samedi 15 décembre 2007

Confession

Je suis une grosse salope de 52a, je mesure 1m75 et pèse 80 à 82 kgs. Je suis très moche . Le fait de me travestir n’arrange rien car je suis balourde et gauche et pas du tout sexy. Mais je suis désormais totalement épilée. Mais dans ma tête je me sens très femelle. Et de plus en plus. Et j’ai des attitudes un peu maniérées.

Pardon. Je sais que je dois demander tout le temps pardon car je me sens très moche. J’ai besoin de ressentir l’humiliation, les insultes, et le mépris total que je vous inspire.

J’ai découvert tardivement la bi sexualité que je ressens comme quelque chose de honteux. Mais j’ai quand même franchit le pas à plusieurs reprise et j’ai déjà sucé, léché cul et slip sale et me suis faite enculée (avec capote) comme une bonne salope. J'ai aussi reçu pisse en bouche (tout cela de la part d'homme bien sur). Maintenant je dois avouer que j’aime sucer une queue, sentir son odeur (surtout), lécher un cul bien odorant et sentir son odeur (surtout) et bien sur me faire enculer.

Ce qui m’attire avant tout dans ces rapport c’est l’humiliation que je ressent (même si de plus en plus j’aime la queue comme la vraie salope que je suis en tain de devenir). Aussi il est indispensable que ces relations se passent dans une ambiance d’humiliation et d’avilissement. Il est nécessaire que cela vous excite et que vous preniez du plaisir à me rabaisser et à écraser une merde comme moi.

J’aime aussi beaucoup obéir, et donner du plaisir sans contre partie tout en étant totalement frustrée (pas d’éjaculation).

J’aspire à être prise en main de manière progressive, pour me sentir passer progressivement sous votre emprise, afin de vous appartenir en réel et de devenir une véritable lopette et sous merde femelle à votre service. En particulier être dressée à uro et même scato. Je sais qu’au final, je serais devenu une véritable chiotte... Pour recevoir la merde de mon Maître. Je suis très attirée par odeurs ...

Je cherche une domination psychologique, une prise en main progressive, pour faire de moi votre femelle bonne à tout faire.

J’ai quelques limites. D’abord je ne voudrais prendre aucun risque coté VIH, donc je préfère éviter des situations comme l’abattage. Je préfère aussi ne pas recevoir sperme en bouche sauf si relation régulière et test à jour. Ensuite je voudrais que tout cela reste mon jardin secret. Enfin je ne suis pas maso physiquement, donc je ne recherche pas la douleur, mais bien entendu j’accepte d’être traité avec rudesse et d’être punie (fessées, pinces, martinet, cravache) sans excès.

Depuis peu j'ai fait l'acquisition d'une ceinture de chasteté. C‘est très important pour moi car j’envisage de la porter et d’être ainsi totalement sous le contrôle de mon Maître. Bien entendu cela suppose un suivi régulier et un contrôle poussé de ma vie quotidienne, une sorte de contrat progressif, afin d'avoir le sentiment d'appartenir totalement et de voir porter ma cage.

jeudi 22 novembre 2007

Est ce si difficile de trouver un Maître ?

J'avais pourtant cru que c'était lui ....

Mais bon visiblement pas assez disponible... Et moi qui cherche une APPARTENANCE TOTALE...

Alors en désespoir de cause, je passe mon annonce ici:

Grosse salope de 53a, 1m75, 82 kg, très moche, travestie, balourde et gauche, pas sexy, complètement lisse. Je me sens très femelle dans ma tête. J’ai des attitudes un peu maniérées. J’ai besoin de ressentir l’humiliation, les insultes, et le mépris total que je vous inspire et de demander pardon pour ce que je suis. J’ai découvert tardivement la bi sexualité que je ressens comme quelque chose de honteux.

Mais j’ai quand même franchit le pas à plusieurs reprise et j’ai déjà sucé, léché cul et slip sale et me suis faite enculée comme une bonne salope. J'ai aussi reçu pisse en bouche (tout cela de la part d'homme bien sur) J’aspire à être prise en main de manière progressive, pour me sentir passer progressivement sous votre emprise, afin de vous appartenir en réel et de devenir une véritable lope et sous merde à votre service. En particulier être dressée à uro et même scato. Je suis très attirée par odeurs ...

Je cherche une domination psychologique, une prise en main progressive, pour une appartenance totale, faire de moi votre femelle bonne à tout faire. Je suis maso moral : plus vous me rabrouerez, m'insulterez me ferez sentir votre mépris me traiterez comme une merde plus je me sentirait à vous.
Limites : pas de prise de risque vis-à-vis VIH, que tout cela reste mon jardin secret, pas de marques trop visibles. Non maso physiquement, je ne recherche pas la douleur, mais accepte d’être traité avec rudesse et d’être punie. Depuis peu j'ai fait l'acquisition d'une ceinture de chasteté. Je peux vous envoyer pics si vous le désirez.


alineso92 arobas free.fr

dimanche 28 octobre 2007

Bijoux



Je viens de rentrer avec les chaînettes que j'ai immédiatement mises. Je suis fière de porter ses bijoux qui trouvent mon appartenance à mon maître.

Je suis sorti avec mon petit plug rouge dans ma chatte. Je me sentais qui remue en moi à chaque pas. J'étais obligé de faire des petites enjambés. J'avais peur que mon clito se met à couler parce que je ressentais de l'excitation avec ce plug me massait la chatte.


J'ai pas mal marché. J'ai finalement trouvé un bijoutier avec des prix raisonnables. J'ai pris les deux chaînes en plaqué or. Puis je suis rentré et je suis passé au petit supermarché pour faire quelques courses. J'ai immédiatement fait des photos pour que vous voyiez votre salope avec ses bijoux.

La chaîne autour de la taille et d'un peu trop grande alors en n'attendant de la faire raccourcir j'ai fait un petit nœud pour quelle ne descende pas.

Merci Maître

Voici les dernières décisions de mon maître

Voici les dernières décisions de mon maître.

« Tu as intérêt a ne rien décider toute seule je dis bien que tu es sous contrôle, je rappelle que maintenant tu es a moi, tu ne décide plus de rien salope»

« Je vais gérer ta vie au quotidien, tu vas mettre ton collier en permanence habille en tenue de pute et tu ne porte plus de culotte chez toi a partir de maintenant mémé quand tu as un plug dans ton gros cul a merde, à la maison, je veux que tu portes que du noir survêtements, robes jupes vinyles, cuir, le blanc symbolise la pureté donc pouffiasse plus de blanc, je vais te faire un programme »

Et voici ma réponse :

« J'aime énormément le fait de me sentir totalement sous contrôle pour tous mes faits et gestes. C'est quelque chose dont je rêvais quand je pensais à mon maître idéal. Progressivement je pense que vous nous allez resserrer votre contrôle au fur et à mesure que vous me connaîtriez mieux.

Pour les bijoux, je pourrais regarder ce matin à Barbès chez des marchands arabes, il y en a sûrement d'ouverts, et ce sera sans doute moins cher et plus humiliant pour moi. Si vous préférez que j'achète sur Internet, je vous montrerai au préalable les modèles. Puis-je sortir ce matin pour aller regarder cela ?

Tu devra porter une chaînette à la cheville et autour de la taille.»

Ça tombe mal car jusqu’à présent j’avais surtout du blanc. Il va donc falloir que je m’équipe. En attendant je vais mettre mon body noir et mon collant noir.

samedi 27 octobre 2007

Lettre à mon Maître

Oui Maitre, j'accepte tout cela

Je vous remercie infiniment Maître de me prendre sous votre contrôle. C'est ce que je désire maître, être entièrement sous votre contrôle, que mon emploi du temps vous soit entièrement soumis.

Je vous suis très reconnaissante de m'offrir votre linge à laver et à repasser c'est un immense honneur et un vrai bonheur pour moi. et je vous remercie encore plus pour ce slip que vous allez garder pour moi. J'espère qu'il sera plein de votre sperme, plein de décharges de mon maître adoré.

Je vous préviendrai à l'avance de tout évènement ou possibilité de sortie Maître. Merci encore.

Concernant aussi mes achats, lingerie, maquillage, gadgets, je m'en remet aussi à vous. Je vous proposerai des choses et c'est vous qui déciderez. Quel bonheur !!! Je ne m'appartient plus !! Je vais devenir amoureuse de vous maître, même si je sais que vous , n'en avez rien à foutre de moi. Pardon d'être ainsi Maître.

Votre esclave Aline

J'ai trouvé mon Maître !!!!!

J’ai enfin trouvé mon maître, le Seul l’Unique. Je lui appartiens totalement. Il contrôle ma cage de chasteté dont il possède les clés.

Pour nous vous avons commencé par échanger des emails. Au début j'ai dû remplir un long questionnaire sur tout ce que j'acceptai, si j'avais l'expérience de telle ou telle chose, si je l’acceptais, quel était mon niveau de crainte, de répugnance et d'excitation.

Ensuite il m'a ordonné de mettre ma cage et de la portée jour et nuit pendant trois jours de suite. Le deuxième jour j’ai du en plus porter le plug. Je me suis finalement endormie assez facilement. C’était bon de sentir le plug dans ma chatte dont je serrai et relâchait les muscles de temps en temps pour mieux le sentir.

J’ai été réveillé juste une fois au milieu de la nuit par une tentative d’érection. Mais dans l’ensemble je n’ai pas trop mal dormi. Et à 4h du matin, forte tentative d’érection qui me fait très mal (l’anneau qui enserre les couilles me fait mal, la cage aussi) et me réveille pour aller faire pipi (assise forcément) comme une bonne femelle.

Au bout de trois jours, mon clitoris commençait sérieusement a couler. A tel point que le dernier jours cela avait traversé deux kleenex pliés en quatre et même taché le slip sous le pantalon et cela alors que j’étais au bureau !

Heureusement que le soir même j’ai reçu l’ordre de défaire la cage et me vidanger et de boire mon jus de fiotte. Je l’ai fait immédiatement, en me chronométrant pour ne pas prendre trop de plaisir. J’ai quand même mis 2mn et 15 secondes pour y arriver, dont une minute pour être ne érection (une chose dont je suis en train de perdre l’habitude). J’avais mis un préservatif pour recueillir le jus. Finalement il n’y en avait pas beaucoup car je n’avais pas eu le temps d’être vraiment excité. Ce fut donc une vidange incomplète. J’ai mis le préservatif en bouche t j’ai avalé ce liquide acre et très sale. J’avais très honte car je n’aime pas faire cela. J’étais vraiment devenu une fiotte.

Ensuite bien sur j’ai du remettre la cage et lui expédier les clés par la poste (c’était vendredi matin 26 octobre). Je n’ai donc plus désormais accès à mon clitoris qui est devenu la propriété exclusive de mon maître.



Hier soir je devais mettre un gros plug de 6cm de diamètre dans ma chatte et le garder pour bien m’ouvrir. Vous pouvez voir votre grosse connasse avec son plug sur les photos.



Mon Maître adoré devait passer hier au soir chez moi pour m’utiliser pour la première fois. J’étais très excitée. Il m’a bien fait mariner, m’envoyant des sms, sans me dire l’heure à laquelle il devait arriver. Finalement il n’est pas venu du tout. J’étais très, très triste, même déprimée.

Je suis allé en dial. J’ai vite trouvé un pseudo dominateur qui voulait juste tirer son coup vite fait. J’ai résisté à la tentation de sucer une queue car je suis fidèle à mon Maître et c’est lui qui décide de tout.

Au final il n’est pas venu du tout. Il avait sans doute bien mieux à faire que de tirer une veille grosse connasse de pute comme moi car je dois le dégoutter. Il s’amuse de moi et il aime me faire souffrir. Comme a ce rythme je suis en train de devenir de plus en plus accro à lui je vais en baver et avec mon masochisme moral je vais enfin pouvoir souffrir comme j’en rêve depuis longtemps.

Cet après midi j’ai eu l’immense honneur de l’avoir en dial sur MSN.

Il m’a ordonné de mettre en ligne mon carnet de punition. Le voici :

Il m’a déjà donné une punition à faire ce soir : boire un verre de ma pisse et lécher ma merde sur mon plug quand je le sortirai de mon anus. Motif de la punition : « pour avoir poser de questions a la con »

mardi 28 août 2007

Petite aide à l'usage des utilisateurs de CB-2000

Soumis par: ceinturcb2000@yahoo.fr sur le site ~altarboy

Mon épouse doutant de ma fidélité, nous avons acheté la cage CB-2000. Après plusieurs essais sur deux à cinq jours, je porte maintenant la CB-2000 sans discontinuer depuis deux semaines. Voici mes impressions:

1. La mise en place:

* Utiliser l'anneau dans lequel une boule rentre juste. La rentrer, puis la seconde puis le reste. Un anneau trop grand laisse la possibilité de sortir l'engin.

* Ne pas laisser trop d'espace entre les anneaux, une boule pourrait sortir (elles sortent beaucoup plus facilement qu'elles ne rentrent); et si une sort, les deux le peuvent et CB-2000 ne sert plus à rien.

* Pour une durée inférieure à deux jours, boucler avec le cadenas métallique.

* Pour une durée de plus de deux jours, et afin de pouvoir prendre une douche, un bain, l'avion (le cadenas sonne au passage des portiques!), il faut utiliser un cadenas en plastique. CB-2000 en livre, mais il faut alors en mettre deux pour éviter d'avoir du jeu qui permettrait au boules de sortir. De plus cela rigidifie et évite une rupture intempestive du cadenas.
Mais plutôt que le cadenas plastique, allez chez Casto avec un anneau et achetez un stock de serre-cables numérotés à la taille du trou de la tige plastique. Le serre-cable remplacera la tige et fera office de cadenas.

2. Vivre avec le jour (sexe non circoncis)

* Couper court ou raser les poils des bourses et du début du périnée pour éviter les tiraillements.

* CB-2000 impose de faire une croix sur les mini-slips (passage au caleçon) et les jeans hyper-moulants.
Un œil averti peut éventuellement le repérer sous un pantalon un peu serré, il suffit de glisser le porte-monnaie dans la poche voisine et personne ne se doute de rien, même assis face à vous dans un canapé ou un train.

* L'envie d'uriner est beaucoup plus fréquente.
Le faire impose l'utilisation du siège sous peine d'avoir des jets partout. Et comme on ne peut pas relever le prépuce pour secouer après utilisation, quelques gouttes s'épandent à chaque fois dans le caleçon. Prévoir une bombe d'eau de toilette pour masquer les odeurs éventuelles.

* Ne pas oublier d'emmener des mouchoirs en papier pour essuyer le CB-2000 après chaque vidange.

3. Vivre avec la nuit

* Les premiers soirs (le temps que la peau s'agrandisse), se passer une bonne dose de pommade anti-douleur (Hémoclar par exemple) sur l'arrière des boules au contact de l'anneau A.

* En cas de réveil par tentative d'extension, s'il n'y a pas de retour au calme dans les cinq minutes, aller aux toilettes pour uriner.

4. Problème de trop plein spermique en portant CB-2000

* Il y a deux solutions : Ou laisser faire la vidange naturelle ou l'aider.

* Pour l'aider, prendre un grand vibro, god, ou tout objet rond d'au moins 20 cms de long. Un diamètre fin suffit, le but n'étant ni le plaisir ni la souffrance.
Bien enfoncé, l'objet atteint la prostate et le porteur de CB-2000 ressent une gêne doublée d'une envie d'uriner.
Gardez la position (éventuellement avec quelques mouvements).
Le porteur de CB-2000 "urinera" son sperme sans érection.

samedi 21 avril 2007

Travail des tétines


J'ai fait l'acquisition de cette pompe à seins vibrante. Pour bien se tenir les tétines sur les tétons, je vous recommande de les maintenir dans un petit soutien-gorge bien serré. Ainsi ils resteront bien plaqués sur la poitrine, de manière bien étanche, surtout si vous mouillez vos pointes de nénés avec un peu de salive.


La pompe n’est pas très puissante, mais suffisante tout de même pour vous sucer vigoureusement les pointes. Au bout d’une demie heure de traitement, les pointes de vos tétons seront parfaitement érigées. De plus vos tétines seront un peu proéminentes. En tout cas vos « sentirez » vos seins pointer sous la chemises ou le tee shirt toute une bonne demie journée. Bien sensibilisés, il se pourrait même que le contact, le frottement des pointes avec le tissus soit une petite gène. Au quel cas il ne vous restera plus qu’à porter un soutien gorge pour protéger vos deux trésors.


Enfin, il y a le vibreur, qui est bien agréable et dont les vibrations résonnent dans toute la poitrine.


Cela fait quelques séances déjà, et je crois que les effets se feront sentir à terme.



Et je vous rappelle, n'hésiterez pas à lire les histoires de soumission masculine sur Soumis et Chaste, c'est gratuit. Merci.

dimanche 11 mars 2007

Nouveau Site !!!

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jeudi 8 mars 2007

Aider un ami (suite 5 )

Partie 3


Ainsi j’étais sur mes genoux sous le bureau de Derel, léchant son cul tandis qu’il donnait la dernière touche à un devoir d’anglais. C’était une position que je connaissais bien. J’y étais déjà depuis plus d’une heure, alternant mes léchages entre son sexe et ses énormes couilles poilues, et enfin son anus humide de sueur. A part aujourd’hui, j’avais été dans cette positon bien des fois, donnant du plaisir à Derek pendant qu’il travaillait. Il y avait plus d’un mois que j’avais avalé le sperme de Derek pour la première fois et qu’il avait décrété à la face du monde que j’étais sa suceuse de bite. Je connaissais désormais ma place.


"Lèche mon cul avec tes douces lèvres," dit-il en tapotant affectueusement ma tête. "Finissons en vite avec ce devoir. Puis je m’occuperai de toi."


Je gémissais dans sa raie culière poilue, enfonçant ma langue encore plus profond. Quand j’avais commencé à le laper, c’était plein d’odeurs fortes, un mélange de sueur et de reste d’excréments. Maintenant tout était humide de ma salive, et je sentais quelques poils de son cul coincés entre entre mes dents.


"Ne bouge pas, une seconde, lopette." M’avertit Derek. Je savais ce qui allait arriver. Un moment de concentration et puis un, pet bruyant et âpre explosa de son cul. Je collait ma bouche à son anus et avalait profondément. Il n’eu pas besoin de tenir ma tête contre son cul quand il péta encore, comme je l’espérait.


"Merde !” dit son compagnon de chambre, alors qu’il rentrait dans la pièce. "Ca pue. "


Derek rit. Avaler toute cette bouffe m’a donné des gaz. D’où viens tu ?


"De bosser. " Répondit Jake. Jake travaillait toutes les après midi. En début de soirée il avait fait de la gym sans prendre de douche et arrivait à la chambre tout transpirant. Il aimait recevoir un long bain de langue. "La pédale est là ?" demanda-t-il


"Bien sur qu’elle est là. Justement en train de déguster mes pets puants."


Je gémissais et émis des bruits de léchage pour exprimer mes remerciements pour ces cadeaux odorants.


"Est que je peux en profiter un peu ?" Demanda Jake.


"C’est OK. Viens ici. "


Jake se baissa et je peu voir son visage dégoulinant de transpiration. Je ne l’avais pas encore aperçu, car j’étais sous le bureau. Sa voix était autoritaire. "Pédale, mets dans langue dans mon aisselle tout de suite ! "


Je m’extrayais de dessous le bureau, Derek donna une forte claque à mon cul tandis que je poussais un petit cri de douleur. Jake s’assis sur le bord de son lit, nu, mis à part son jock strap. Je rampais entre ses jambes. Il sourit et leva un bras. Je fis immédiatement courir ma langue le long des poils moites de ses aisselles. Il soupirait, heureux, tandis que je le léchais, passant de ses aisselles à son mamelon, puis à l’autre, puis l’autre aisselle trempée de sueur. Cet homme transpirait beaucoup, et j’aimais cela. Lorsque je me remis à lécher ses mamelons, il se renversa en arrière sur le lit et poussa avec force la tête vers son bas ventre. Je léchais son slip jusqu’à ce qu’il m’ordonne, les orteils, lope. Je pris son pied dans ma main et commençait à l’extraire de ses basquets sales. En suivant ses ordres, je passais à l’autre pied. Finalement, il se cambra et fit baisser son slip. Son pénis était à moitié dressé et était couché le long de son ventre.


"Je vais pisser, suceur de bites. J’espère que tu es assoiffé. " Je pris rapidement le gland de son membre monstrueux dans ma bouche juste quand il commença à lancer un épais jet de pisse dans ma gorge. J’avalais docilement. Le flot semblait ne jamais s’arrêter, tandis que Jake disait "Avale cette pisse. Avale là. Ouais." Jake pissa dans ma bouche si longtemps que Derek pivota de son bureau et commença à observer. Quand le jet déclina finalement, Jake exhala un bruyant soupir d’aise et Derek se mis à applaudir.


"Steve tu es parfaite pour cela." Me congratula Derek. "Tu obéis à tous nos ordres, tu es la parfaite pédale."


Je resplendissais. J’aime faire cela, Derek. Merci pour cela, Jake, dis-je, retrouvant ma respiration. J’aimais tellement leur sperme et leur pisse que Derek avait pris l’habitude de recueillir sa pisse du matin dans une bouteille d’eau, qu’il me servait ensuite, plus tard, dans la journée. Des fois il secouait la bouteille, ce qui faisait que la pisse m’éclaboussait le visage. Et Jake aimait cela. Ils pouvaient en rire pendant 10 minutes après, tous les deux harponnant ma bouche et ma gorge avec leur bite.


"C’était amusant Steve, " dit Jake. "Maintenant, allonges-toi que je puisse m’asseoir sur ta face de lopette."


J’obéis rapidement, sautant sur le lit. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Jake avait abaissé sur mon visage le trou du cul le plus moite dont je ne pouvais rêver. Avant de m’autoriser à le lécher avec ma langue, il commença par essuyer son entre fesse moite de transpiration sur mon nez et mon front. La face de cette pédale va sentir une odeur de WC, hurla-t-il.


"Voilà qui est fait !" Annonça Derek tandis que je lapais le trou de Jake, respirant ces senteurs fortes de male. "Mon tour !"

mardi 6 mars 2007

Aider un ami (suite 4 )

Le regard de Jake allait de Derek à moi-même. Je ne pouvais dire ce qu’il était en train de penser, mais je désirais tout cela. Je rampais vers lui, tombant à genoux devant lui, et je baissais lentement son short et son boxer.


"Et bien dit donc, " haleta Jake.


Sa queue était magnifique, pas aussi grande que les 20 centimètres de Derek, mais était conséquente et aussi épaisse. Et ses couilles ! Enormes, poilues, couvertes de sueur suite aux efforts qu’il venait de fournie à la gymnastique. Je m’inclinais en avant et pris un testicule dans ma bouche, le faisant rouler sur ma langue.


"Oh super ! " Gémit Jake.Je vénérais ses couilles, m’occupant tantôt de l’une, tantôt de l’autre. Derek s’assis sur le bord de son lit, branlant sa bite érigée et rigolant.


"Suce bien sa bite Steve. Montre lui comment tu peux tout prendre en bouche. "


Je déplaçais ma bouche vers le gland, sa queue était maintenant complètement durci et gonflée au point de montrer ses seines saillantes. J’encerclais le gland de coups de langue avant de rapidement prendre toute la longueur au fond de ma gorge. Jake se laissait faire, gémissant de plaisir et me laissait officier sur son membre. "C’est trop bon."


Dereck pris la parole. "Bien sur c’est bon. C’est une bonne pipeuse. Mais tu vas manquer le meilleur Jake. "


"Je ne rate rien, mec," dit Jake. "Merci, c’est super. "


Cela énerva Derek, car le ton de sa voix changea. "Jake, c’est une pédale. Ce n’est pas une vraie fille. Tu n’as aucun besoin de la remercier et de lui dire combien tu apprécies sa bouche de pompeuse. Tu la traites trop gentiment. Regarde bien." Dereck claqua des doigts fortement. "Sale pédale ! Viens lécher mon cul connasse !" Derek inclina son dos sur le lit et écarta ses fesses à deux mains. Je fonçais enfoncer mon nez entre ses fesses. "Lèche ce cul." Je lapais son trou furieusement. "Je veux t’entendre apprécier l’odeur de mon cul merdeux." Je commençais à soupirer et gémir tandis que je passais ma langue dans sa fente culière. "Tu aimes cela ? C’est comment ?" Derek poussa fort et lâcha un pet très bruyant. L’odeur était absolument suffocante.


"Mec ça pue." Dit Jake.


"Bien sur ça sent mauvais, c’est un pet."


"Comment peut-il supporter cela ?"


"C’est une lope, n’est ce pas ? Regarde comment te servir de lui." Il me repoussa de son trou du cul et se cabra, pour fourrer sa queue bande dans ma bouche et l’enfonça jusqu’à ce que j’ai le nez noyé dans ses poils pubiens. Ensuite il me repoussa rapidement jusqu’à ce que seul le gland reste en bouche. Puis il s’enfonça à nouveau dans ma gorge. Ses mains enserraient ma tête, me tirant fortement les cheveux presque au point de me les arracher. Il pompait furieusement sa bite dans ma bouche et criait après moi. "Suce ma bite... Sale pédale ! Suce connasse ! "


"Mon Dieu, Derek ! " s’exclama Jake.


"C’est ma lope et tu dois la traiter en tant que telle." Il pompa plus vite sa bite dans ma bouche et je pouvais sentir ses boules devenir dures. Soudain il se retira de ma bouche et commença à éjaculer sur tout mon visage. Tandis que le sperme jaillissait jets après jets sur mes lèvres, mon nez, mes cheveux, je pouvais entendre Jake l’acclamer et l’encourager. Finalement Dereck me flagella le visage avec sa bite, poussant des grognements de plaisirs tandis que Jake applaudissait et criait. "Prends ça suceur de bites ! Une vraie pédale !"


Quand Derek s’est retiré, j’étais complètement essoufflée. Il fit quelques pas, vers sa commode et pris sa bouteille de coca, tétant les dernières gouttes. J’observais ses couilles et son sexe maintenant flaccide se balançant entre ses jambes. Puis je sentis la main de Jake sur ma tête.


"Allez pédale, c’est mon tour." Jake poussa sa superbe bite en érection dans ma bouche et guida énergiquement ma tête de haut en bas sur la tige. Et en quelques minutes il était en train d’éjaculer des flots de sperme dans ma bouche que je fus forcée d’avaler avec gratitude.


"Voilà, mec," dit Derek pour féliciter son compagnon de chambre.


"C’était incroyable," dit jake. "Nous devrions faire cela toutes les nuits."


Derek me sourit, branlant sa bite doucement. "Oui nous le ferons."

samedi 3 mars 2007

Aider un ami (suite 3)

Deuxième partie


"Je te reverrai demain soir", avait-il dit. Et cela se produisit, à 6 heures précises, on frappa à la porte de ma chambre. "Qui est ce demandais-je ? "


Je sentis mon sexe se dresser dans mon slip. "Bonjour, c’est Steve, je suis seul, " dis-je. Je pus entendre Dereck rire pour lui-même. Une seconde plus tard, la porte s’ouvrait.


Dereck se tenait debout dans son boxer. Je le désirais. C’était un vrai home. Je ne pouvais pas détacher mon regard de la toison très fournie de son pubis qui disparaissait dans son boxer.


"Ecoute, pédale," dit-il. "Je t’ordonne de revenir cette nuit ici. Je ne sais pas à quelle heure tu vas te coucher, mais j’imagine que pour toi 6 heurs du soir ce n’est pas la nuit. Je dois encore dîner."


Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Oh. Oui, je peux être là plus tard. "


"Tu as intérêt, Steve." Il saisit fermement mon poignet. Tiens, en attendant tu peux me divertir pendant que je mange. "


Il me tira par le poignet et m’entraîna dans sa chambre. Elle était sale et en désordre. Des vêtements sales étalés partout. Son compagnon de chambre, Jake, semblait seulement un petit peu plus ordonné que lui, à en juger par le coté de la chambre qui lui était réservé. Le lit de Derek était couvert de vêtements et de sous vêtements. Sur l’oreiller se trouvait un carton à pizza à moitié vide.


Derek fit tomber sur le sol les vêtements qui se trouvaient sur son lit. Il me poussa sur le lit et s’assis à coté de moi. Il prit une portion de pizza et commença à l’avaler en silence. Il se contentait de me regarder fixement. Il ne devait pas s’être rasé depuis plusieurs jours à voir l’aspect rugueux et négligé de ses joues. Ses cheveux étaient en désordres, gras et malpropres.


"Hé, viens plus prêt." Il me fit signe pour que je me rapproche de lui. Il se pencha vers moi comme s’il était sur le point de m’embrasser. Voulait-il réellement m’embrasser ? Quand nos lèvres furent seulement à quelques centimètres, il fit soudainement un énorme rot. Il rit énormément. "Tu es une pédale stupide, sais tu cela ?" Je baissais les yeux tandis qu’il commençait à téter une autre bouteille de coca. "As-tu passé un bon moment l’autre fois ? Hein?"


"Oui. J’ai aimé sucer votre bite. "


Il grimaçât. "Et ma pisse – elle avait bon goût ? " Je baissais la tête. "Tu as aimé." Il me sourit, une méchante grimace tordit un instant son visage. Alors son air changea. "Je dois m’excuser. J’aurais du t’offrir quelque chose à manger. Je fais un mauvais hôte. "


"Oh ce n’est pas un problème, Derek. " Dis-je, hypnotisé par le buisson de poils noirs qui garnissait ses aisselles et imaginant ma langue titillant chacun des poils.


"Veux-tu quelque chose à manger ? "


"Bien sur. Merci. "


Derek sourit à nouveau. "Et bien attaque ce morceau." Et en disant cela, il abaissa son boxer et s’allongea sur le dos, les jambes relevées, exposant son anus poilu. Il avait toujours un morceau de pizza à la main et continuait de mastiquer bruyamment. "Bouffe moi le trou, pédale."


Je n’avais pas besoin de plus d’encouragement. Je bondis pratiquement vers son entre fesse poilue. Ma langue coulissait de haut en bas le long de la fente et je respirais profondément, inhalant la forte puanteur poivrée. Le goût était fort et son trou était moite et chaud. Je le titillais d’abord avec ma langue avant de la pousser à l’intérieur.


Alors il lâcha un pet, comme cet énorme pet de la nuit d’avant. Et il rit. Visiblement il prenait son pied à me faire respirer ses pets tout chauds. "Respire bien ça, pédale. Profites-en comme la senteur des roses d’un jardin." Et il rentra dans un rire frénétique tandis que je lavait son trou avec ma langue.


"Allez pédé. Mets ta bouche de fiote sur ma bite. Je vais t’offrir un cocktail."


Sachant très bien qu’il allait pisser dans ma bouche, je pris juste le gland de son sexe monstrueux et le laissait reposer sur ma langue. C’est sur, ma bouche n’allait pas tarder à être remplie à déborder avec son jus amer. "N’en laisse pas tomber une goutte, Steve, tu es sur mon lit. Sinon tu devras laver les draps." J’avalais rapidement, buvant sa pisse âcre. Quand il s’arrêta finalement, il sorti sa queue de ma bouche et la secoua sur mon visage. Des gouttes d’urine s’écrasèrent sur ma face.


Tu fais cela bien. C’est pratique d’avoir une pissotière comme toi à sa disposition. Je suppose que tu peux aussi gober mon sperme, hein ? N’est ce pas vrai, lopette ? "


Je souris. "Je veux avaler votre foutre, Derek. S’il vous plait laissez moi le boire. "


Son visage fit une énorme grimace. "Dit le encore, pédale."


"J’aime sucer les bites, et tout particulièrement la votre, Derek. Laissez moi avoir votre sperme.

"

Derek commença à rire de manière incontrôlée. "Tu entends cela ? " Dit-il, regardant par-dessus ma tête vers la porte.


"Oui, j’ai entendu. "Je me retournais et je vis Jake, son compagnon de chambre en survêtement, debout dans l’entrebâillement de la porte. "Steve, es tu vraiment un suceur de bite ? "


Derek rit. "Jake, c’est la meilleure sorte de suceuse de bites: c’est ma suceuse de bites. Dit lui, Steve."


Je regardais Jake, embarrassé. Jake était véritablement un très bel homme. C’était de manière très nette un hétérosexuel qu se distinguait de la foule male de ce dortoir, et lui, contrairement à beaucoup d’autres, n’avait pas fait tout ce qu’il pouvait pour m’insulter. Il était très désirable. Il faisait plus d’un mètre quatre vingt avec un cops musclé de nageur. "Je suis la suceuse de bite de Derek." Jack me regarda fixement à nouveau.


"Et maintenant, Steve, " dit Derek, "tu es NOTRE suceuse de bite. Hé, Jake, veux-tu une bonne pipe ? "


Jake me regarda. Vraiment ?


"Pas la peine de lui demander. C’est juste une lopette. Bien sur qu’il le fera."


vendredi 2 mars 2007

Aider un ami (suite 2)

J’ajustait immédiatement ma position afin d’avoir un meilleur accès à ses grosses couilles. J’enfonçais ma tête entre ses cuisses ouvertes, prenant un testicule dans ma bouche et faisant rouler ma langue autour. De ma nouvelle position, je pouvais sentir une odeur différente, plus musquée, plus sale aussi. Il semblait ne pas avoir essuyé son cul depuis des semaines. Je léchais son scrotum, avançant irrésistiblement vers son anus. Et alors, sans aucun avertissement, il lâchât un énorme pet. Le volume énorme de ce pet me choqua et je tentais de me retirer. Mais la poigne de Derek était forte. Il força ma face à se positionner directement en face de la ligne de feu, en ricanant, tandis qu’il lâchait un nouveau pet, plus petit.


"Sent ça, pédale. Je veux t’entendre respirer. Profites-en." Je respirais profondément, savourant cette odeur de male. "Tu aimes cela tapette. Lèche mon trou. Allez. Lèche le." J’avançais ma langue jusqu’à son anus moite de transpiration, goûtant les restes de merde et de sueur. Je commençait d’abord par faire lentement le tour de son anus, et commençait à le laper comme une chienne, dardant ma langue dans et hors de son trou du cul tandis qu’il me raillait et me mettait en son pouvoir.


"C’est la meilleure pipe que j’ai eu depuis des semaines, sale petite pédale. Ouvre grand." En disant cela, il péta encore une fois, avec force et grand bruit, une bourrasque de vent entra dans ma bouche, faisant gonfler mes joues. Je n’en lapais pas moins plus vigoureusement son trou. Tu aimes la puanteur de mes pets, tapette. A ma bite ! A ma bite ! " Je remontait rapidement ma tête et pris sa queue dans ma bouche, l’enfonçant profondément jusqu’à ce qu’elle bute au fond de ma gorge. Je crispais et décrispais ma gorge, sentant son outil au plus profond de moi. Je sentais ses couilles se frotter contre ma poitrine. Il commença à éjaculer, remplissant ma gorge d’abord et ensuite se retira en partie jusqu’à ce que seul le gland reste dans ma bouche, qu’il remplis avec sa semence. J’avalais avec enthousiasme, à cours de respiration, et adorant tout cela.


Lorsque son érection eu déclinée, je voulu retirer sa queue de ma bouche, mais ses mains m’en empêchèrent en me maintenant fermement. Il rit. "Qu’il y a-t-il d’urgent pédé ? Tu aimes la bite. Prends ton temps. Laisse moi m’asseoir maintenant. Oui. Comme cela." Il tirait gentiment mes cheveux tandis que je m’agenouillais devant lui, la tête de son gland flaccide posé sur ma langue. Il plissa les yeux et se concentra. Je le regardais droit dans les yeux.


"Tu sais ce qu’il y a de meilleur après une bonne pipe et avant d’aller au lit ?" Je secouais ma tête de droite à gauche pour signaler que je ne savais pas. "Et bien, après que la pétasse bien avalée mon sperme et qu’elle dégage. Je vais pisser pour bien me vider la vessie." Je le regardais en levant les yeux. "Oui. " Dit-il. En appuyant sa main sur ma gorge. "Mais avec une pédale comme toi, je n’ai plus besoin de me lever pour aller aux toilettes, n’est ce pas ? Tu vas tout boire comme une bonne petite lopette. Tu vas apprécier pédé !"


Je sentis le premier jet d’urine entrer dans ma bouche, acide, piquant. J’avalais rapidement, sachant que la force du jet allait augmenter, ce qui arriva. J’avalais toute la pisse que je pouvais pendant environ clinquantes secondes tandis qu’il tiraillait mes cheveux. Quand il eu fini, il retira son sexe flaccide de ma bouche et le secoua, ce qui fit jaillir quelques gouttelettes d’urine qui s’écrasèrent sur mon visage.


"Tu es une bonne suceuse de bite, pédale. As-tu apprécié ?" J’opinais de la tête. "Quoi ? Dis le à haute voix, putasse."


"Oui j’ai apprécié. J’ai aimé vous sucer la bite. "


Il grimaça. "C’est une bonne chose. Je te reverrai demain soir."

mercredi 28 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite et fin)

La semaine suivante, Gloria a essayé elle-même chaque jouet sur et moi. Elle m'imposa des massages quotidiens de prostate, car Gloria aimait faire couler mon sperme, en me le faisant suinter, et non éjaculer bien sûr. Elle semblait également avoir du plaisir à m'inoculer des liquides de consistances différentes dans mon anus. Puis elle me plugait avec le gode muni d'un trou. Elle m'obligeait alors à porter des serviettes périodiques, ou une couche-culotte ou me laissait juste mouiller mes culottes. Je commençais à y prendre du plaisir. Tous cela est devenu une sorte de routine par la suite, ce qui lui permettait de baiser mon anus très souvent. Gloria, n'aimait pas vraiment me donner le lavement qui devait toujours précéder la baise anale.


Notre relation s'est renforcée pendant que je me sentais de plus en plus près d'elle, plus près que je ne me l'étais jamais senti dans le passé. Madame K et Madame M ont senti mon changement et sont devenues mes amies et plus seulement mes tourmenteuses. Aussi longtemps que je respectais les règles établies par Gloria, ma vie, excepté l'absence d’orgasme, était plus simple, moins stressante et plutôt plaisante. Je n'avais pas à m'occuper de servir les autres et j'ai su que je devais principalement satisfaire Gloria.


Quand les leçons furent finies, nous étions tristes. Nous nous connaissions tellement bien maintenant. Nous nous somme tous embrassé et étreint, quoique nous sachions que nous nous verrions dans une semaine environ. Je me suis même senti drôle, corseté comme d'habitude, alors que Gloria me demanda de porter mes vêtements masculins. Elle a exigé que je reste corseté même pour le retour à la maison. En plus, elle m'a fait porter mes talons pour m'habituer à conduire avec. Quand nous avons rejoint la maison, j'ai accompagné Gloria à l’intérieur et je suis retourné pour prendre nos bagages. Gloria attendait à l'intérieur quand j'ai fini de déballer la dernière valise. J'ai demandé à Gloria ce que je devrais porter maintenant. Plus tard chéri, je me sens fatigué et n'ai pas jouie depuis plusieurs heures. Je me suis mis à genoux entre ses jambes et j'ai trouvé sa culotte humide. J'ai massé ses pieds et j'ai sucé chaque orteil. Je l'ai caressé avec ma langue en remontant, et j'ai trouvé sa chatte humide attendant ma langue. Après son orgasme, sans qu’elle dise un mot, j'ai préparé son bain. Pendant qu'elle glissait dans la baignoire, elle a chuchoté, nous avons besoin d'une plus grande baignoire. J'ai quelques idées pour nous.


Les mois ont passé et Gloria et moi nous sommes désormais comme des nouveaux mariés chaque jour. J'ai repris mon travail, mais la ceinture de chasteté me rappelle désormais constamment ma nouvelle position dans la vie. Et maintenant, il y a un événement que nous attendons tous les ans.


Le 31 Décembre est un jour très spécial, pour les femmes et leurs maris soumis. La soirée commence par un dîner cuisiné et servi par les maris, naturellement. Après que les dames aient terminées le repas et que la table soit débarrassée, nous pouvons avaler un morceau tout en nettoyant la table et la cuisine. C'est après le dîner que les amusements commencent. Les hommes préparent et servent les desserts et les boissons. Les femmes discutent des événements de l'année passée et font des projets pour la future année. Pour cette nuit-là, les femmes évitent d'être entretenu sexuellement en début de soirée, se réservant pour les événements à suivre. A neuf heures justes les hommes se mettent sous une table circulaire. Ils se positionnent, leurs têtes vers le centre et leurs pieds à l'extérieur. Dans cette position, ils sont assis, leur dos reposant sur un dossier incliné. Au milieu de la table il y a des ouvertures circulaires cerclées de rembourrage pour les cuisses de ces dames. Ceci permet aux épouses de se positionner les unes en face des autres, tout en appréciant le service oral rendu par leur mari respectif.


Cependant, avant qu'elles se livrent aux services oraux rendus par leur mari, elles prennent des dispositions supplémentaires pour ajouter un peu de piquant à la soirée. Chaque mari est connecté à aspirateur de sperme qui mesure précisément la quantité de sperme produit par chaque mari. Leur sperme est dirigé vers une bouteille. Derrière chaque mari il y a un poteau vertical attaché à la table. A ce poteau est suspendu un broc de lavement de deux litres. Le tuyau du broc de lavement fonctionne à l'aide une petite pompe.


La pompe est contrôlée par l'aspirateur de sperme. Le tuyau du broc se termine par une canule très particulière. Cette canule se prolonge par une partie gonflable qui développe un gros ballon. Ce ballon une fois gonflé empêche ainsi tout fluide de fuir à l’extérieur. À l'extrémité de la canule, enfoncée à l'intérieur du rectum, il y a une sonde spéciale commandée par un bouton également situé sur la pompe. La sonde reste en contact avec la prostate et peut ainsi lui fournir un stimulus direct. Ce dispositif favorise les fuites de sperme qui sont constamment pompées et amplifiées par les mouvements de l'aspirateur de sperme. Une large dose de lubrifiant est appliquée à la gaine de la ceinture de chasteté entourant le pénis avant que l'aspirateur de sperme soit allumé. Quand les maris sont attachés et préparés, la pompe du lavement est mise en marche L'écoulement commence avec un débit constant. Le débit est prévu pour qu'en trois heures, les deux litres entiers soient injectés dans l'anus du mari. L'écoulement est interrompu pendant 15 minutes toutes les fois que le mari fourni une once de sperme. Etant donné qu'il y a douze intervalles de 15 minutes de 9 à 12 du soir, chaque mari peut déposer 12 onces de sperme en 3 heures. C’est un exploit que personne n'a encore réalisé, et qui de ce fait assure que chacun reçoit au moins un lavement très important.


Un dernier détail. La pompe du lavement est nécessaire puisque le fluide utilisé est peu commun. Vous voyez, les femmes rassemblent le sperme fourni par l'aspirateur de sperme de leur mari et en conserve une grande partie au cours de l'année. En fait cela fait couramment plus de deux litres et demi. Ainsi, pour ajouter à son humiliation, chaque mari reçoit un lavement de sperme provenant d'un autre mari. À la fin de la soirée, chaque mari a eu au moins 3 litres et demi de sperme de quelqu'un d'autre dans son anus. Tandis que les maris sont occupés à tenter de faire suinter leur sperme, les épouses apprécient le jeu. Si une épouse se sent particulièrement gentille, elle peut même stimuler la prostate de son mari et l'aider ainsi à produire plus de sperme, réduisant ainsi son lavement.


A 11:30 du soir un autre événement a lieu. Chaque mari doit maintenant conserver le lavement et doit fournir le service oral à son épouse. Les épouses montent la bouche de leurs maris à 11:30 précises et commencent un concours. Pendant 30 minutes les épouses concourent pour le plus grand nombre d'orgasmes. Une petite sonde insérée dans leurs vagins surveille les spasmes et la tension artérielle vaginale afin d'assurer un décompte précis des orgasmes.


La gagnante est celle qui a le plus d'orgasmes. Elle gagne des vacances de son choix. En outre, il y a des prix de consolation pour l'orgasme le plus proche de minuit, pour la grimace la plus drôle pendant l'orgasme et le cri le plus fort. On permet au mari fournissant les orgasmes d'expulser son lavement quelque temps après minuit. A minuit pile, les femmes se détendent tandis en restant fermement fourrées par les langues de leur mari et fêtent la nouvelle année au champagne. Les maris perdant doivent conserver leur lavement tandis que les épouses se reposent et que les maris chanceux expulsent leur lavement de sperme.


Puis, on offre à tous les maris un cocktail bien mérité. Un verre grand de champagne rempli de son sperme favori. Chacun doit vider son verre et peut être alors discuter avec son épouse des nouvelles résolutions pour la nouvelle année. Naturellement les épouses ont décidées de ces résolutions et discutent des réussites et échecs des années précédentes. Ainsi de nouvelles résolutions sont prises tandis que les anciennes sont soigneusement discutées et reprises. Ceci prend environ une heure, pendant laquelle les maris perdant sont obligés de conserver tout leur lavement de sperme. A 1 du matin, chaque mari s'est finalement soulagé, chacun son tour. La partie continue, chaque épouse attendant avec intérêt la nouvelle année.

mardi 27 février 2007

Aider un ami

Voici une nouvelle différente de ce que vous avez pu lire jusqu'ici sur mon Blog. Il ne s'agit pas de domination féminine, mais masculine, homosexuelle. Il n'y a pas non plus de notion de chasteté. et c'est très hard et cru. Faîtes moi part de vos commentaires pour savoir si vous aimez ou non ce genre d'histoires.

Pour ma part je crois que la soumission et le travestissement conduisent fatalement un jour à l'autre à accepeter, avec plus ou moins de difficultés, son homosexualité. Et vous qu'en pensez vous ?

L'original de cette histoire est sur le site de Nifty et s'intitule "Helping Out a Friend". Elle est due à Bart Marshall. La voici.



Aider un ami


J'étais à mon bureau, faisant mon travail -- ou essayant de faire mon travail. Je pourrais à peine maintenir mes yeux ouverts. La linguistique me barbait à me faire dormir debout. Mais, naturellement, il faut en passer par là n’est ce pas ? Car j’étais un jeune étudiant.


Quelques mots à mon sujet. Je suis un étudiant de première année. Je vis sur le campus dans une résidence qui est principalement consacrée aux étudiants de première année, mixte, avec des étages différents pour les hommes et pour les femmes. Mon compagnon de chambrée, Marc, est un type gentil. Le premier mois nous étions de grands copains, mais maintenant il a une petite amie qui vit dans un appartement hors du campus, aussi il passe rarement la nuit dans notre chambre.


A part Marc, je n'ai vraiment aucun ami sur le dans cette résidence. La plupart des types sont, disons, des porcs. Ils déambulent dans les couloirs jurant et rotant et pour quelque raison mystérieuse ne sont pas capable d’avoir assez d'énergie pour tirer la chasse des toilettes communes de l’étage. Mais, d’un autre côté, ils ne m'ont causé aucun problème d’aucune sorte. Et s’ils ne sont pas particulièrement aimables, ils n'ont pas non plus été méprisants envers moi.


J’étais donc à mon bureau, il était environ une heure du matin, tournant en rond d’ennui, quand on a frappé à la porte. "Entrez," ai-je crié paresseusement, mais la porte ne s'est pas ouverte. "Entrez, " ai-je dit encore, jetant un coup d'oeil sur le bouton pour voir si j'avais involontairement fermé la porte à clef. Il était ouvert. "Entrez!" Enfin, je me suis levé de ma chaise et j’ai ouvert la porte.


Comme j’ai ouvert porte, j’ai vu Derek. Derek vit de l’autre côté du couloir. Je ne sais pas grand-chose à son sujet, autre que je ne l'ai jamais vu un seul jour passer sans entrer dans sa chambre avec une fille sur son bras. Derek ne m’avait jamais adressé la parole, se contentant d’incliner la tête de temps en temps quand nos chemins se croisaient dans le vestibule, mais jamais vraie conversation.


"Salut, Derek."


"Oh. Bonjour, " dit-il comme si il ne m'avait pas remarqué que j’avais ouvert la porte. "Marc est là?"


"Non. Désolé," ai-je répondu, en remarquant le corps de Derek. Derek se tenait incliné contre le cadre de la porte avec un bras. L'autre bras était sur son côté, la main disparaissant dans la taille de son short de sports. Je pouvais voir au bombement extrême que sa main était sur son sexe. Il était poitrine nue. Quel spécimen! Ses abdominaux étaient comme un mur de muscles, pas bien formés et indiquaient une force incroyable. Un de ses bras étant soulevé pour prendre appui contre le cadre de la porte, je pouvais clairement voir le buisson moite et bien fourni niché dans ses aisselles.


"Encore debout ?" demanda-t-il, me tirant brusquement de mes rêveries.


"Oui. Bien sur. En train d’étudier, " bégayais-je.


"Bien," dit-il, semblant désintéressé.


"Tout cela est très brabant. Je suis en train de faire une pause."


"Envie de compagnie ? demanda-t-il, tandis que j’espérait qu’il veuille bien de la mienne.


Je ne pus cacher le sourire qui éclaira mon visage. "Bien sur. " Avant que je pusse lui faire signe d’entrer dans ma chambre, il s’avança vers moi et se laissa tomber lourdement sur mon lit. Je tournais ma chaise pour lui faire face. Il s’assit sur le lit, s’allongea et mis jambes sur le lit, largement ouverte en V, tout le paquet qu’il avait dans son short faisant une large et grosse bosse. Il resta ainsi, ses mains derrière la tête, exposant maintenant ses deux larges buissons noirs sous ses aisselles, tous les deux humides de transpiration. Je ne pouvais m’empêcher de le détailler de haut en bas.


"Rends moi une faveur, veux tu ? " demandât-il avec un léger sourire. "Je voudrais retirer mes chaussures mais je suis trop crevé pour le faire." Il s’arrêtât, comme pour attendre ma réponse, mais je savais ce qu’il désirait. Je me senti parfaitement idiot de faire cela, mais je m’agenouillais et je me mis à retirer ses baskets. "Chaussette, aussi," ajouta-t-il. Je me sentis ridicule, a genoux devant ce parfait étalon. Mais après tout j’étais juste en train de rendre service à un ami.


Tandis que je faisait coulisser la dernière chaussette, il émis un soupir d’aise. Je me figeait, n’étant pas sur s’il pouvait être excité par mon attitude – il pouvait ne pas être gay, avec toutes ces filles qui traînaient après lui et toutes les histoires que j’avait entendu sur lui. Aussi je fit comme si je n’avais rien entendu. Juste deux garçons entre eux.


"Mec, je suis crevé," soupira-t-il.


"Vous devriez vous mettre au lit." Pourquoi fis-je ce commentaire stupide ?


"Je ne peux pas," dit-il.


"Vous ne pouvez pas ?"


"Non." Il se redressa, et se courba en avant en posant ses mains sur ses cuisses. Il me regarda par en dessous, alors que j’était assis sur le sol en face de lui. "Vois-tu, j’ai un problème."


"Un problème ?"


"Oui. Je ... je ne peux trouver le sommeil sans, tu sais, me vider." dit-il. Sa main gauche gratta ses couilles.


"Vous n’avez qu’à vous masturber, Derek."


"Me masturber !" Il a sourit.


"Pourquoi me masturber quand je vous trouver quelque stupide pétasse pour vous sucer et avaler votre jus ? Je ne me suis pas couché sans une bonne pipe depuis 46 jours, mec... Et désormais je ne peux plus m’endormir sans cela. Je dois trouver une salope pour me sucer à fond, puis je la renverrai chez elle et je pourrais alors m’endormir comme un bébé. Le problème c’est que la salope que j’avais avec moi cette nuit n’a pas voulu me sucer. Aussi je suis sérieusement en manque et je bande comme un cerf, ne vois-tu pas ? " Il me regarda avec un sourire vicieux sur ses lèvres.


"Qu’allez vous faire ? " Mon sexe grossissait dans mon pantalon.


"Et bien. Tout le monde dit que tu es une pédale, Steve." Je me figeais. Mon expression devait avoir changé car il le remarqua. "Je n’ai jamais pensé cela, mec. Mais tout le monde dit à l’étage, ‘Steve est une pédale. Il prends dans le cul.’ Aussi je me suis dit que cela devait être un peu vrai. Je n’ai pas d’autres possibilités. Aussi qu’en dis-tu ? Prêt à me sucer ou non ?


Mon regard se fixa sur son bas ventre, qu’il était en train de frictionner à travers son short. Il remarqua mon regard furtif. "Tu es une vraie pédale." Il rit. Soudainement il tendit la main et je senti sa poigne sur ma nuque. Il tira ma tête jusqu’à lui, la maintenant fermement contre son entre jambe. Je pouvais sentir son érection à travers le tissu. "Est-ce que tu veux cette bite, lopette ?" J’opinais de la tête, en léchant mes lèvres. "Et bien, au boulot. J’ai besoin de me vider les couilles."


En disant cela, il baissa son short et son boxer, révélant sa queue en érection. Elle faisait environ 20 cm de long et était très large. Ses couilles étaient très grosses et poilues. Lentement, je me penchais en avant, empoignant la tige, et commençant à donner de légers coups de langue sur le gland.


"Mieux que ça suceur de bites, avale tout."


Je n’avais pas besoin de plus d’encouragement. Je pris une profonde respiration et je commençais à prendre en bouche la bite de Derek, jusqu’à ce que j’en ai avalé tous les 20 cm et que mon nez soit enterré dans abondant buisson noir. L’odeur était enivrante. Des senteurs de sueur, d’urine et de virilité pure emplirent mes narines. Je faisais de ma gorge un fourreau pour sa bite.


J’enfonçais sa bite jusque dans ma gorge, en coulissant de haut en bas, tout en sentant toujours la pression de ses mains sur le dos ma tête.


Soudain, il empoigna mes cheveux, me forçant à me retirer de son énorme bite, et criant "Mes couilles. Suce mes couilles, sale pédé."



La suite très bientôt.....

dimanche 25 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite 12)

Chapitre 4

Chaque après-midi et chaque soirée là pendant sa période j'ai fourni le service oral à Gloria. Elle a découvert, une fois surmonté ses inhibitions, pour ce qui est du service oral pendant ses règles, que l'activité hormonale accrue intensifiait ses orgasmes et que désormais elle attendait avec intérêt ses règles.


Le soir suivant, Gloria et moi nous nous sommes étendus ensemble comme si rien n'avait changé. Nous avons parlé de nos souvenirs, de notre mariage et nous avons dérivé sur notre nuit de noce. Gloria a raconté que la chemise de nuit qu'elle avait choisi pour moi cette nuit, était en dentelle et blanche comme celle qu'elle portait pour sa nuit de lune de miel. À ce moment Gloria, m'a touché en bas comme pour sentir mon phallus, mais à la place, s'est arrêté à mon anus. Cela m'a semblé drôle, car je la sentais frotter doucement cet endroit. J'ai sucé ses seins pendant qu'elle continuait à me sonder. Elle s'est pliée au-dessus du lit et a pris une fiole de Vaseline. Elle a lubrifié son doigt et sans dire un mot, a continué de me sonder. Elle a essayé d’ouvrir mon anus. Elle a chuchoté pour que je me détende. C'était différent cette fois. Son doigt était bien plus petit que le plug, et semblait plus réel alors je me suis contracté à son contact. Lentement, elle est parvenue à glisser son doigt à l'intérieur et je me suis senti plus à l’aise dans cette étrange position.


Gloria, chatouillait mon anus, tandis que je restais passif. Je commençais presque à me sentir détendu avec son doigt entrant et sortant lentement de mon anus, quand elle a roulé sur le côté et s'est assise sur le bord du lit. Puis, elle s'est levée et a fait un pas pour enfiler quelque chose sur elle. Tandis qu’elle l’enfilait autour de sa taille, je pouvais voir que c'était une culotte en latex munie d'un gode à l’extérieur. C'était obscène sur elle. Un phallus énorme qui se tenait obliquement dressé, érigé sur son bas ventre. J’étais pétrifié d’horreur alors que je réalisais ce qu'elle avait à l'esprit.


Gloria, vous ne pouvez pas. Il est trop grand. S.v.p., il me blessera. Avec gentillesse, elle a pris ma tête et m'a dit qu'elle serait très douce et que c'était notre nuit de lune de miel. Je veux que tu t’étende sur le dos et me laisse attacher tes mains à ces harnais en cuir, ce qu'elle a fait en tirant mes poignets vers la tête de lit. Quand elle a serré le deuxième harnais autour de mon poignet, j'étais secoué de tremblements. Maintenant, je veux que tu soulèves tes jambes vers le haut, complètement, et que tu les mettes au-dessus de ta tête. Je les ai lancées au-dessus de ma tête et Gloria les a attachés à un deuxième ensemble de harnais en cuir qu'elle a attachés derrière la tête de lit. J'étais maintenant en position très fâcheuse. Mon anus était pointé en l’air, totalement vulnérable.


Gloria s'est placé derrière moi et a lentement commencé à me travailler avec un plus petit gode dans mon anus. Elle était patiente pour que je détende mon sphincter afin qu'il ne soit pas blessé. Elle a enlevé le gode et a inséré une poire emplissant mon anus d'une substance épaisse. C'est juste du sperme, chéri, et un mélange de Vaseline. Elle a pris encore plus de Vaseline et a lubrifié le gode qui s'érigeait sur son bas-ventre. Il m'a semblé plus grand maintenant, scintillant comme si du sperme suintait de sa tête épaisse. Elle l'a poussé doucement contre mon anus. Elle l'a frotté entre mes joues fessières et contre mon sphincter. Toujours en poussant un peu plus fort chaque fois. C'était comme si ont lui avait enseigné l'art de baiser un anus vierge. La pression m'a fait sentir une brûlure alors qu'elle étirait mon ouverture. Mes plaintes ont seulement reçu un mot doux d'encouragement pour me détendre. J'ai essayé de ne pas me crisper et j'ai rêvé que j’étais en train de baiser Gloria. Notre lune de miel, ces longues étreintes sexuelles. Baiser et sucer.


Je me rappelle que je la baisais pendant des heures. Elle était tellement étroite alors. Mon rêve a stoppé net quand je me suis rendu compte que Gloria était à l'intérieur de moi, très profondément. C'était sa première poussée qui a brisé mon rêve. Je me suis senti plein comme si je devais me soulager aux WC. J'étais inquiet. Puis ce sentiment soudain de vide quand elle l'a retiré. Elle semblait trouver son rythme pendant qu'elle poussait et se reculait. Je me rappelle que j'observais son visage et étais à l’écoute de ses gémissements pour savoir comment me positionner. Quand elle atteignait le sommet de son plaisir, j’accélérais toujours mon rythme avec de petits coups rapides qui l’amenait toujours à l’orgasme. Pour ma part je préférais des allers-retours longs et profonds, qui sortaient et rentraient presque complètement mon sexe d’elle pour m’amener à l'orgasme. Je me demandais quel rythme elle préférait maintenant. Je ne lui donnais pas des conseils, si au moins elle pouvait me faire éjaculer.


Ressentait-elle vraiment un certain plaisir sexuel. Son rythme s'accélérait maintenant. Elle respirait de plus en plus fort et transpirait. Elle semblait perdue dans ses propres pensées, comme si je n'étais pas vraiment là. Elle était visiblement fatiguée et elle essayait évidemment d'aller plus rapidement, avec des allez retours plus courts. Elle a commencé à gémir, non de fatigue, mais de plaisir. Elle appréciait réellement ceci et ressentait une vraie excitation, un vrai plaisir. Mon anus s'est senti totalement envahi et d'une certaine façon ne m'appartenait plus. Ses gémissements ont augmentés son rythme s’est encore accéléré. La pression dans mon anus était énorme quand elle s’enfonçait à l'intérieur de moi et je sentais un grand vide dans mon anus quand elle se retirait. Ma toute ma zone génitale était sensibilisée et frémissait. Cela remontait dans mon dos jusqu’à ma poitrine. Gloria, semblait avoir dépasser ses limites pour baiser mon cul encore plus vite, tandis qu’elle commençait à pousser des cris perçants de plaisir.


Quelques secondes après elle a poussé son gode profondément à l'intérieur de moi et s'est tenue totalement immobile, ses reins arqués, son visage tendus par l’extase. Elle semblait trop fatiguée pour pousser un cri perçant pendant que l'orgasme la traversait. Elle s'est effondrée sur moi.


Quand elle est finalement sortie de moi, elle m'a regardé et a dit. Maintenant, je comprends ce que tu ressens. Le pouvoir de pénétrer quelqu'un vous donne un sens de l'autorité que j'ai acquis maintenant. C'est merveilleux, mais cela demande trop de travail. Nous l'essayerons encore quelques fois. Gloria, ai-je demandé, est ce que vous avez vraiment joui en m'enculant. Elle a ri, et s'est levée et s’est mise debout sur le lit au-dessus de moi. Le gode était rouge de mon faux sang. La prochaine fois que nous baiserons comme cela rappelle moi de ne pas le faire quand tu auras votre période. C'est trop malpropre. Elle a enlevée la culotte munie de gode, et a sortit un plus petit gode de sa chatte. Idiot, tu penses vraiment que je pourrais jouir simplement en baisant ton cul. Cette culotte est muni d’un gode un peu différent du tien. Quand je te baise, ce petit gode, me pénètre et me baise. Plus je vais rapidement et plus il grossis et rallonge. C'est comme se baiser soi-même, sauf que j’utilise la pression que je te fournis pour actionner mon petit gode. Chéri, j'ai maintenant beaucoup de jouets pour jouer avec toi, tu ne peux pas imaginer tout ce qu'elles ont inventé.

mardi 20 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite 11)

Plus tard dans la matinée, les femmes chuchotaient entre elles et Gloria m'a semblé incommodée. Je pouvais voir qu'elle était malheureuse sans savoir pourquoi. Il était presque 2 heures de l’après midi quand Gloria m'a appelé en bas tandis que je me reposais seul dans ma chambre. Gloria était seule et se reposait sur une grande vieille serviette de bain comportant des ouvertures élastiques aux jambes et une ouverture élastique entre les jambes. Je croyais que Gloria voulait que je la serve oralement une fois de plus. Gloria m'a regardé et dit, j'en ai envie, mais je me sens incommodée à ce sujet. J'ai mes périodes. Elles ont commencé en début de soirée et Madame K. m'a dit d'attendre jusqu'à ce que l'écoulement ait augmenté. Je veux que tu me serves. De plus, tu me serviras toute la nuit, veillant à te réveiller à chaque heure et à me nettoyer avec ta langue. Je l'ai regardé dans les yeux et je l'ai priée de ne pas me demander cela. Elle a regardé à côté.


J'ai pris une profonde respiration et j'ai plongé ma tête dans sa chemise de nuit. Je n'ai jamais eu l'expérience d'une odeur aussi forte. Dans le passé il m'est arrivé de lécher sa décharge pendant sa période, mais jamais aussi abondante. Après l'expérience précédente où j'avais léché sa chatte pleine de mon sperme, j'y étais prêt, mais je n'avais jamais vraiment goûté sa période. Peut-être étais-je immunisé du fait d'avoir avalé tellement de sperme et de jus de chatte depuis plusieurs jours. Je suis revenu soudainement à la réalité quand Gloria a commencé à ouvrir ses cuisses et à les arquer en arrière. Elle était plutôt silencieuse, déplaçant doucement ses hanches de temps en temps. Mais soudainement elle sembla devenir excitée. J'avais trouvé son clitoris et je l'avais attaqué, tandis qu'elle se convulsait plusieurs fois.


Alors, elle a commencé à gémir vraiment fort. Bientôt, elle ondulait ses hanches et il m'est devenu difficile de rester la bouche collée à sa chatte. J’espérais qu'elle ait un orgasme rapidement et se calme, mais elle a augmenté son rythme encore plus fort. Elle a eu un orgasme, j'ai senti ses reins se courber en arrière et elle poussa un cri perçant. C'était le plus fort qu'elle n'en a jamais eu et certainement le plus fort depuis que nous étions avec Madame K et Madame M. Cela ne s'arrêtait pas. Un orgasme succédait à un autre. Je n’arrivais plus à la suivre dans ses convulsions, mais elle a continué à avoir des orgasmes intenses l'un après l'autre. Ma mâchoire me faisait mal, pourtant elle a exigé que je continue. Je ne pourrais me reposer que quand elle s'effondrerait sur le divan.


Son odeur était très forte. Je ne pourrais pas voir si elle saignait encore, ainsi je donnais de petits coups de langue à sa vulve juste pour être sûr qu'elle soit propre. Elle rendait un petit gémissement à chaque fois. Il m'a semblé que des heures se sont écoulées avant qu'elle me demande de sortir. Les lumières étaient éteintes. Elle a dit que nous irions en haut. En montant les escaliers, je jetais un coup d'oeil dans le miroir. Mon visage avait des souillures rouges foncées de mon cou jusque dans mes cheveux. Gloria, s'étendit sur le lit sur une grande et vieille serviette et m'a demandé de me placer entre ses jambes pour la lécher encore. Mais avant cela elle voulait m'insérer le plug avec un petit trou et me faire porter une couche-culotte. Je me suis réveillé à chaque heure et à chaque fois je léchais sa chatte pour la nettoyer.


Le matin suivant, j'ai senti une humidité dans ma couche-culotte. C’était étrange puisque Gloria ne m'avait pas mis de sperme dans mon anus. Je me suis levé du lit et suis allé dans la salle de bains pour voir pourquoi je me sentais humide. J'étais sanglant. J'ai couru dans la chambre à coucher et j'ai réveillé Gloria. Je saigne, vous devez avoir déchiré mon rectum. Chéri, tu vas parfaitement bien. C'est juste ta période. De quoi diable parlez vous. Michel, la première période dérange toujours. Assieds-toi et laisse moi t’expliquer. D'abord, rappelle-toi le petit lavement que je t’ai donné ce soir après le dîner. Bien, il n'est jamais ressortit. C'était un liquide spécial conçu pour enduire ton colon. Il forme un manteau épais sur ton colon et prend environ un jour pour se dissoudre lentement. C'est ce qui ressemble à du sang. Le plug avec le trou assure que tu ne peux pas arrêter l'écoulement. Le régime liquide garanti que tu n'as rien d'autre là-dedans pendant plusieurs jours. Mais de l'humidité additionnelle est nécessaire pour le rendre légèrement plus inconfortable.


Hier soir, dans votre boisson, il y avait un diurétique qui a l'effet étrange de faire suinter votre urine dans de petits ruissellements entre les intervalles ou vous urinez vraiment. Le suintement sanglant qui sort de votre anus s'est mélangé à l'urine, et c'est tout à fait réaliste à regarder. Tout le processus prend environ 5 jours. Maintenant, nous pouvons apprécier nos périodes ensemble. Je suis étonné que tu n’ais senti aucune crampe. Habituellement, le diurétique donne aussi des crampes aux hommes. Gloria, je les ai également, mais dans les circonstances, je n'ai pas pensé à le mentionner. Maintenant, retournons dans le lit, la couche-culotte prendra soin de ta période. Tu devras prendre soin de la mienne maintenant.

dimanche 18 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite 10)

Chacune des trois dames était présente et je n'ai pas aimé ce qu'elles avaient en tête. Pendu au rideau des douches il y avait un broc de lavement avec un long tuyau et une étrange canule. Elle était longue avec ce qui m'a semblé être deux ballons dégonflés. Gloria, dit lui qu'il est temps qu'il soit mieux nettoyé. J'ai demandé quel type de lavement c'étais, seul leur silence m'a répondu. J'ai du me déshabiller complètement. Cela m'a fait du bien de sortir du corset et d'enlever aussi les faux seins.


Je me suis plié au-dessus de la baignoire pour lui permettre d'insérer la canule. Elle était encombrante, mais pas aussi grosse que le plug. Elle a alors commencé à entrer un des ballons. J'ai senti le ballon gonfler à l'intérieur de moi, me remplissant complètement. Puis elle a gonflé le ballon externe. Mon anus était maintenant emprisonné entre les deux ballons. Elle a libéré l'eau. J'ai senti l'eau se précipiter en moi. Madame K, dit de ralentir l'écoulement.


Cela s’est écoulé jusqu'à ce que je me mette à ressentir des crampes à l’estomac. J'ai dit à Gloria, je suis plein et il faut que j'aille aux toilettes. J'ai besoin de me libérer, je n'arrivais plus à me retenir. Pour le peu que j’en savais, j'allais subir une série de quatre lavements. Le premier était seulement d'un quart d'eau savonneuse chaude. Le second était d'un litre et demi d'eau claire chaude. Le troisième était de deux litres d'eau chaude. J'ai du garder les deux premiers pendant 15 minutes. Le troisième lavement m'a été laissé pendant presque 30 minutes. Le quatrième lavement était plus chaud et plus abondant que tous les autres. Une fois que la canule était gonflée, je ne pouvais plus l'expulser. Après que le quatrième lavement m'eut été infligé, Gloria a enlevé les deux tuyaux employés pour gonfler les ballons et a démonté le tuyau du broc. J'avais maintenant la moitié de la canule pendant hors de mon anus. Les deux litres d'eau exerçaient une pression énorme sur moi m'intimant de les expulser, ce que je ne pouvais pas. Elles m'ont dit de remettre seulement mon soutien-gorge et de descendre avec elles. J'ai marché très lentement. Elles se sont assises sur le divan et m'ont demandé de préparer le dîner.


La préparation du dîner a pris deux heures. J'étais dans l'agonie de la dernière heure. La seule position qui m'aurait fourni un soulagement aurait été de m'étendre à plat sur mon dos. Tout en servant le dîner, Gloria a chuchoté quelque chose à Madame K., et sa réponse a été, il peut attendre encore un peu plus ma chère. Les crampes devenaient intenses et il était évident je ne pourrais pas attendre plus longtemps. J'ai terminé de les servir et elles m'ont autorisée à me soulager. Mais après m'être soulagé je devrais insérer le plug qu'elles avaient laissé pour moi dans la salle de bains. Ce plug était un peu différent. Il avait un petit trou qui le traversait d'une extrémité à l'autre. Je l'ai insérée et je suis retourné en bas. Il y avait un verre contenant un liquide ressemblant à du lait chocolaté en face de ma place. Michel, pendant plusieurs jours à cause de votre lavement, vous serez à un régime liquide. Appréciez-le.


La soirée s'est écoulée assez rapidement. Je servais Gloria de nouveau sur le divan tandis qu'elles regardaient la TV. Elle était fatiguée et a eu deux petits orgasmes. Après le dernier, Gloria m'a fait mettre à quatre pattes et a inséré un petit tube dans le plug. Elle avait pris une poire à lavement pour forcer un liquide à entrer dans mon anus. Elle m'a fait étendre avec mes jambes écartées pendant 15 minutes avec le liquide dans mon anus. Quand elle m'a finalement demandé de me remettre à quatre pattes, je n'ai senti aucun désir de me soulager. Je me suis seulement senti balloné. Alors, elle a injecté un deuxième liquide. Il ne pouvait pas y avoir beaucoup, car je ne pouvais pas le sentir. Elle a employé un petit bouchon pour boucher le trou.


Gloria, m'a alors tenu dans ses bras et dit qu'elle m'aimait. Car comme signe supplémentaire d'amour elle m'avait injecté quelque chose, que j’aimais tant lui donner, dit-elle. Elle avait injecté 24 centilitres de mon propre sperme dans mon anus. Elle enlèverait le plug avant de nous mettre au lit, et cela s'égoutterait hors de moi lentement. Elle prit ce qui ressemblait à une couche et une culotte en plastique et à dit, vous aurez besoin de ces accessoires cette nuit, pour garantir que vous ne souillerez pas le lit. J'ai pris la couche et la culotte en plastique, j'ai vu que Madame M et Madame. K souriait et je suis monté. Avant que j'aie atteint ma porte, Gloria a appelé. Vous dormirez dans ma chambre ce soir chéri.


J'ai dormi toute la nuit comme un bébé, et je me suis réveillé avec mes fesses et ma couche humide. Mon sperme s'était égoutté toute la nuit et ma couche était collante. J'ai pris soin de mes corvées du matin et j'ai préparé le petit déjeuner pour les dormeuses qui faisaient la grasse matinée. J'avais constaté que mon phallus avait guéri tout à fait bien et je se sentais plutôt à l'aise dans la gaine. Plusieurs jours après, Gloria, Madame M et Madame K m'ont éduqué à la stimulation mécanique de ma prostate. Gloria a été formé à l'utilisation d'une mince sonde mécanique. Cela m'a fourni des orgasmes intenses et des suintements copieux de sperme hors de mon phallus emprisonné. Etrangement, chaque fois que mon sperme suintait, Gloria faisait attention soit à me connecter à l'aspirateur de sperme, soit à attacher un préservatif à l'extrémité de la gaine pour récupérer mon sperme. C'est devenu un rituel pour elle, de soigneusement rassembler et de recueillir mon sperme. Comme si elle savourait mes dernières miettes de virilité.


Après un service oral particulièrement long, Madame K. est revenue avec un compte-gouttes de la cuisine et a enlevé la bouteille qui recevait le sperme de l'aspirateur de sperme, lequel contenait maintenant une bonne quantité de mon sperme. Elle a soigneusement vidé le contenu de la bouteille et a fait soigneusement allonger Gloria tandis que Gloria comprimait la bouteille souple pour en vider le contenu à l'intérieur de sa chatte. Madame M. s'est tournée vers moi et dans une voix forte a exigé que je nettoie Gloria. L'idée de mon sperme s'égouttant hors d'elle m'a fait fermer la bouche. Mais, Madame M et Madame K. ont eu ce regard qui m'indiquait que je ferais mieux de m'exécuter. J'ai léché les quelques gouttes au bas de ses lèvres et j'ai goûté mon propre sperme. J'ai essayé d'avaler pour faire sortir le goût de ma bouche, mais avant que j'en aie eu le temps j'ai senti une brûlure sur mon postérieur. Madame K. m'avait frappé avec une palette. Elle m’a dit de nettoyer Gloria et que cela signifiait aussi bien l'intérieur que l'extérieur. J'ai passé les 15 minutes suivantes à lécher Gloria pour essayer de la rendre propre. Chaque fois que je pensais que j'avais terminé, elle semblait suinter encore plus de sperme. Avant que j'aie fini, je connaissais parfaitement le goût de mon sperme et Gloria semblait avoir du plaisir à se reposer en laissant mon sperme s'égoutter lentement hors d'elle.

samedi 17 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite 9)

Après le déjeuner, ma première leçon a commencée. Elle était simple. Gloria s'étendait sur le divan avec sa longue chemise de nuit faite d'un tissu de coton épais. Elle était assez étrange parce qu'elle était fermée au fond, comme une grande bulle et ses jambes apparaissaient par deux ouvertures élastiques. Il y avait une troisième ouverture élastique entre ses jambes. Gloria, me souri et dit, qu'elle voulait que je la serve oralement. J'ai mis ma tête dans entre ses jambes par le trou prévu à cet effet et j'y rencontrait une l’odeur très forte de son sexe. Elle était évidemment très humide. Sa chatte était déjà très chaude. Je me suis avancé jusqu'à ses lèvres ouvertes et j'ai commence à la lécher. Je pouvais sentir l'humidité sur sa chatte et même ses cuisses.



Elle m'a demandée d'abord de la nettoyer. Je pouvais entendre Gloria, Madame. K. et Madame M. parlant de leurs maris et disant comment ils les servaient. Madame K. racontait comment son mari pouvait entrer sa langue de plusieurs pouces dans sa chatte. Il le ferait s'il était là dit-elle. Gloria, a voulu alors s'asseoir sur mon visage. Cela n'était pas facile, mais je me suis arrangé de façon à ce qu'elle puisse le faire. Je me suis étendu sur le dos sur le divan avec mes jambes en l'air contre le dos du divan. Gloria, faisait face maintenant à mes jambes. Elle a préférée cette position, et, tandis qu'elle commençait à positionner sa chatte sur ma bouche elle a commençait à gémir. Elle devenait plus humide encore, si c'était possible encore.


Il m'était difficile de respirer le nez écrasé par sa chatte, et j'ai dû synchroniser ma respiration avec ses mouvements. Ce contact sexuel faisait ses effets sur moi aussi. Je pourrais sentir le sang palpiter dans mon phallus, mais le souvenir du frottement cru de la nuit passée m'a forcé à penser à autre chose.


Ensuite, j'ai senti le doigt de Gloria sur mon trou du cul. Elle a commencé doucement. Poussée toujours très doucement. Enfin, elle l'a pénétré et a commencé de me baiser avec son doigt. Quand je pus le sentir entrer et sortir facilement, elle a commencé à me travailler avec un deuxième doigt. J’ai ressenti une brûlure lorsqu’elle essaya d'étirer mon ouverture. Elle s'est arrêtée pendant un moment alors qu'elle arrivait à un autre orgasme. Mon visage était trempé de son jus de chatte et de sa sueur. Mes cheveux étaient souillés par sa mouille.


Elle a continué de me sonder avec deux doigts enfoncés et m'a travaillé ainsi. Je pouvais maintenant entendre Madame K. lui donner des directives. De les tordre de telle manière. Une pause, pousse-les doucement maintenant. Tourne-les. Très bien. Je commençais à vraiment fatiguer maintenant et je sentais des crampes dans ma langue, mais Gloria a continué de se frotter contre mon visage. Gloria, a retiré ses doigts de mon anus et alors quelque chose de plus grand et plus large a été poussé fermement contre mon anus. Elle l'a tourné et a poussé. Il s'est soudainement mis en place et est resté immobile. Il était plus gros que tout ce que je n'avais jamais senti. Alors, Gloria a semblé se concentrer sur elle-même. Elle a accéléré sa friction contre mon visage pendant qu'elle s'approchait encore un d'autre orgasme. Ceci a pris du temps. Elle se claquait la chatte contre mon visage. J'ai léché son clitoris essayant de la faire jouir. Enfin, elle est venue avec des cris, puis un jet de mouille, comme je n'en avais jamais vu. Cela m’a rempli la bouche. J'ai dû avaler son jus pour pouvoir continuer à respirer. Elle s'est effondrée sur le dossier du divan. J'avais désespérément besoin d'air. Après plusieurs longues minutes, elle m'a demandé de la lécher encore sur son sexe pour le rendre propre. J'en ai léché autant que je pouvais et alors elle a basculé hors du divan.


Madame K m'a dit d'aller chercher une serviette et de finir le nettoyage de Gloria. J'ai retiré ma tête et j'ai rencontré le souffle d'air le plus doux et le plus frais que je n'avais jamais goûté. J'étais trempé par son jus de chatte et par sa sueur des cheveux aux épaules. Quand je suis retourné j'ai essayé d'essuyer Gloria avec ma main par l'ouverture, mais elle m'a dit d'y mettre ma tête là et de la tenir droite. J'ai dû glisser mes mains dans la même ouverture que celle des jambes de Gloria. L'odeur m'a presque m'a fait évanouir. Tout l'intérieur entier de la chemise de nuit était trempé. Ensuite, Gloria m'a demandé de lui préparer un bain. Ma robe était totalement trempée de la taille jusqu'en haut et sentait la mouille de la chatte de Gloria.


C'est alors que j'ai réalisé que j'avais toujours quelque chose dans mon anus. Gloria m'a demandé ne pas l'enlever jusqu'à ce qu'elle se soit baignée et se soit habillé. J'enlèverai ton plug à ce moment-là. Au début, la pénétration par le plug n'était pas trop inconfortable, mais avant que Gloria ait fini son bain et se soit habillé, il me semblait que j'avais un poteau de téléphone enfoncé dans l'anus. J'ai été soulagé quand elle m'a dit de le retirer et de prendre un bain. Le reste de la soirée s'est passé sans rien de particulier, excepté le fait que Gloria a employé un petit gode sur elle-même pendant je m'étendais à côté d'elle. Elle a eu plusieurs petits orgasmes et est tombée endormi peu de temps après m'avoir embrassé et en me souhaitant une bonne nuit.


Le jour suivant mon phallus était encore sensible de ma nuit dans la voiture, Gloria, Madame K. et Madame M. ont ensemble décidées qu'il valait mieux attendre que mon phallus soit guéri, avant de le soumettre à d'autre genre de stimulation. Par conséquent, elles ont choisi de m'initier à plusieurs techniques de jeu et de punition. Ainsi Gloria, serrait plus à l'aise dans son nouveau rôle. Elle trouvait parfois curieux de me faire souffrir pour son amusement. Ma leçon suivante devait pousser plus loin mon acceptation du gode. Leur but était de me former à avoir mon sperme drainé par un massage de la prostate, sans éjaculer car toujours encagé dans ma ceinture de chasteté tandis que je serais baisé par un gode ceinture que porterai Gloria. Le matin a passé rapidement pendant que je servais oralement Gloria à l'aide de ma langue et une autre fois avec un gode qui était attaché à un bâillon phallus qui s'enfonçait aussi dans ma bouche.


L'après-midi, fut réellement plaisant. J'ai servi les rafraîchissements et je me suis occupé de laver le linge sale, les petites culottes et toute leur lingerie. Madame. M. avait sa période, à en juger par ses culottes souillées que j'avais lavées. Elle m'a demandé d’avoir une attention particulière à ses petites culottes qu’il fallait que je lave à la main. J'ai soigneusement lavé, rincé et essoré et essoré toute leur lingerie à la main. Ma propre robe, qui était souillée du service que j'avais rendu plus tôt à Gloria, a également été lavée à la main. Je commençai à être plutôt fatigué et j'ai pensé que le dîner serait demandé sous peu. C’est alors que Gloria, m'a réclamé pour monter à la salle de bains.