dimanche 11 mars 2007

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jeudi 8 mars 2007

Aider un ami (suite 5 )

Partie 3


Ainsi j’étais sur mes genoux sous le bureau de Derel, léchant son cul tandis qu’il donnait la dernière touche à un devoir d’anglais. C’était une position que je connaissais bien. J’y étais déjà depuis plus d’une heure, alternant mes léchages entre son sexe et ses énormes couilles poilues, et enfin son anus humide de sueur. A part aujourd’hui, j’avais été dans cette positon bien des fois, donnant du plaisir à Derek pendant qu’il travaillait. Il y avait plus d’un mois que j’avais avalé le sperme de Derek pour la première fois et qu’il avait décrété à la face du monde que j’étais sa suceuse de bite. Je connaissais désormais ma place.


"Lèche mon cul avec tes douces lèvres," dit-il en tapotant affectueusement ma tête. "Finissons en vite avec ce devoir. Puis je m’occuperai de toi."


Je gémissais dans sa raie culière poilue, enfonçant ma langue encore plus profond. Quand j’avais commencé à le laper, c’était plein d’odeurs fortes, un mélange de sueur et de reste d’excréments. Maintenant tout était humide de ma salive, et je sentais quelques poils de son cul coincés entre entre mes dents.


"Ne bouge pas, une seconde, lopette." M’avertit Derek. Je savais ce qui allait arriver. Un moment de concentration et puis un, pet bruyant et âpre explosa de son cul. Je collait ma bouche à son anus et avalait profondément. Il n’eu pas besoin de tenir ma tête contre son cul quand il péta encore, comme je l’espérait.


"Merde !” dit son compagnon de chambre, alors qu’il rentrait dans la pièce. "Ca pue. "


Derek rit. Avaler toute cette bouffe m’a donné des gaz. D’où viens tu ?


"De bosser. " Répondit Jake. Jake travaillait toutes les après midi. En début de soirée il avait fait de la gym sans prendre de douche et arrivait à la chambre tout transpirant. Il aimait recevoir un long bain de langue. "La pédale est là ?" demanda-t-il


"Bien sur qu’elle est là. Justement en train de déguster mes pets puants."


Je gémissais et émis des bruits de léchage pour exprimer mes remerciements pour ces cadeaux odorants.


"Est que je peux en profiter un peu ?" Demanda Jake.


"C’est OK. Viens ici. "


Jake se baissa et je peu voir son visage dégoulinant de transpiration. Je ne l’avais pas encore aperçu, car j’étais sous le bureau. Sa voix était autoritaire. "Pédale, mets dans langue dans mon aisselle tout de suite ! "


Je m’extrayais de dessous le bureau, Derek donna une forte claque à mon cul tandis que je poussais un petit cri de douleur. Jake s’assis sur le bord de son lit, nu, mis à part son jock strap. Je rampais entre ses jambes. Il sourit et leva un bras. Je fis immédiatement courir ma langue le long des poils moites de ses aisselles. Il soupirait, heureux, tandis que je le léchais, passant de ses aisselles à son mamelon, puis à l’autre, puis l’autre aisselle trempée de sueur. Cet homme transpirait beaucoup, et j’aimais cela. Lorsque je me remis à lécher ses mamelons, il se renversa en arrière sur le lit et poussa avec force la tête vers son bas ventre. Je léchais son slip jusqu’à ce qu’il m’ordonne, les orteils, lope. Je pris son pied dans ma main et commençait à l’extraire de ses basquets sales. En suivant ses ordres, je passais à l’autre pied. Finalement, il se cambra et fit baisser son slip. Son pénis était à moitié dressé et était couché le long de son ventre.


"Je vais pisser, suceur de bites. J’espère que tu es assoiffé. " Je pris rapidement le gland de son membre monstrueux dans ma bouche juste quand il commença à lancer un épais jet de pisse dans ma gorge. J’avalais docilement. Le flot semblait ne jamais s’arrêter, tandis que Jake disait "Avale cette pisse. Avale là. Ouais." Jake pissa dans ma bouche si longtemps que Derek pivota de son bureau et commença à observer. Quand le jet déclina finalement, Jake exhala un bruyant soupir d’aise et Derek se mis à applaudir.


"Steve tu es parfaite pour cela." Me congratula Derek. "Tu obéis à tous nos ordres, tu es la parfaite pédale."


Je resplendissais. J’aime faire cela, Derek. Merci pour cela, Jake, dis-je, retrouvant ma respiration. J’aimais tellement leur sperme et leur pisse que Derek avait pris l’habitude de recueillir sa pisse du matin dans une bouteille d’eau, qu’il me servait ensuite, plus tard, dans la journée. Des fois il secouait la bouteille, ce qui faisait que la pisse m’éclaboussait le visage. Et Jake aimait cela. Ils pouvaient en rire pendant 10 minutes après, tous les deux harponnant ma bouche et ma gorge avec leur bite.


"C’était amusant Steve, " dit Jake. "Maintenant, allonges-toi que je puisse m’asseoir sur ta face de lopette."


J’obéis rapidement, sautant sur le lit. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Jake avait abaissé sur mon visage le trou du cul le plus moite dont je ne pouvais rêver. Avant de m’autoriser à le lécher avec ma langue, il commença par essuyer son entre fesse moite de transpiration sur mon nez et mon front. La face de cette pédale va sentir une odeur de WC, hurla-t-il.


"Voilà qui est fait !" Annonça Derek tandis que je lapais le trou de Jake, respirant ces senteurs fortes de male. "Mon tour !"

mardi 6 mars 2007

Aider un ami (suite 4 )

Le regard de Jake allait de Derek à moi-même. Je ne pouvais dire ce qu’il était en train de penser, mais je désirais tout cela. Je rampais vers lui, tombant à genoux devant lui, et je baissais lentement son short et son boxer.


"Et bien dit donc, " haleta Jake.


Sa queue était magnifique, pas aussi grande que les 20 centimètres de Derek, mais était conséquente et aussi épaisse. Et ses couilles ! Enormes, poilues, couvertes de sueur suite aux efforts qu’il venait de fournie à la gymnastique. Je m’inclinais en avant et pris un testicule dans ma bouche, le faisant rouler sur ma langue.


"Oh super ! " Gémit Jake.Je vénérais ses couilles, m’occupant tantôt de l’une, tantôt de l’autre. Derek s’assis sur le bord de son lit, branlant sa bite érigée et rigolant.


"Suce bien sa bite Steve. Montre lui comment tu peux tout prendre en bouche. "


Je déplaçais ma bouche vers le gland, sa queue était maintenant complètement durci et gonflée au point de montrer ses seines saillantes. J’encerclais le gland de coups de langue avant de rapidement prendre toute la longueur au fond de ma gorge. Jake se laissait faire, gémissant de plaisir et me laissait officier sur son membre. "C’est trop bon."


Dereck pris la parole. "Bien sur c’est bon. C’est une bonne pipeuse. Mais tu vas manquer le meilleur Jake. "


"Je ne rate rien, mec," dit Jake. "Merci, c’est super. "


Cela énerva Derek, car le ton de sa voix changea. "Jake, c’est une pédale. Ce n’est pas une vraie fille. Tu n’as aucun besoin de la remercier et de lui dire combien tu apprécies sa bouche de pompeuse. Tu la traites trop gentiment. Regarde bien." Dereck claqua des doigts fortement. "Sale pédale ! Viens lécher mon cul connasse !" Derek inclina son dos sur le lit et écarta ses fesses à deux mains. Je fonçais enfoncer mon nez entre ses fesses. "Lèche ce cul." Je lapais son trou furieusement. "Je veux t’entendre apprécier l’odeur de mon cul merdeux." Je commençais à soupirer et gémir tandis que je passais ma langue dans sa fente culière. "Tu aimes cela ? C’est comment ?" Derek poussa fort et lâcha un pet très bruyant. L’odeur était absolument suffocante.


"Mec ça pue." Dit Jake.


"Bien sur ça sent mauvais, c’est un pet."


"Comment peut-il supporter cela ?"


"C’est une lope, n’est ce pas ? Regarde comment te servir de lui." Il me repoussa de son trou du cul et se cabra, pour fourrer sa queue bande dans ma bouche et l’enfonça jusqu’à ce que j’ai le nez noyé dans ses poils pubiens. Ensuite il me repoussa rapidement jusqu’à ce que seul le gland reste en bouche. Puis il s’enfonça à nouveau dans ma gorge. Ses mains enserraient ma tête, me tirant fortement les cheveux presque au point de me les arracher. Il pompait furieusement sa bite dans ma bouche et criait après moi. "Suce ma bite... Sale pédale ! Suce connasse ! "


"Mon Dieu, Derek ! " s’exclama Jake.


"C’est ma lope et tu dois la traiter en tant que telle." Il pompa plus vite sa bite dans ma bouche et je pouvais sentir ses boules devenir dures. Soudain il se retira de ma bouche et commença à éjaculer sur tout mon visage. Tandis que le sperme jaillissait jets après jets sur mes lèvres, mon nez, mes cheveux, je pouvais entendre Jake l’acclamer et l’encourager. Finalement Dereck me flagella le visage avec sa bite, poussant des grognements de plaisirs tandis que Jake applaudissait et criait. "Prends ça suceur de bites ! Une vraie pédale !"


Quand Derek s’est retiré, j’étais complètement essoufflée. Il fit quelques pas, vers sa commode et pris sa bouteille de coca, tétant les dernières gouttes. J’observais ses couilles et son sexe maintenant flaccide se balançant entre ses jambes. Puis je sentis la main de Jake sur ma tête.


"Allez pédale, c’est mon tour." Jake poussa sa superbe bite en érection dans ma bouche et guida énergiquement ma tête de haut en bas sur la tige. Et en quelques minutes il était en train d’éjaculer des flots de sperme dans ma bouche que je fus forcée d’avaler avec gratitude.


"Voilà, mec," dit Derek pour féliciter son compagnon de chambre.


"C’était incroyable," dit jake. "Nous devrions faire cela toutes les nuits."


Derek me sourit, branlant sa bite doucement. "Oui nous le ferons."

samedi 3 mars 2007

Aider un ami (suite 3)

Deuxième partie


"Je te reverrai demain soir", avait-il dit. Et cela se produisit, à 6 heures précises, on frappa à la porte de ma chambre. "Qui est ce demandais-je ? "


Je sentis mon sexe se dresser dans mon slip. "Bonjour, c’est Steve, je suis seul, " dis-je. Je pus entendre Dereck rire pour lui-même. Une seconde plus tard, la porte s’ouvrait.


Dereck se tenait debout dans son boxer. Je le désirais. C’était un vrai home. Je ne pouvais pas détacher mon regard de la toison très fournie de son pubis qui disparaissait dans son boxer.


"Ecoute, pédale," dit-il. "Je t’ordonne de revenir cette nuit ici. Je ne sais pas à quelle heure tu vas te coucher, mais j’imagine que pour toi 6 heurs du soir ce n’est pas la nuit. Je dois encore dîner."


Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Oh. Oui, je peux être là plus tard. "


"Tu as intérêt, Steve." Il saisit fermement mon poignet. Tiens, en attendant tu peux me divertir pendant que je mange. "


Il me tira par le poignet et m’entraîna dans sa chambre. Elle était sale et en désordre. Des vêtements sales étalés partout. Son compagnon de chambre, Jake, semblait seulement un petit peu plus ordonné que lui, à en juger par le coté de la chambre qui lui était réservé. Le lit de Derek était couvert de vêtements et de sous vêtements. Sur l’oreiller se trouvait un carton à pizza à moitié vide.


Derek fit tomber sur le sol les vêtements qui se trouvaient sur son lit. Il me poussa sur le lit et s’assis à coté de moi. Il prit une portion de pizza et commença à l’avaler en silence. Il se contentait de me regarder fixement. Il ne devait pas s’être rasé depuis plusieurs jours à voir l’aspect rugueux et négligé de ses joues. Ses cheveux étaient en désordres, gras et malpropres.


"Hé, viens plus prêt." Il me fit signe pour que je me rapproche de lui. Il se pencha vers moi comme s’il était sur le point de m’embrasser. Voulait-il réellement m’embrasser ? Quand nos lèvres furent seulement à quelques centimètres, il fit soudainement un énorme rot. Il rit énormément. "Tu es une pédale stupide, sais tu cela ?" Je baissais les yeux tandis qu’il commençait à téter une autre bouteille de coca. "As-tu passé un bon moment l’autre fois ? Hein?"


"Oui. J’ai aimé sucer votre bite. "


Il grimaçât. "Et ma pisse – elle avait bon goût ? " Je baissais la tête. "Tu as aimé." Il me sourit, une méchante grimace tordit un instant son visage. Alors son air changea. "Je dois m’excuser. J’aurais du t’offrir quelque chose à manger. Je fais un mauvais hôte. "


"Oh ce n’est pas un problème, Derek. " Dis-je, hypnotisé par le buisson de poils noirs qui garnissait ses aisselles et imaginant ma langue titillant chacun des poils.


"Veux-tu quelque chose à manger ? "


"Bien sur. Merci. "


Derek sourit à nouveau. "Et bien attaque ce morceau." Et en disant cela, il abaissa son boxer et s’allongea sur le dos, les jambes relevées, exposant son anus poilu. Il avait toujours un morceau de pizza à la main et continuait de mastiquer bruyamment. "Bouffe moi le trou, pédale."


Je n’avais pas besoin de plus d’encouragement. Je bondis pratiquement vers son entre fesse poilue. Ma langue coulissait de haut en bas le long de la fente et je respirais profondément, inhalant la forte puanteur poivrée. Le goût était fort et son trou était moite et chaud. Je le titillais d’abord avec ma langue avant de la pousser à l’intérieur.


Alors il lâcha un pet, comme cet énorme pet de la nuit d’avant. Et il rit. Visiblement il prenait son pied à me faire respirer ses pets tout chauds. "Respire bien ça, pédale. Profites-en comme la senteur des roses d’un jardin." Et il rentra dans un rire frénétique tandis que je lavait son trou avec ma langue.


"Allez pédé. Mets ta bouche de fiote sur ma bite. Je vais t’offrir un cocktail."


Sachant très bien qu’il allait pisser dans ma bouche, je pris juste le gland de son sexe monstrueux et le laissait reposer sur ma langue. C’est sur, ma bouche n’allait pas tarder à être remplie à déborder avec son jus amer. "N’en laisse pas tomber une goutte, Steve, tu es sur mon lit. Sinon tu devras laver les draps." J’avalais rapidement, buvant sa pisse âcre. Quand il s’arrêta finalement, il sorti sa queue de ma bouche et la secoua sur mon visage. Des gouttes d’urine s’écrasèrent sur ma face.


Tu fais cela bien. C’est pratique d’avoir une pissotière comme toi à sa disposition. Je suppose que tu peux aussi gober mon sperme, hein ? N’est ce pas vrai, lopette ? "


Je souris. "Je veux avaler votre foutre, Derek. S’il vous plait laissez moi le boire. "


Son visage fit une énorme grimace. "Dit le encore, pédale."


"J’aime sucer les bites, et tout particulièrement la votre, Derek. Laissez moi avoir votre sperme.

"

Derek commença à rire de manière incontrôlée. "Tu entends cela ? " Dit-il, regardant par-dessus ma tête vers la porte.


"Oui, j’ai entendu. "Je me retournais et je vis Jake, son compagnon de chambre en survêtement, debout dans l’entrebâillement de la porte. "Steve, es tu vraiment un suceur de bite ? "


Derek rit. "Jake, c’est la meilleure sorte de suceuse de bites: c’est ma suceuse de bites. Dit lui, Steve."


Je regardais Jake, embarrassé. Jake était véritablement un très bel homme. C’était de manière très nette un hétérosexuel qu se distinguait de la foule male de ce dortoir, et lui, contrairement à beaucoup d’autres, n’avait pas fait tout ce qu’il pouvait pour m’insulter. Il était très désirable. Il faisait plus d’un mètre quatre vingt avec un cops musclé de nageur. "Je suis la suceuse de bite de Derek." Jack me regarda fixement à nouveau.


"Et maintenant, Steve, " dit Derek, "tu es NOTRE suceuse de bite. Hé, Jake, veux-tu une bonne pipe ? "


Jake me regarda. Vraiment ?


"Pas la peine de lui demander. C’est juste une lopette. Bien sur qu’il le fera."


vendredi 2 mars 2007

Aider un ami (suite 2)

J’ajustait immédiatement ma position afin d’avoir un meilleur accès à ses grosses couilles. J’enfonçais ma tête entre ses cuisses ouvertes, prenant un testicule dans ma bouche et faisant rouler ma langue autour. De ma nouvelle position, je pouvais sentir une odeur différente, plus musquée, plus sale aussi. Il semblait ne pas avoir essuyé son cul depuis des semaines. Je léchais son scrotum, avançant irrésistiblement vers son anus. Et alors, sans aucun avertissement, il lâchât un énorme pet. Le volume énorme de ce pet me choqua et je tentais de me retirer. Mais la poigne de Derek était forte. Il força ma face à se positionner directement en face de la ligne de feu, en ricanant, tandis qu’il lâchait un nouveau pet, plus petit.


"Sent ça, pédale. Je veux t’entendre respirer. Profites-en." Je respirais profondément, savourant cette odeur de male. "Tu aimes cela tapette. Lèche mon trou. Allez. Lèche le." J’avançais ma langue jusqu’à son anus moite de transpiration, goûtant les restes de merde et de sueur. Je commençait d’abord par faire lentement le tour de son anus, et commençait à le laper comme une chienne, dardant ma langue dans et hors de son trou du cul tandis qu’il me raillait et me mettait en son pouvoir.


"C’est la meilleure pipe que j’ai eu depuis des semaines, sale petite pédale. Ouvre grand." En disant cela, il péta encore une fois, avec force et grand bruit, une bourrasque de vent entra dans ma bouche, faisant gonfler mes joues. Je n’en lapais pas moins plus vigoureusement son trou. Tu aimes la puanteur de mes pets, tapette. A ma bite ! A ma bite ! " Je remontait rapidement ma tête et pris sa queue dans ma bouche, l’enfonçant profondément jusqu’à ce qu’elle bute au fond de ma gorge. Je crispais et décrispais ma gorge, sentant son outil au plus profond de moi. Je sentais ses couilles se frotter contre ma poitrine. Il commença à éjaculer, remplissant ma gorge d’abord et ensuite se retira en partie jusqu’à ce que seul le gland reste dans ma bouche, qu’il remplis avec sa semence. J’avalais avec enthousiasme, à cours de respiration, et adorant tout cela.


Lorsque son érection eu déclinée, je voulu retirer sa queue de ma bouche, mais ses mains m’en empêchèrent en me maintenant fermement. Il rit. "Qu’il y a-t-il d’urgent pédé ? Tu aimes la bite. Prends ton temps. Laisse moi m’asseoir maintenant. Oui. Comme cela." Il tirait gentiment mes cheveux tandis que je m’agenouillais devant lui, la tête de son gland flaccide posé sur ma langue. Il plissa les yeux et se concentra. Je le regardais droit dans les yeux.


"Tu sais ce qu’il y a de meilleur après une bonne pipe et avant d’aller au lit ?" Je secouais ma tête de droite à gauche pour signaler que je ne savais pas. "Et bien, après que la pétasse bien avalée mon sperme et qu’elle dégage. Je vais pisser pour bien me vider la vessie." Je le regardais en levant les yeux. "Oui. " Dit-il. En appuyant sa main sur ma gorge. "Mais avec une pédale comme toi, je n’ai plus besoin de me lever pour aller aux toilettes, n’est ce pas ? Tu vas tout boire comme une bonne petite lopette. Tu vas apprécier pédé !"


Je sentis le premier jet d’urine entrer dans ma bouche, acide, piquant. J’avalais rapidement, sachant que la force du jet allait augmenter, ce qui arriva. J’avalais toute la pisse que je pouvais pendant environ clinquantes secondes tandis qu’il tiraillait mes cheveux. Quand il eu fini, il retira son sexe flaccide de ma bouche et le secoua, ce qui fit jaillir quelques gouttelettes d’urine qui s’écrasèrent sur mon visage.


"Tu es une bonne suceuse de bite, pédale. As-tu apprécié ?" J’opinais de la tête. "Quoi ? Dis le à haute voix, putasse."


"Oui j’ai apprécié. J’ai aimé vous sucer la bite. "


Il grimaça. "C’est une bonne chose. Je te reverrai demain soir."