mercredi 2 juillet 2008

Les devoirs d'une chienne (suite)

Si la chienne manifeste quelque dégoût lorsqu’elle doit servir de papier toilette à son Maître, pour la punir, le Maître peut décider la prochaine fois un exercice spécial pour que la putasse apprenne à apprécier la merde de son Maître. Lorsqu’il aura envie de déféquer, le Maître fera disposer sur la cuvette une serviette mince, et fera formera une dépression en son milieu, en faisant descendre le fond de la serviette presque au raz de l’eau de la cuvette. Puis il s’assoira sur la serviette, et déféquera dans la serviette en se faisant lécher les couilles et uriner dans la bouche de la connasse pendant qu’il défèque. Le Maître prendra son temps. L’odeur des fèces du Maître ne sera pas atténuée, car les étrons resteront dans la serviette tous près du museau de la truie, qui pendant qu’elle suce son Maître sera bien forcée de respirer par le nez.


Quand le Maître en aura assez, il nouera la serviette autour de la tête de la chienne, de manière assez lâche afin que les étrons ne soient pas en contact avec la gueule de la chienne, et en faisant ainsi une sorte de sac autour de la tête de la chienne. Puis il fera mettre la chienne à quatre pattes et lui flanquera une longue fessée. Il aura enlevé la cage de chasteté autour du clito de la chienne et lui aura fait mettre une culotte bien remontée, son clito bien replié vers l’arrière, afin d’empêcher une totale érection. De temps en temps le Maître s’arrêtera de calquer les fesses de la chienne et lui frottera le clito à travers la culotte.


Bien sûr, la chienne n’aura pas le droit de jouir. Le but de cet exercice est simplement de forcer la chienne à associer le plaisir et la frustration à la douleur causée par la fessée et à l’odeur de la merde de son Maître. Le but est que la chienne associe le plaisir et la frustration qu’elle ressent à la merde de son Maître, et soit reconnaissante que le Maître lui fasse sentir sa merde et lui donne une fessée.


Ces séances devront être renouvelées souvent afin de bien imprimer dans l’esprit de la chienne que seul son désir compte, que lui seul à le droit de jouir, et que la chienne doit se contenter de l’odeur de la merde de son Maître et des punitions qu’il juge nécessaire pour son dressage.


Pour être parfaitement réussi, cet exercice nécessite au préalable que la chienne a subi une période de chasteté de plusieurs semaines. Pour varier cet exercice, le Maître peut décider d’enculer longuement la chienne et de se vider en elle. La chienne devra ensuite rester au minimum une heure dans cette position, le cul suintant du sperme de son Maître, pendant qu’elle s’imprègne de l’odeur de la merde de son Maître.

samedi 28 juin 2008

Les devoirs d'une chienne


Je suis votre chienne, votre connasse et je dois connaître mes devoirs.


La chienne doit sucer son maître aussi longtemps qu'il le désire. Elle doit suivre exactement ses indications et directives. Elle doit lécher son membre quand il le demande, ou ses couilles ou le bout du gland. Elle doit pomper, l'aspirer dans sa bouche de pute en suivant ses ordres. Comme le maître à un test récent, elle doit recueillir sa semence dans sa bouche, ouvrir sa bouche pour montrer la semence de son maître sur sa langue, et avaler sa semence si le maître le lui demande.

La salope doit sentir son maître partout. Elle doit sentir ses aisselles surtout quand le maître a bien transpiré et qu'il a besoin d'être rafraîchi avant de prendre une douche. La pute doit mettre son museau sous le bras de son maître et doit pouvoir rester ainsi de longs moments pour s’enivrer de son odeur. Elle doit aussi renifler bruyamment son slip, même s'il a été porté plusieurs jours, et si le slip est sale. La connasse doit montrer qu'elle prend beaucoup de plaisir et remercier son maître surtout si le slip est tout pisseux, où raide de sperme séché ou comporte de nombreuses traces à l'arrière laissées par le divin anus de son maître.


Bien sûr, la connasse doit apprécier de renifler la bite ou les couilles de son maître. Elle doit à chaque fois manifester son plaisir en disant à son maître qu'il sent très bon, surtout si le maître l'autorise à mettre son nez entre ses fesses, tout contre son trou. La chienne ne doit jamais faire de réflexion parce que l’anus de son maître est trop sale, ou mal essuyé, ou pas essuyé du tout, et ce même si son maître vient de déféquer. La pouffiasse doit être reconnaissante si son maître laisse échapper quelques pets pendant qu'elle respire l'odeur poivrée et virile de son anus. Elle doit le remercier pour chacun des pets qu'il lui accorde.


La lopette doit savoir nettoyer certaines parties corps de son maître quand il le lui demande. Elle doit lisser les poils de ses aisselles avec sa langue de truie, les prendre dans sa bouche pour les sucer et les débarrasser de la sueur accumulée. Elle doit bien sûr nettoyer la bite de son maître chaque fois qu'il le juge utile. Le maître peut très bien décider de ne pas se laver la bite afin que la connasse se rendre utile. En particulier, il est nécessaire que la lope nettoie la queue de son maître, et le préservatif, quand son maître s'est longuement branlé dans sa chatte. Sans mettre le lui ordonne elle doit aussi avaler le contenu du préservatif est conserver précieusement celui-ci comme souvenir.


Par-dessus tout, la pétasse doit nettoyer la nuit de son maître avec sa langue et sa bouche, en salivant bien et en aspirant le jus. Tous les poils du cul de son maître doivent soigneusement être sucés afin de les rendre parfaitement propre. Si son maître de demande, la grosse conne doit mettre sa langue le plus au fond possible de l'anus de son maître et la faire bouger en suivant ses indications. Le maître peut très bien décider de ne plus s'essuyer le cul avec du papier et de réserver cet usage à la langue de sa chienne.


Si le maître en a envie, il peut demander à la chienne de sucer ses slips, en salivant bien pour en extraire le jus et en les mâchouillant afin de mieux les nettoyer. Si le maître décide que la chienne devra prendre soin de ses slips, c'est ce que devra faire la chienne systématiquement avant de les laver à la main, de les laisser sécher, puis de les repasser avec amour.


Quand le maître se rend aux toilettes, la chienne doit l’accompagner, défaire sa braguette et abaisser son pantalon. Elle doit renifler et baiser son sexe à travers le slip, mais doit s’arrêter dés que son maître commence à bander. Alors elle doit baisser le slip, laisser son maître s’asseoir sur la cuvette et prendre son sexe en bouche, attendant avec envie que son maître urine dans sa bouche. Quand le maître urine, elle doit avaler rapidement toute sa pisse sans en laisser une seule goutte déborder.


Elle doit continuer à garder son membre en bouche quand le maître se met à déféquer. Cela l’oblige à respirer par le nez et à profiter ainsi de la bonne odeur de son maître. Ensuite, comme son maître n’utilise pas de papier toilette, elle doit montrer l’adoration qu’elle montre envers son maître en lui servant de papier cul avec sa langue, bien sucer et lécher les poils et cela jusqu’à ce que le derrière du maître soit parfaitement propre.

dimanche 6 janvier 2008

Mon histoire


Tout a commencé après mon divorce qui a eu lieu, il y a plus de 15 ans maintenant. Quand elle est partie ce fut un vrai traumatisme pour moi, même si nos relations n'allaient plus du tout depuis pas mal de temps et que j'en étais réduit à la masturbation. J'ai alors commencé à faire du Minitel, et à aller sur les messageries roses.

Puis j'ai découvert les messageries de domination. Je ne me suis donc pris pour un dominateur et j'ai commencé à dialoguer avec des femmes soumises ou qui faisaient semblant de l'être. Je me sentais réconforter dans mon rôle de mâle et je prenais ainsi, non pas une revanche, mais cela compensé en quelque sorte le fait qu'elle m'avait abandonné.

Quand elle est partie, elle avait laissé derrière elle quelque collant en laine de gymnastique. Je me suis surpris à les mettre et à me masturber dedans. J'avais un peu-on de mois car j'avais toujours méprisé les travestis et les pédés. Je me disais que je faisais cela à cause de mon fétichisme pour la laine.

J'ai fini par rencontrer un certain nombre de femmes soumises et à les dominer. Ce ne devait pas être le dominateur qu'elles recherchaient parce que les ces relations ne sont jamais allées au-delà de 3 ou 4 séances. Je suis quand même allé assez loin dans ce jeu, car en plus de les utiliser comme des objets sexuels, de les attacher, de leur faire porter des godes, de les fesser, de leur imposer des pinces, j'ai une fois pratiqué l’uro en pissant sur deux d’entre elles et lui en m'asseyant sur leur visage pour lui faire sentir mes pets alors qu'elles me léchaient le cul.

C'est avec ces deux dernières que pour la première fois j'ai tenté d'inverser les rôles. La première m'a gentiment dominé en enculant avec un gode ce qui m'a laissé un souvenir incroyable et une jouissance extraordinaire. Mais après cela elle n'a voulu que je la domine et nos relations se sont arrêtées la. Quand à la dernière, elle s'est révélée une véritable dominatrice (ce qu'elle ignorait elle-même jusqu'à présent) en me donnant une fessée mémorable. Mais ce rôle-là l’a dégoûtée, je l'ai véritablement écoeuré de moi et elle a brutalement rompu toute relation.

Moi j'étais totalement désemparé car j'avais atteint le septième ciel et j'étais tombé amoureux d'elle. Malgré des lettres de supplications et après l'avoir imploré de nombreuses fois au téléphone et n'a plus voulu entendre parler de moi.

Je me suis alors mis à la recherche de dominatrice, ce qui, vous le savez, est un véritable chemin croix à moins d'accepter de payer auprès de « professionnelles ». J'ai ainsi fait quelques expériences toujours très décevantes. Je ne savais pas à l'époque que le moteur principal de mon excitation était l’humiliation, mon masochisme moral et qu’en fait je me délectais dans les peines de cœur et le sentiment de rejet.

J'ai fini par faire une rencontre qui a été déterminante. En fait il s'agissait d'une rencontre virtuelle avec une dominatrice, une vraie cette fois, qui étant sur le point de divorcer a bien voulu que les deux mois pendant quelques semaines par des échanges de messages et quelques conversations téléphoniques. C'est elle qui pour la première fois pour moi a évoqué des scénarios où elle me faisait humilier par des hommes pour s'exciter. En particulier à imaginer la situation où elle me ferait pisser dessus par des hommes.

D'abord choqué par cette évocation, je dois vous avouer que cela m'a remué profondément et il m'a aussi terriblement excité. Mais elle a encore affiné par me laisser tomber et je me suis retrouvé tout seul ne sachant plus ou j'en n'étais.

C’était le début de l'Internet en France. Et il avait peu de six de dialogue de cette alors je continue mes sur les messageries tandis que je découvrais une immense littérature de domination (en anglais bien sûr, pour se fier du français, c'était le désert absolu). Des histoires donc de domination féminine, avec bien sûr des scènes de travestisme est aussi de chasteté forcée.

C'est là que j'ai découvert qu'il existait un nombre important de modèle de ceinture de chasteté pour hommes. Cela a commencé à me fasciner énormément. Bien sûr je ne concevais pas d'en porter moi-même, ou alors de manière très temporaire. Et dont je me masturbais frénétiquement sur ces scènes d'hommes soumis devant rester chaste pendant des semaines et adorant totalement leur maîtresse.

Je méprisais toujours autant les homosexuels ou les bisexuels et cela me dégoûtaient. C'est pour cela que j'évitais soigneusement les histoires ou des hommes dominants intervenaient. Du moins au début. Parce que j'ai continué mon évolution et j'ai fini par trouver très excitant des histoires ou des hommes mariés étaient non seulement dominés par leurs femmes, mais où celle-ci les faisait cocu avec un notre homme (un vrai celui-là), et vous, petit à petit, d'histoires en histoires, cet hommes dominants les dominaient aussi alors qu'ils étaient travestis. Il devait donc aider le membre de celui qui les faisait cocu à entrer dans le vagin de leur femme, il devait le sucer pour le mettre en érection, etc.

je suis bientôt passé aux histoires entre hommes sans qu'il n'y ait plus de présence féminine. Parallèlement je me masturbais toujours frénétiquement en recueillant mon sperme dans une culotte en laine que je m'étais fabriqué et que je portais chez moi. Je finis progressivement sans m'en rendre compte au début, par associer dans un réflexe pavlovien l'odeur de cette culotte sentait fort le sperme avec mon excitation. Bientôt je pris l'habitude de me masturber en ayant cette culotte sous le nez, puis je pris l'habitude dernièrement imprégner de mon sperme un pull féminin avec un grand col et de le porter replier autour du cou avec cette odeur entêtante qui s'en émanait et montait jusqu'à mes narines.

Les histoires homosexuelles que je lisais tourner de plus en plus autour de thèmes comme l’uro et le léchage de cul. Bientôt, À ma honte, je passais à des histoires scato.

C'est à ce moment-là que je me suis ni à jouer le rôle de femelles dans des dialogues avec des hommes dominants. Puis celui de travestis. J’avais extrêmement honte et je me dégoûtais moi-même.

Un beau jour, j'ai osé faire une rencontre. C'était en août 2004. Je me suis rendu chez un dominateur qui m'a reçu rapidement pendant une demi-heure, me donnant des claques, me tripotant les fesses, et que j'ai vu sucer avec écoeurement. Puis une autre fois, le même mois, je mes suis rendu dans vous un hôtel pour être pris par un Arabe. Il m'a enculé mais il avait une petite bite. J'ai aussi du le sucer. À chaque fois j'étais totalement dégoûté de ce que j'avais fait et je me promettais de ne plus jamais recommencer cela. Ces rencontres étaient donc toujours sans suite.

Mais j'y revenais quand même. Les rencontres étaient donc très espacées. À peu près une ou deux par an. Parallèlement j'ai commencé à me travestir et à me prendre en photo. Les premières photos datent de juillet 2004. J'ai aussi commencé à pratiquer de l’uro est un peu de scato sur moi-même (nettoyer mon plug). Tout dernièrement j'ai fait deux rencontres où j'ai commencé à vraiment aimer sucer, sentir l'odeur d'une bite et d'un cul. Les deux dernières rencontres se sont faite chez moi. Je les aie sucés, j'ai léché leur cul, et j'ai rentré ma langue à l'intérieur pour l'un j'ai même rentré mon doigt et je l’ai sucé après. Mais je n'ai jamais rien fait de plus en scato. Pour l'uro, tout dernièrement aussi, j'ai dû quelque gorgée directement avec la bite dans ma bouche alors qu'il me tenait la tête, et j'ai aussi lu dans un verre avais en plus craché dedans.

J'ai quand même fini par racheter une cage de chasteté CB 3000 l'été dernier. Je l’ai porté très occasionnellement jusqu'à présent étant trop accro à la masturbation pour la porter sérieusement.



Depuis j'ai fait quelques autres rencontres que je vous raconterai un jour...

aline