dimanche 22 février 2009

une histoire que j'ai écrite

A force de lire des histoires, j'ai eu envie d'en écrire une. En voici le début. Qu'en pensez-vous ? Est ce que cela vaut la peine que je continue ? Faites moi svp part de vos remarques et éventuels encouragements. Merci d'avance.

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Tout s'était passé si vite. L'arrestation, pour quelques grammes de haschisch, la garde à vue avec sa fouille au corps, slip baissé, tousser trois fois pendant que le flic me faisait un toucher rectal avec son index, la nuit passée dans une cellule puante, puis la mise en examen.

Ensuite le dépôt, se déshabiller pour une nouvelle fouille au corps, le slip à nouveau baissé devant un gardien vicieux n'a pas hésité à me rentrer cette fois deux doigts dans mon anus serré, bien sûr sans aucune préparation, ce qui m'a fait pousser un cri de douleur.

« Oh, nous avons là une petite chatte sensible ! Il va falloir qu'elle s'assouplisse ! Marcus va s'en charger... Tu vas voir pétasse... Il va être ravi d'avoir une nouvelle avec lui pour la dresser... »

Ces propos m'ont horrifié. Ils annonçaient le pire. J'avais déjà entendu ce genre d'histoire, mais je n'y croyais pas vraiment.

Après de multiples portes cadenassées, grilles, couloirs sinistres, je fus jeté dans une cellule minuscule qui était déjà occupée par un noir énorme, de plus de 1,80 m avec des muscles énormes et pesant au moins 120 kilos.

Il y régnait une odeur qui me prit tout de suite à la gorge, une forte odeur de sueur, une odeur de Black pas lavé depuis des jours, avec des relents de pisse et ce que je crus être une forte odeur de sperme. D'ailleurs il n'y avait pas beaucoup de doute à avoir, car mon compagnon de cellule portée un survêtement très épais et surdimensionné comme aiment à en porter les black, molletonné, qui avait dû être blanc à l'origine, mais qui était maintenant grisâtre, avec de larges auréoles encore humides aux aisselles, et devant, au niveau du bas ventre, autour d'une énorme bosse qui tendait le pantalon du survêtement vers l'avant, une large tache humide au milieu d'autres auréoles jaunâtres qui ne laissaient aucun doute sur l'activité à laquelle venaient de se livrer cet individu juste avant mon arrivée.

Ce type venait juste de ce branler et il avait visiblement éjaculé dans son pantalon de survêtement, sans prendre même la peine de s'essuyer, et vu les nombreuses tâches à ce niveau on pouvait penser que c'était là son habitude. Son éjaculation avait du être abondante, car malgré l’épaisseur du molleton, une énorme tâche s’étalait à l’avant. Un bombement énorme qui tendait le tissu pourtant épais et ample, ne disait long aussi sur la taille de son membre, et sur ses pensées du moment. Il me regardait avec un sourire vicieux, sans dire un mot.

Ecœurés, faisant une grimace, n'osant pas me boucher les narines, vu la carrure du type, je jetai mes affaires sur le lit qui était libre, qui était celui du bas, car visiblement ce sale individu occupait celui du haut.

Ce type devait avoir un rang élevé dans la hiérarchie invisible de cette prison, car visiblement les gardiens qui m'accompagnaient lui avaient témoigné un respect inhabituel. Il ne dit pas un mot à mon arrivée, se contentant de masser sa grosse bosse et ses parties génitales à travers le pantalon de survêtement.

À peine suis-je dans le lit que l'extinction des feux arriva et la lumière s’éteignit immédiatement. Je me retrouvais seul avec ce malade, sale et puant qui ne disait pas un mot. Effrayés je me mis dans mon lit sans même me déshabiller et je me tournais contre le mur, très inquiet de ce qui risquait arriver, n'osant même pas fermer les yeux.

Le type continuait à rester assis et je l’entendais s'astiquer bruyamment dans le noir.

Au bout d'un moment j'entendis un « viens me sucer connasse »

Je me figeais, n'osant remuer un cil, tremblant de trouille, muet, priant que cela en reste là.

Alors il se leva, marcha vers moi d'un pas lourd, rejeta en arrière les draps de mon lit, m'attrapa par le col, me souleva presque d'une force invincible, et me jeta sur le sol.

Il ne me projeta sur le sol de béton et je me blessai aux coudes. Je poussais un cri de douleur et je me mis en boule, prostré, incapable de résister à une telle brutalité. Les coups de poings se mirent à pleuvoir. Dans la poitrine, dans le dos, et dans mon estomac tandis que je me pliais en deux pour éviter ses coups. Je criais, je lui demandais d'arrêter, je suppliais même. Il continua un moment, jusqu'à ce que je me mette à sangloter vraiment, et alors il se mit à me balancer des gifles vigoureuses qui ne firent tourner la tête.

Enfin il s'arrêta. Je n'en pouvais plus. Je pleurais à chaudes larmes, prostré par terre, secoué de terribles sanglots. Il profita de mon immobilité pour me mettre les bras derrière le dos et verrouilla une paire de menottes sur les poignets. Comment donc un prisonnier pouvait-il conserver des menottes dans sa cellule ! Mais, j'aurais d'autres surprises de ce genre plus tard. Apparemment, ce prisonnier là, avait des droits très spéciaux. Je me rappelais alors les égards qu’avaient eus les gardiens envers lui. Ce type devait être le roi de cette prison.

Encore plus incapable de me défendre qu'avant, je continuais à pleurer prostré sur le sol.

Alors son comportement changea brusquement. D’hyper violent, il se radoucit. Il se mit à me parler doucement. « C'était nécessaire. Tu vas appartenir maintenant. Complètement. Tu seras toute à moi. J'ai besoin d'une bonne femelle ici. Et je vais te dresser pour faire de toi ma fiotte, ma putain, mon esclave. Ce sera dur pour toi au début, mais tu verras, tu t'y feras vite, et tu finiras même par aimer cela. Crois-moi, j'en ais brisé de plus résistantes que le toi. Arrête donc de pleurer sinon la danse va recommencer. »

J'essayais de me calmer, mais les larmes mais a coulé le long de mon visage. Alors il me prit dans ses bras, me porta sur son lit, enlevant le haut de son survêtement, dévoilant sa puissante poitrine nue toute recouverte de poils drus et frisés. Il était trempé de transpiration à cause de la lutte qui venait de se dérouler. Il se dégageait de lui une odeur extrêmement musquée et puissante, un véritable cocktail de phérormones viriles qui emplissaient encore plus que tout à l'heure l'étroite cellule.

Il m'allongea sur lui, passa son bras droit puissant de mon cou, et coinça ma tête, mon nez enfoncé dans son aisselle gauche, complètement rempli de poils drus très épais et longs, qui semblait avoir emmagasinés des litres de sueur tellement les poils étaient trempés. C'était totalement irrespirable, mon nez baigné dans sa sueur, dans sa toison au point que je veux me demandais si l'air que j'y respirais était encore respirable.

Pendant que je me calmais lentement, n'oseront pas bouger, respirant bruyamment cet air fétide, il me caressait doucement sur tout le corps, me donnait des bisous dans l’oreille, me chuchote des mots doux.

« Petite chérie, ma douceur, ma femme, ma petite salope, ma suceuse, tu va être ma chatte... Ma petite femelle à moi... Mon esclave. Je suis ton Maître désormais. Tu dois apprendre ce que cela signifie l'appartenance totale. Ta vie est entre les mains. J'ai le droit de vie et de mort sur toi. Je suis ici à perpète, et je n'ai plus rien à perdre. Et d'ailleurs une chose frêle comme toi as besoin d'un protecteur dans cette prison. Sinon tu vas devenir la vide couille de toute la prison. Et tu ne tiendras pas très longtemps, tu finiras par te suicider rapidement. Tu n'as donc pas le choix. Je suis ton seul espoir ici. »

J'étais horrifié d'entendre ce discours, mais que pouvais-je y faire. J'étais à sa merci. Je me calmais lentement et une étrange torpeur commençait à m'envahir ses caresses. Son odeur musquée commençait à être moins désagréable. Je commençais à respirer plus lentement, inhalant à chaque respiration des goulées profondes de cet senteur si entêtante. Et en même temps ses caresses me faisaient du bien. Tant d'événements traumatisants s'étaient déroulés si vite. J'avais l'impression d'un peu de repos, d'un peu de calme, d'un peu d'apaisement.

Ses caresses devinrent plus insistantes. Il faisait maintenant courir ses doigts le long de ma colonne vertébrale, me tirant des frissons et des petits tremblements nerveux. Je me sentais basculer dans un autre espace.