vendredi 8 mai 2009

Mon Maître

Cela fait maintenant une semaine que j'ai découvert celui qui est désormais mon maître. Il me dresse avec beaucoup d’habileté, m’humiliant sans arrêt lors de nos dialogues sur Internet ou au téléphone. Il sait m'amener progressivement à vaincre mes petites limites, mon manque de courage, et ma honte.

Il tient à me féminiser pour que je ressemble le plus possible à une femelle. Je dois être constamment en tenue chez moi : guêpière, bas, tunique semi transparente, escarpins noirs de 12 centimètres avec lesquels il faut que je m'entraîne à marcher, je vois toujours avoir un plug dans le plus, et surtout être parfaitement maquillé.

Dernièrement mon maître a commencé à être satisfait de mes progrès en maquillage. Je commence, dit-il, à ressembler à un vrai travelo. Je me suis d'ailleurs acheté une trousse de maquillage pour avoir le bon matériel. Il veut que je ressemble à une vieille pute, avec de grosses lèvres bien rouges est bien dessinées et des yeux agrandis avec beaucoup de fard, de l’eyeliner et du khôl. Je dois m'entraîner à ne maquiller deux fois par jour, le matin et le soir, faire des photos de mon visage de pute et les lui envoyer.

J'ai dû acheter aussi une nouvelle perruque, de grandes boucles d'oreilles avec clip, avec anneau en strass et brillants, vulgaires, et un collier fantaisie de perles noires. J'ai dû aller acheter ses articles directement en boutique et ne pas me contenter de les commander lâchement sur Internet. À ce sujet je vous recommande un petit magasin de bijoux fantaisie, président de Barbès, boulevard de Clichy, juste après Tati. J'ai eu les deux articles seulement 30 €. Il veut aussi que très bientôt j'aille directement acheter mes petites culottes chez Tati à Barbès. Ce jour là je crois que je serai morte de honte.

Pour la perruque, j'ai vu directement aller la chercher en boutique. Il y a plein de magasins ethniques pour Black vendant des perruques et des postiches dans le quartier Château-Rouge. J'ai eu une superbe perruque noire à cheveux longs qui se brossent très bien pour seulement 25 €. C'est nettement moins cher que sur Internet où on vous vend de la nouvelle qualité pour beaucoup plus cher.

Désormais je ne dois plus porter de slips d'homme, mais uniquement des petites culottes féminines, y compris pour aller travailler. En plus de la petite culotte je dois mettre sous ma chemise un soutien-gorge.

Pour couronner le tout, bien entendu, je n'ai plus le droit du tout de toucher mon clitoris. Cela fait maintenant quatre jours que je suis totalement chasse depuis la dernière fois où j'ai du cracher mon jus de lope pendant que je lui parlais au téléphone. C'était dimanche 3 mai. Cette longue période de chasteté, inhabituelle pour moi qui a l'habitude de me tripoter le clitoris et de jouir au moins une fois par jour est une vraie contrainte mais grâce à elle je me sens de plus en plus soumis envers mon maître.

Bien entendu mon clitoris a commencé à couler souvent. Bizarrement surtout les premiers jours. Pour éviter de tâcher mes petites culottes, je dois porter un préservatif sur mon clitoris afin de recueillir les écoulements. Je dois en boire le contenu uniquement sur ordre de mon maître. Mais hier mon clitoris n'a pratiquement pas coulé.

Plus tard, je devrai porter une vraie cage de chasteté, comme la Desire de Gerecke. Et bien entendu je devrais lui en remettre les clés. En attendant il compte sur mon autodiscipline. Et cela marche. Je n'ai lui ment jamais et lui dis toujours la vérité.

Je dois aussi travailler ma voix avoir une voix aiguë de tapette. Je dois toujours avoir cette voix quand je lui parle au téléphone. Quand je l'appelle je dois systématiquement me présenter par cette phrase rituelle : « bonjour maître, c'est aline la vieille pute, la grosse pédale ». Pour l'appeler, c'est très simple. Je dois attendre qu'il envoie un SMS ou bien qu'il sonne un coude sur mon portable. Je dois alors immédiatement le rappeler, quelles que soit l’heure et où que je sois. Il appelle ça « me siffler ».

Je dois le rencontrer pour la première fois, en principe lundi, pour une longue séance de dressage. Je sais que je devrais alors recevoir une véritable raclée, le supplier même de me la donner, le remercier à chaque coup et lui demander de me frapper encore à chaque fois jusqu'à ce qu'il juge que la punition que j'aurais endurée aura été suffisante et qu'il m'aura suffisamment brisée.

Cette punition sera bien méritée à cause de toutes mes petites fautes envers lui. Au début, j'avais du mal à lui dire oui systématiquement au téléphone. Il m'a appris qu'en sa présence ce n'est qu'à fermer ma gueule, ne rien refuser, et systématiquement d'accepter tout de lui à sa présence ou au téléphone. Par contre, en dialogue sur Internet, où par e-mail je peux me confier à lui et ma parole est libre.

Il veut que je sois systématiquement travestie et maquillé chez moi, en escarpin et en tenue complète pour que s’il lui prenne l'envie de se faire vider les couilles, il dit se faire « éponger », il puisse venir chez moi à n'importe quelle heure tout juste de se faire sucer, où me mettre une raclée s'il a besoin de se défouler, ou de me défoncer la chatte, ou de me faire renifler et sucer ces slips, ou de se faire nettoyer la raie du cul, ou de pisser dans ma bouche, ou de chier devant moi pour ensuite me faire renifler sa merde et la lécher. Il dit qu'il va faire de moi « une vraie chiotte » et que désormais je serais « maqué avec un homme ». Plus tard il m'emmènera dans des soirées privées.

Je vais continuer à subir mon dressage en attendant impatiemment ce fameux lundi et je vous tiendrai au courant de la suite.

Bien entendu, ce qui ce post a été approuvé par mon maître.

Aline la vieille pute et la grosse pédale

jeudi 9 avril 2009

La suite du "Prisonnier'

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dimanche 22 février 2009

une histoire que j'ai écrite

A force de lire des histoires, j'ai eu envie d'en écrire une. En voici le début. Qu'en pensez-vous ? Est ce que cela vaut la peine que je continue ? Faites moi svp part de vos remarques et éventuels encouragements. Merci d'avance.

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Tout s'était passé si vite. L'arrestation, pour quelques grammes de haschisch, la garde à vue avec sa fouille au corps, slip baissé, tousser trois fois pendant que le flic me faisait un toucher rectal avec son index, la nuit passée dans une cellule puante, puis la mise en examen.

Ensuite le dépôt, se déshabiller pour une nouvelle fouille au corps, le slip à nouveau baissé devant un gardien vicieux n'a pas hésité à me rentrer cette fois deux doigts dans mon anus serré, bien sûr sans aucune préparation, ce qui m'a fait pousser un cri de douleur.

« Oh, nous avons là une petite chatte sensible ! Il va falloir qu'elle s'assouplisse ! Marcus va s'en charger... Tu vas voir pétasse... Il va être ravi d'avoir une nouvelle avec lui pour la dresser... »

Ces propos m'ont horrifié. Ils annonçaient le pire. J'avais déjà entendu ce genre d'histoire, mais je n'y croyais pas vraiment.

Après de multiples portes cadenassées, grilles, couloirs sinistres, je fus jeté dans une cellule minuscule qui était déjà occupée par un noir énorme, de plus de 1,80 m avec des muscles énormes et pesant au moins 120 kilos.

Il y régnait une odeur qui me prit tout de suite à la gorge, une forte odeur de sueur, une odeur de Black pas lavé depuis des jours, avec des relents de pisse et ce que je crus être une forte odeur de sperme. D'ailleurs il n'y avait pas beaucoup de doute à avoir, car mon compagnon de cellule portée un survêtement très épais et surdimensionné comme aiment à en porter les black, molletonné, qui avait dû être blanc à l'origine, mais qui était maintenant grisâtre, avec de larges auréoles encore humides aux aisselles, et devant, au niveau du bas ventre, autour d'une énorme bosse qui tendait le pantalon du survêtement vers l'avant, une large tache humide au milieu d'autres auréoles jaunâtres qui ne laissaient aucun doute sur l'activité à laquelle venaient de se livrer cet individu juste avant mon arrivée.

Ce type venait juste de ce branler et il avait visiblement éjaculé dans son pantalon de survêtement, sans prendre même la peine de s'essuyer, et vu les nombreuses tâches à ce niveau on pouvait penser que c'était là son habitude. Son éjaculation avait du être abondante, car malgré l’épaisseur du molleton, une énorme tâche s’étalait à l’avant. Un bombement énorme qui tendait le tissu pourtant épais et ample, ne disait long aussi sur la taille de son membre, et sur ses pensées du moment. Il me regardait avec un sourire vicieux, sans dire un mot.

Ecœurés, faisant une grimace, n'osant pas me boucher les narines, vu la carrure du type, je jetai mes affaires sur le lit qui était libre, qui était celui du bas, car visiblement ce sale individu occupait celui du haut.

Ce type devait avoir un rang élevé dans la hiérarchie invisible de cette prison, car visiblement les gardiens qui m'accompagnaient lui avaient témoigné un respect inhabituel. Il ne dit pas un mot à mon arrivée, se contentant de masser sa grosse bosse et ses parties génitales à travers le pantalon de survêtement.

À peine suis-je dans le lit que l'extinction des feux arriva et la lumière s’éteignit immédiatement. Je me retrouvais seul avec ce malade, sale et puant qui ne disait pas un mot. Effrayés je me mis dans mon lit sans même me déshabiller et je me tournais contre le mur, très inquiet de ce qui risquait arriver, n'osant même pas fermer les yeux.

Le type continuait à rester assis et je l’entendais s'astiquer bruyamment dans le noir.

Au bout d'un moment j'entendis un « viens me sucer connasse »

Je me figeais, n'osant remuer un cil, tremblant de trouille, muet, priant que cela en reste là.

Alors il se leva, marcha vers moi d'un pas lourd, rejeta en arrière les draps de mon lit, m'attrapa par le col, me souleva presque d'une force invincible, et me jeta sur le sol.

Il ne me projeta sur le sol de béton et je me blessai aux coudes. Je poussais un cri de douleur et je me mis en boule, prostré, incapable de résister à une telle brutalité. Les coups de poings se mirent à pleuvoir. Dans la poitrine, dans le dos, et dans mon estomac tandis que je me pliais en deux pour éviter ses coups. Je criais, je lui demandais d'arrêter, je suppliais même. Il continua un moment, jusqu'à ce que je me mette à sangloter vraiment, et alors il se mit à me balancer des gifles vigoureuses qui ne firent tourner la tête.

Enfin il s'arrêta. Je n'en pouvais plus. Je pleurais à chaudes larmes, prostré par terre, secoué de terribles sanglots. Il profita de mon immobilité pour me mettre les bras derrière le dos et verrouilla une paire de menottes sur les poignets. Comment donc un prisonnier pouvait-il conserver des menottes dans sa cellule ! Mais, j'aurais d'autres surprises de ce genre plus tard. Apparemment, ce prisonnier là, avait des droits très spéciaux. Je me rappelais alors les égards qu’avaient eus les gardiens envers lui. Ce type devait être le roi de cette prison.

Encore plus incapable de me défendre qu'avant, je continuais à pleurer prostré sur le sol.

Alors son comportement changea brusquement. D’hyper violent, il se radoucit. Il se mit à me parler doucement. « C'était nécessaire. Tu vas appartenir maintenant. Complètement. Tu seras toute à moi. J'ai besoin d'une bonne femelle ici. Et je vais te dresser pour faire de toi ma fiotte, ma putain, mon esclave. Ce sera dur pour toi au début, mais tu verras, tu t'y feras vite, et tu finiras même par aimer cela. Crois-moi, j'en ais brisé de plus résistantes que le toi. Arrête donc de pleurer sinon la danse va recommencer. »

J'essayais de me calmer, mais les larmes mais a coulé le long de mon visage. Alors il me prit dans ses bras, me porta sur son lit, enlevant le haut de son survêtement, dévoilant sa puissante poitrine nue toute recouverte de poils drus et frisés. Il était trempé de transpiration à cause de la lutte qui venait de se dérouler. Il se dégageait de lui une odeur extrêmement musquée et puissante, un véritable cocktail de phérormones viriles qui emplissaient encore plus que tout à l'heure l'étroite cellule.

Il m'allongea sur lui, passa son bras droit puissant de mon cou, et coinça ma tête, mon nez enfoncé dans son aisselle gauche, complètement rempli de poils drus très épais et longs, qui semblait avoir emmagasinés des litres de sueur tellement les poils étaient trempés. C'était totalement irrespirable, mon nez baigné dans sa sueur, dans sa toison au point que je veux me demandais si l'air que j'y respirais était encore respirable.

Pendant que je me calmais lentement, n'oseront pas bouger, respirant bruyamment cet air fétide, il me caressait doucement sur tout le corps, me donnait des bisous dans l’oreille, me chuchote des mots doux.

« Petite chérie, ma douceur, ma femme, ma petite salope, ma suceuse, tu va être ma chatte... Ma petite femelle à moi... Mon esclave. Je suis ton Maître désormais. Tu dois apprendre ce que cela signifie l'appartenance totale. Ta vie est entre les mains. J'ai le droit de vie et de mort sur toi. Je suis ici à perpète, et je n'ai plus rien à perdre. Et d'ailleurs une chose frêle comme toi as besoin d'un protecteur dans cette prison. Sinon tu vas devenir la vide couille de toute la prison. Et tu ne tiendras pas très longtemps, tu finiras par te suicider rapidement. Tu n'as donc pas le choix. Je suis ton seul espoir ici. »

J'étais horrifié d'entendre ce discours, mais que pouvais-je y faire. J'étais à sa merci. Je me calmais lentement et une étrange torpeur commençait à m'envahir ses caresses. Son odeur musquée commençait à être moins désagréable. Je commençais à respirer plus lentement, inhalant à chaque respiration des goulées profondes de cet senteur si entêtante. Et en même temps ses caresses me faisaient du bien. Tant d'événements traumatisants s'étaient déroulés si vite. J'avais l'impression d'un peu de repos, d'un peu de calme, d'un peu d'apaisement.

Ses caresses devinrent plus insistantes. Il faisait maintenant courir ses doigts le long de ma colonne vertébrale, me tirant des frissons et des petits tremblements nerveux. Je me sentais basculer dans un autre espace.

samedi 3 janvier 2009

Lettre à un Maître

Bonjour Monsieur


J’aspire à être prise en main de façon progressive mais ferme, avec des punitions physiques : fessées, pinces... mais qui doivent rester discrètes car les murs chez moi ne sont pas épais...


Cette relation doit être exclusivement basée sur la Domination / Soumission. Parfaite docilité de ma part dans le respect de mes limites, mais aussi domination psychologique, où vous montrez à toute occasion tout le mépris que je vous inspire.


A ce titre, je ne mérite aucun vouvoiement, et les seuls mots doux que je peux recevoir sont les pires insultes. Et je devrais vous remercier après chaque insulte. Comme je vis très mal cette sexualité, dans la honte et le dégoût de moi-même, vous pouvez me rappeler constamment que je ne suis qu’une salope, une lopette, une fiotte, même pas une femelle, juste des trous pour vous servir de vide couilles et d’urinoir.


Aussi vous me dresserez à boire votre urine directement à la source, et au bout de quelque temps je devrais vous servir de papier cul, apprendre à apprécier l’odeur de vos pets, et même de votre merde.


Comme toutes les salopes, j’adore être bien baisée à fond par une grosse queue, bien ramonée, sentir votre virilité s’épancher en moi (avec capote bien sûr), me sentir ensemencée.


Comme chienne, je suis très attirée par les odeurs de mâles virils comme Vous. Sentir leur grosse queue pas lavée, leur couilles, leur aisselles transpirées, leur anus poilu gras et odorant. Être obligée à coups de baffes de lécher le tout aussi bien sûr et de vous sucer longuement. Je peux avaler votre foutre si vous avez test récent.


Je sais bien que pour me montrer votre mépris, vous me pisserez dessus, sur mes travestissements de lope, pour qu’ils soient bien imprégnés de votre odeur, que je devrais porter sur moi pour être « marquée » comme une vraie chienne par l’odeur de son maître. A terme, d’ailleurs, vous ne vous contenterez pas de me pisser dessus...


Bien entendu, vous contrôlerez progressivement ma sexualité, de mes masturbations je veux dire, puisqu’elle se réduit à cela, pour les espacer de plus en plus et me faire porter à terme une cage de chasteté, pour que le seul plaisir que je puisse avoir soit de me faire ramoner comme une salope par un Vrai Mâle comme Vous. Mon clitoris frustré coulera dans sa cage et je mouillerais alors comme une vraie chienne.


Merci de votre attention Monsieur.


Votre chienne.