jeudi 28 juin 2012

Je m'exerce...

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lundi 25 juin 2012

Apprentissage de la gorge profonde

Cette nuit, j’ai très bien dormi en guêpière noire, bas, string et nuisette noire. Mon clito a bien coulé et a mouillé tout mon string pendant la nuit au point que je vais être obligé d’en changer tout à l’heure. C’est bon de dormir sans cage, et au réveil mon clito s’était libéré du string et était tout dur. Cela me fait du bien de ne plus avoir la cage aujourd’hui car l’anneau de la cage autour de mes couillettes était très serré comme mon Maître l’avait demandé car cela commençait à me blesser un peu sous les couillettes.

Une fois calmé, après un petit pipi, assise, j’ai remis le clito à sa place, bien tiré en arrière, dans le string. Il était calotté, et je le sentais qui coulais continuellement et le bout était constamment humide. C’est une douce torture de rester chaste ainsi, et encore plus difficile sans la cage, mais je tiendrais bon, pour mon Maître.

Le matin je suis sortie, et j’ai dû attendre plus de 10 minutes à faire la queue. J’en ai profité pour faire mes exercices de contraction de la chatte, alternant contraction et relâchement rapides, puis contractions continue et relâchement. Désormais, j’essaye de faire cela le plus souvent possible, chaque fois que j’y pense, quelle que soit ma position, en marchant, debout ou assise.

Vers 9h30, j’ai eu un nouveau dial avec mon Maître. Il m’a tout de suite réprimandée parce que je n’avais ni maquillage ni perruque (pour l’instant, nos dials se font sans caméra). Je lui ai immédiatement obéie et suis vite allée me maquiller à la salle de bain.

Il m’a demandé si j’avais appliqué les consignes pour enlever les bas (voir entrée précédente). Je lui ais répondu par l’affirmative, en lui décrivant en détail comment je faisais. Il m’a reprise, car j’avais mal comprise, et il ne fallait pas rouler les bas en les descendant le long de la jambe, mais les plier.

Puis comme je lui envoyais une photo de mon visage pour lui monter mon maquillage que je venais de réaliser, il me repris encore une fois, pour me signaler cette fois que mon collier de cuir n’était pas dans la bonne position, avec la boucle permettant de fermer le collier sur le devant, au lieu d’avoir l’anneau permettant de fixer la laisse sur le devant. Je m’excusais une nouvelle fois en lui demandant de bien vouloir me pardonner.

Puis, comme je lui demandais, comment et quand je serais « mise à disposition », il me répondit que « je voulais encore une fois connaître la fin du film avant de le vivre ».  Je le questionnais alors sur les dials et contacts que je pouvais avoir en dehors de lui, et il me répondit que je « pouvais toujours dialoguer avec qui je voulais, s’il ne me dominait pas. Rien d’autre sans autorisation ». De plus je devais leur dire que je lui appartenais et j’étais autorisée à leur donner l’adresse mail de mon Maître pour qu’ils puissent le contacter.

Puis il m’ordonna de chercher une « consœur » qui avait « le même profil que moi ». Pour apprendre ainsi « à me gouiner », et que pour les détails, je verrais bien, car ces travestis devront le contacter par mail pour qu’il leur fasse par des règles et contraintes qui s’appliqueront à moi.

Puis il me demanda si j’avais décroisé et croisé les jambes pour changer de jambes. Je lui dis que oui, et il me réprimanda à nouveau, car j’aurais dû lui demander la permission.

Ensuite, il m’autorisa, suite à ma demande, d’aller faire un petit pipi (difficile de se retenir longtemps avec le clito tiré en arrière et les cuisses croisées, qui compriment la vessie), mais de revenir avec mon gode souple à ventouse.





Mon Maître me demanda de fixer le gode au mur par la ventouse et de me mettre à genoux devant le gode, genoux légèrement écartés, mains sur la croupe à même la peau, écartant mes fesses, bien cambrée. Je devais commencer à lécher le gode sur toute la longueur en salivant abondamment, puis d’engloutir le gode jusqu’à la garde pour m’entraîner à faire gorge profonde, et cela pendant 10 minutes. Je devrai recommencer l’exercice le soir avant dîner, en faisant un petit film de cela.



Mon Maître me demanda d’y aller progressivement et au fil des exercices j’arriverai progressivement à le faire pénétrer dans ma gorge jusqu’à la garde.

Bine entendu j’étais loin de pouvoir l’empaler jusqu’à la garde, comme vous pouvez le voir sur la photo. Mais je vais m’entrainer, pour y arriver. Et je vous ferais part de mes progrès.

samedi 23 juin 2012

Petits problèmes féminins

J’ai dormi dans la tenue habituelle, collier autour du cou, toujours en cage, culotte gainante avec serviette, collant et nuisette.

Hier soir, vers 19h30, j'avais mal à la chatte. Je sentais que l'extrémité du tampon me brulait un peu. Quand j'ai enlevé le tampon, j'ai vu qu'il y avait un peu de sang à l'extrémité, coté ficelle. Et ce matin, en m’essuyant la chatte avec du papier toilette, il y avait un peu de sang aussi. Et j'ai encore un peu mal. Je crois que le tampon reste trop sec dans ma chatte. Je vais essayer de mettre plus de lubrifiant ce matin.

Ce matin, je sens mon clito qui coule un peu plus, et le bout de la serviette est humide, mais il n'y a pas d'odeurs. Une fois que j’ai mis les faux seins en place dans le soutien gorge, j’ai pris ma douche, fait un lavement 2 fois et mis le tampon. Cela me brûlait un peu la chatte mais c’était supportable

A 13h j’ai eu un dial avec mon Maître. Il m’a notifié que mes règles serait terminées à la fin de ce dial, et que mon irritation venait surement de ce que j’avais trop enfoncé le tampon dans ma chatte. Il m’a expliqué que je devais l’enfoncer juste à l’orée de la chatte, et que s’il tentait de sortir, je devais contracter ma chatte pour l’en empêcher. Je devais donc entrainer les muscles de ma chatte en les contractant et relâchant le plus souvent possible.

Ensuite il m’a indiqué quelle serait ma nouvelle tenue pour la semaine à venir. Chez moi, guêpière, bas et string avec faux seins dans les bonnets de la guêpière, avec par dessus ma tunique semi transparente et ma jupette plissée rose. Plus de cage ni de serviette hygiénique et le clito devait être maintenu en place, bien tiré en arrière. Pour sortir, je devais remplacer la guêpière par un porte-jarretelles.

Il m’a aussi expliqué, en e montrant un petit film, comment je devais retirer mes bas de manière féminine. Pour cela, je devais m’approcher d’une chaise, lever un genou pour ôter l’escarpin du pied, poser l’escarpin par terre en m’accroupissant cuisses bien serrées, bien lisser la jupe, puis relever le genoux pour poser le pied sans escarpins sur la chaise, retrousser la jupe par derrière et défaire les jarretelles qui maintienne le bas, puis rouler doucement le bas tout le long de la jambe jusqu’à la cheville, lever le pied pour ôter le bas, reposer le pied par terre, lisser à nouveau la jupe pour la remettre en place et procéder de même avec l’autre jambe.

Il m’a aussi indiqué qu’avant de m’asseoir, je devais lisser ma jupe, puis abaisser doucement mon postérieur sur la chaise, les cuisses bien serrées pour m’asseoir sur ma jupe.

Il m’a aussi réprimandé car je ne dois plus utiliser les mots « je pense » ou « je crois », vu que je ne pense rien et ne crois rien, et que lui seul pense ce qui est bien pour moi. Je devais être plus attentive à ses consignes, et si j’avais un doute, lui demander seulement confirmation. Comme punition, il m’a imposé le port des pinces pendant notre dial.

Il faut aussi que je trouve un rayon pêche quelque part pour acheter des poids pour mes pinces. J’en tremble d’avance, car ces pinces sont métalliques et me font déjà très mal sans poids.

Quand mon Maître a décidé que notre dial était terminé, je me suis mise dans ma nouvelle tenue pour sortir.

Je suis sortie dans la tenue demandée : bas, porte jarretelles et string sous mon « déguisement de garçon ». J’avais coincé mon clito en arrière, bien remonté le string et le porte jarretelle de façon à le faire tenir au dessus du niveau de la ceinture de mon pantalon. Ainsi il n’a pas bougé. En marchant je sentait les bas qui tiraient sur les jarretières, et surtout j’avais l’impression d’avoir les fesses nues, à l’air et que tout le monde pouvait voir que je portais un string (mais bien sûr ce n’était pas possible). Bien coincé en arrière, mon clito est resté très sage.

En rentrant, j’ai fait un petit pipi, assise, et je me suis aperçue que le bout de mon clito était tout humide, comme le gousset de mon string et il y avait même des traces un peu blanches sur le gousset. Comme des pertes de femelle.

Je remercie mon Maître de tous ses conseils pour être plus féminine. Je m’aperçois en effet que si je ne fais pas attention, j’ai l’air d’une grosse balourde. Il faut que je contrôle chacun de mes mouvements et le port des talons m’aide beaucoup. Cela ira sûrement encore mieux avec me corset qui m’aidera à me tenir droite.

mercredi 20 juin 2012

Retour à la maison

Voilà, fin des vacances (sniff) et retour à la grisaille parisienne. Mais je suis contente quand même, de retrouver mes affaires de femelles, mes jouets et surtout ma cage de chasteté. Heureuse toujours car mon Maître continue ce délicieux dressage pour révéler ma féminité.

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Mais d’abord, il faut que je vous parle de ce qui s’est passé hier. En dial sur MSN, il m’a ordonné de me donner 20 coups de ceinturon sur les fesses parce que j’avais gardé mon slip et mon short au lieu d’avoir le bas ventre nu. Une fois les 20 coups donnés, bien fort, sur les fesses, qui me cuisaient, et pendant que je me donnais la punition, il m’a indiqué plusieurs vêtements sur le site de La redoute pour compléter ma garde robe féminine. Il avait choisi deux jupes, une longue et ample, boutonnée sur le devant (http://www.laredoute.fr/vente-jupe-ample-boutonnee-longueur-71cm.aspx?productid=324383861&documentid=999999&categoryid=31522780&customertarget=0&numberpage=1&offertype=0&pos=35_n_n_n_n_n_n&prodcolor=2 ), une mini jupe de soirée avec des brillants (http://www.laredoute.fr/vente-jupe-forme-trapeze.aspx?productid=324292960&documentid=999999&categoryid=31522780&customertarget=0&numberpage=2&offertype=2&pos=39_n_n_n_n_n_n&prodcolor=1 ) et une robe à manche longues et drapée (http://www.laredoute.fr/vente-robe-manches-longues-drapee.aspx?productid=324342734&documentid=999999&categoryid=61254598&customertarget=0&numberpage=4&offertype=5&pos=26_n_n_n_n_n_n&prodcolor=3 ). Et aussi un mignon shorty faisant string et super craquant : http://www.laredoute.fr/vente-shorty-string-a-noeud.aspx?productid=324251247&documentid=999999&categoryid=22939451&customertarget=0&numberpage=3&offertype=0&pos=3_n_n_n_n_n_n&prodcolor=5

Puis il m’a demandé de libérer mon clitoris en défaisant le laçage qui le maintenait plaqué en arrière entre mes cuisses et de m’asseoir tout au bord de la chaise en écartant bien les cuisses. Alors, comme j’indiquais à mon Maître, que mon clitoris était tout érigé à cause de la punition et à la vue de cette jupe ample, que je m’imaginais porter devant mon Maître, déboutonnée et en train de me faire peloter les cuisses par mon Maître, puis de resserrer le lacet autour de mes bourses. Après cela fait et que je lui ai envoyé une photo, il me demanda de me caresser le clitoris du bout des ongles, puis d’un doigt sur toute la longueur, dessus puis dessous. Mon clitoris était dans un sacré état, tout érigé, sous ses caresses féminines et au bout de quatre jours de chasteté. Je continuais à le caresser, en humidifiant mon doigt de salive pour que cela glisse bien, puis il me demanda de concentrer mes caresses sur le gland.

Au bout d’un moment, il m’ordonna d’aller m’allonger sur le lit, cuisses bien écartées, et nue, et de laisser mon clitoris cracher son jus de tapette sur mon ventre. Une fois fait, je devrais ramasser les gouttes du bout des doigts et les lécher comme une gourmande.

Je me suis exécutée, en me branlant le clitoris pour me faire jouir. J’ai eu un peu de mal à cause du bondage du clitoris, aussi j’ai du desserrer un peu le lacet comme mon Maître m’y avait autorisé, mais au bout d’une dizaine de minutes, j’ai craché tout mon jus de lopette. Ca a giclé très fort, j’en avais sur le ventre et jusque dans le cou. J’ai essayée d’en ramasser l maximum au bout de mon doigt en le léchant à chaque fois. En tentant de ramasser les gouttes au bout de mon doigt, j’en étalais bien involontairement sur ma peau. J’avais la poitrine toute souillée de sperme, collante et avec la chaleur cela séchait rapidement sur moi.

Quand ce fut terminé, je resserrais le bondage de mon clito. Puis mon Maître me libéra pour que je puisse vaquer à mes occupations.

En prenant ma douche avant de sortir, j’avais un peu honte de ce que j’avais fait, et la tension sexuelle étant retombée, je me sentais à nouveau « mec » pour le reste de la journée. Mais cela ne dura pas et dés le soir je me sentais encore plus « femelle » et de nouveau sous l’emprise de mon Maître.

Malheureusement, des problèmes de Wifi saturé à l’hôtel m’empêchèrent de me connecter dans la soirée sous MSN pour dialoguer à nouveau avec mon Maître. J’eu juste le temps de lire un mail de mon Maître, où il m’indiquait un magnifique corset que je devais acheter et porter pour améliorer mon maintient http://www.corsets-fr.com/long-line-tailored-purple-brocade-pattern-corset-my-005-aza.html et de lui répondre en lui indiquant l’horaire de mon train.

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En début d’après midi, dés que je suis rentrée chez moi en sortant de la gare, je me suis connectée pour voir si j’avais des messages de mon Maître. Il me faisait part de son mécontentement car je ne l’avais pas avisé assez tôt de mon retour et qu’ainsi il n’avait pas pu me donner des consignes spécifiques pour mon voyage de retour en train. Et ce mail datait à peine de quelques minutes…

Alors je me suis vite connectée sur MSN, et agréable surprise, mon Maître était connecté. Comme je n’avais pas voyagée en portant le collant que j’avais acheté pendant les vacances (car n’ayant pas pu me connecter sous MSN, il n’avait pu me donner cette consigne, c’étais donc de ma faute, et je méritait une punition). Les consignes de mon Maître furent les suivantes : désormais, dés que je renterai chez moi, je devais laisser tomber mes affaires de garçon au sol, puis poser mon collier et nue passer un string et un collant.

Puis, il me donna sa punition : me cingler les cuisses devant et derrière, 20 fois de chaque côté, mais avec le martinet cette fois.

Je me donnais des coups vigoureux, toute heureuse d’avoir retrouvée mon Maître, et de lui faire plaisir en me punissant. Je frappais vraiment fort, les coups résonnaient (tant pis pour les voisins !) et à la fin mes cuisses étaient rouges et me cuisaient. Puis je passais string et collant.

Ensuite, comme j’avais indiquée à mon Maître que je devais sortir pour faire des courses pour remplir mon frigo, mon Maître m’indiqua que je devrais porter cette tenue, string, clito bandé, collant (sauf le collier donc) sous mon « déguisement de garçon » pour aller faire ces courses. Et il me demanda de rajouter dans ma liste de course : des feutres indélébiles, un rouge et un noir, ainsi que des serviettes hygiénique « Always ultra » et des tampax pour mes règles qui allaient commencer dés demain matin.

Ensuite je devais me reconnecter le soir à 20h30 sous MSN.

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Hier soir, je me reconnectais à 20h28 et j’attendais mon Maître, troublé et avec des papillons dans le ventre. Il critiqua le compte rendu de mes courses car je n’avais pas fait mention des sensations que j’avais éprouvée en les faisant, le clito bondé, en string et en collant sous mon « déguisement de garçon ». Je lui indiquais que j’étais troublée, mais sans plus. Il me demanda si j’avais déjà fait ce genre de chose, et je lui répondais affirmativement (à part le bondage du clito).

Puis, comme je lui indiquais que j’avais vraiment du mal avec le bondage du clito et qu’au bout d’un moment le lacet me faisait mal et que le clito finissait toujours par se mettre de travers, il m’autorisa à mettre ma cage de chasteté CB6000 modèle « small ». Je me dépêchais de la remettre, toute heureuse d’avoir mon clito bien emprisonné dans sa cage.

Puis il me parla de mes règles qui devaient commencer dés demain matin et durer jusqu’à samedi. A sa question, je lui répondais que je n’avais encore jamais connu cette expérience. Il m’expliqua qu’après mon lavement du matin, je devrais bien me lubrifier la chatte avant de mettre le tampon. Premier tampon à 7h du matin, puis je devrai changer de tampon, quel que soit le lieu où je me trouverai, à 12h puis à 16h. Pour la nuit je devrais porter une serviette hygiénique dans ma culotte d’éviter que la mouille de mon clitoris ne souille ma culotte.

Les consignes pour la nuit étaient les suivantes : porter une serviette hygiénique dans une gaine culotte, avec le clitoris dans sa cage de chasteté, le collant par dessus, et pour le haut, un redresse sein et la nuisette. Je devrais aussi porter ces dessous (sauf la nuisette te le collier) sous mon « déguisement de garçon » pour sortir. Et bien sûr le tampax.

Comme mon Maître m’avait autorisé à acheter le corset, je l’ai commandé, avec six portes jarretelles noires qui allaient avec ce modèle. Ensuite mon Maître m’a demandé de pratiquer mes exercices de marche féminine avant d’aller me coucher.

lundi 18 juin 2012

Ma féminisation débute...

Bonjour,

Je suis en vacances en ce moment, et j’ai la chance d’avoir trouvé un nouveau Maître. Pour l’instant ce n’est que virtuel.

Il a commencé mon dressage et désire une appartenance totale. Pour me rendre plus féminine. Pour l’instant je dois apprendre à marcher en plaçant mes pieds l’un devant l’autre et en plaquant mes mains sur le haut de mes fesses. Je dois me tenir assise bien droite, reins cambrés et cuisses croisées bien haut.

Bien entendu je dois rester chaste car mes jouissances lui appartiennent. Comme je n’ai pas amené ma cage en vacance, je dois me ligoter le clito avec un lacet pour le coincer bien serré entre mes cuisses. Cela fait maintenant trois jours que je suis chaste et mon clito commence déjà à couler un peu.

Jusqu’à maintenant, je n’étais qu’une truie honteuse, tout juste bonne à sucer des bites, à me faire enculer à la va vite, à répéter encore et encore le même schéma, et à être éternellement insatisfaite car ces séances ne me comblait pas. Je ne pouvais vraiment intéresser personne. Maintenant, grâce à mon Maître, je me sens devenir plus féminine de jour en jour. Féminine et heureuse d’être une poupée docile en devenir, malléable, heureuse, bien dans ma tête et enfin en accord avec moi-même. Pour mon Maître (d’après ce que j’ai comprise de Sa Volonté), aujourd’hui le plus important est de révéler mon potentiel féminin. Même si je ne suis pas belle, je peux m’améliorer et surtout devenir complètement « femelle » dans ma tête. J’ai encore beaucoup de progrès à faire, mais je crois que je suis sur le bon chemin.

Quand je serais devenue « présentable », comme il dit, il me mettra à disposition.

Je suis heureuse d’avoir un nouveau Maître.