavlovien l'odeur de cette culotte sentait fort le sperme avec mon excitation. Bientôt je pris l'habitude de me masturber en ayant cette culotte sous le nez, puis je pris l'habitude dernièrement imprégner de mon sperme un pull féminin avec un grand col et de le porter replier autour du cou avec cette odeur entêtante qui s'en émanait et montait jusqu'à mes narines.

Les histoires homosexuelles que je lisais tourner de plus en plus autour de thèmes comme l’uro et le léchage de cul. Bientôt, À ma honte, je passais à des histoires scato.

C'est à ce moment-là que je me suis ni à jouer le rôle de femelles dans des dialogues avec des hommes dominants. Puis celui de travestis. J’avais extrêmement honte et je me dégoûtais moi-même.

Un beau jour, j'ai osé faire une rencontre. C'était en août 2004. Je me suis rendu chez un dominateur qui m'a reçu rapidement pendant une demi-heure, me donnant des claques, me tripotant les fesses, et que j'ai vu sucer avec écoeurement. Puis une autre fois, le même mois, je mes suis rendu dans vous un hôtel pour être pris par un Arabe. Il m'a enculé mais il avait une petite bite. J'ai aussi du le sucer. À chaque fois j'étais totalement dégoûté de ce que j'avais fait et je me promettais de ne plus jamais recommencer cela. Ces rencontres étaient donc toujours sans suite.

Mais j'y revenais quand même. Les rencontres étaient donc très espacées. À peu près une ou deux par an. Parallèlement j'ai commencé à me travestir et à me prendre en photo. Les premières photos datent de juillet 2004. J'ai aussi commencé à pratiquer de l’uro est un peu de scato sur moi-même (nettoyer mon plug). Tout dernièrement j'ai fait deux rencontres où j'ai commencé à vraiment aimer sucer, sentir l'odeur d'une bite et d'un cul. Les deux dernières rencontres se sont faite chez moi. Je les aie sucés, j'ai léché leur cul, et j'ai rentré ma langue à l'intérieur pour l'un j'ai même rentré mon doigt et je l’ai sucé après. Mais je n'ai jamais rien fait de plus en scato. Pour l'uro, tout dernièrement aussi, j'ai dû quelque gorgée directement avec la bite dans ma bouche alors qu'il me tenait la tête, et j'ai aussi lu dans un verre avais en plus craché dedans.

J'ai quand même fini par racheter une cage de chasteté CB 3000 l'été dernier. Je l’ai porté très occasionnellement jusqu'à présent étant trop accro à la masturbation pour la porter sérieusement.



Depuis j'ai fait quelques autres rencontres que je vous raconterai un jour...

aline