samedi 3 mars 2007

Aider un ami (suite 3)

Deuxième partie


"Je te reverrai demain soir", avait-il dit. Et cela se produisit, à 6 heures précises, on frappa à la porte de ma chambre. "Qui est ce demandais-je ? "


Je sentis mon sexe se dresser dans mon slip. "Bonjour, c’est Steve, je suis seul, " dis-je. Je pus entendre Dereck rire pour lui-même. Une seconde plus tard, la porte s’ouvrait.


Dereck se tenait debout dans son boxer. Je le désirais. C’était un vrai home. Je ne pouvais pas détacher mon regard de la toison très fournie de son pubis qui disparaissait dans son boxer.


"Ecoute, pédale," dit-il. "Je t’ordonne de revenir cette nuit ici. Je ne sais pas à quelle heure tu vas te coucher, mais j’imagine que pour toi 6 heurs du soir ce n’est pas la nuit. Je dois encore dîner."


Mon cœur bondit dans ma poitrine. "Oh. Oui, je peux être là plus tard. "


"Tu as intérêt, Steve." Il saisit fermement mon poignet. Tiens, en attendant tu peux me divertir pendant que je mange. "


Il me tira par le poignet et m’entraîna dans sa chambre. Elle était sale et en désordre. Des vêtements sales étalés partout. Son compagnon de chambre, Jake, semblait seulement un petit peu plus ordonné que lui, à en juger par le coté de la chambre qui lui était réservé. Le lit de Derek était couvert de vêtements et de sous vêtements. Sur l’oreiller se trouvait un carton à pizza à moitié vide.


Derek fit tomber sur le sol les vêtements qui se trouvaient sur son lit. Il me poussa sur le lit et s’assis à coté de moi. Il prit une portion de pizza et commença à l’avaler en silence. Il se contentait de me regarder fixement. Il ne devait pas s’être rasé depuis plusieurs jours à voir l’aspect rugueux et négligé de ses joues. Ses cheveux étaient en désordres, gras et malpropres.


"Hé, viens plus prêt." Il me fit signe pour que je me rapproche de lui. Il se pencha vers moi comme s’il était sur le point de m’embrasser. Voulait-il réellement m’embrasser ? Quand nos lèvres furent seulement à quelques centimètres, il fit soudainement un énorme rot. Il rit énormément. "Tu es une pédale stupide, sais tu cela ?" Je baissais les yeux tandis qu’il commençait à téter une autre bouteille de coca. "As-tu passé un bon moment l’autre fois ? Hein?"


"Oui. J’ai aimé sucer votre bite. "


Il grimaçât. "Et ma pisse – elle avait bon goût ? " Je baissais la tête. "Tu as aimé." Il me sourit, une méchante grimace tordit un instant son visage. Alors son air changea. "Je dois m’excuser. J’aurais du t’offrir quelque chose à manger. Je fais un mauvais hôte. "


"Oh ce n’est pas un problème, Derek. " Dis-je, hypnotisé par le buisson de poils noirs qui garnissait ses aisselles et imaginant ma langue titillant chacun des poils.


"Veux-tu quelque chose à manger ? "


"Bien sur. Merci. "


Derek sourit à nouveau. "Et bien attaque ce morceau." Et en disant cela, il abaissa son boxer et s’allongea sur le dos, les jambes relevées, exposant son anus poilu. Il avait toujours un morceau de pizza à la main et continuait de mastiquer bruyamment. "Bouffe moi le trou, pédale."


Je n’avais pas besoin de plus d’encouragement. Je bondis pratiquement vers son entre fesse poilue. Ma langue coulissait de haut en bas le long de la fente et je respirais profondément, inhalant la forte puanteur poivrée. Le goût était fort et son trou était moite et chaud. Je le titillais d’abord avec ma langue avant de la pousser à l’intérieur.


Alors il lâcha un pet, comme cet énorme pet de la nuit d’avant. Et il rit. Visiblement il prenait son pied à me faire respirer ses pets tout chauds. "Respire bien ça, pédale. Profites-en comme la senteur des roses d’un jardin." Et il rentra dans un rire frénétique tandis que je lavait son trou avec ma langue.


"Allez pédé. Mets ta bouche de fiote sur ma bite. Je vais t’offrir un cocktail."


Sachant très bien qu’il allait pisser dans ma bouche, je pris juste le gland de son sexe monstrueux et le laissait reposer sur ma langue. C’est sur, ma bouche n’allait pas tarder à être remplie à déborder avec son jus amer. "N’en laisse pas tomber une goutte, Steve, tu es sur mon lit. Sinon tu devras laver les draps." J’avalais rapidement, buvant sa pisse âcre. Quand il s’arrêta finalement, il sorti sa queue de ma bouche et la secoua sur mon visage. Des gouttes d’urine s’écrasèrent sur ma face.


Tu fais cela bien. C’est pratique d’avoir une pissotière comme toi à sa disposition. Je suppose que tu peux aussi gober mon sperme, hein ? N’est ce pas vrai, lopette ? "


Je souris. "Je veux avaler votre foutre, Derek. S’il vous plait laissez moi le boire. "


Son visage fit une énorme grimace. "Dit le encore, pédale."


"J’aime sucer les bites, et tout particulièrement la votre, Derek. Laissez moi avoir votre sperme.

"

Derek commença à rire de manière incontrôlée. "Tu entends cela ? " Dit-il, regardant par-dessus ma tête vers la porte.


"Oui, j’ai entendu. "Je me retournais et je vis Jake, son compagnon de chambre en survêtement, debout dans l’entrebâillement de la porte. "Steve, es tu vraiment un suceur de bite ? "


Derek rit. "Jake, c’est la meilleure sorte de suceuse de bites: c’est ma suceuse de bites. Dit lui, Steve."


Je regardais Jake, embarrassé. Jake était véritablement un très bel homme. C’était de manière très nette un hétérosexuel qu se distinguait de la foule male de ce dortoir, et lui, contrairement à beaucoup d’autres, n’avait pas fait tout ce qu’il pouvait pour m’insulter. Il était très désirable. Il faisait plus d’un mètre quatre vingt avec un cops musclé de nageur. "Je suis la suceuse de bite de Derek." Jack me regarda fixement à nouveau.


"Et maintenant, Steve, " dit Derek, "tu es NOTRE suceuse de bite. Hé, Jake, veux-tu une bonne pipe ? "


Jake me regarda. Vraiment ?


"Pas la peine de lui demander. C’est juste une lopette. Bien sur qu’il le fera."


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