dimanche 30 mai 2010

Cette fois ci j’ai vraiment trouvée mon Maître

D’abord je l’ai déjà vu 4 fois, et c’est la première fois que j’ai un vrai suivi. Mon Maître a décidé de m’appeler Peggy. C’est un nom ridicule qui évoque bien la truie que je suis.

Ensuite, il me baise vraiment divinement. Il a une très grosse queue, comme je n’en ai jamais vu. Elle est si large à la base que cela m'élargis et que je me sens complètement remplie quand il me prend. J’ai du mal à me l’enfoncer dans la gorge tellement elle est large. C’est d’ailleurs pourquoi mon Maître désire que j’achète un écarteur de bouche que j’ai commandé.

Quand il me prend en bouche ou en chatte, j’ai vraiment l’impression de n’être plus qu’un trou, et je ressens toute la puissance virile qu’il dégage. C’est un sentiment extraordinaire qu’il est difficile de décrire. Je n’ai jamais ressenti cela, et j’ai l’impression d’être une vraie femelle qui se fait prendre. Au bout d’un moment son énorme bite me fait mal, je suis obligée de serrer les dents pour le supporter. Car il me baise pendant des heures, littéralement, alternant chatte et bouche.

Mais je pense qu’avec l’habitude ma chatte va s ‘élargir pour être plus accueillante pour lui. D’ailleurs la dernière fois, il m’a longuement préparée la chatte avec ses doigts, et il a pu me baiser plus à fond et, il me semble, plus à fond. C’était très fort et très violent. J’avais l’impression que ma chatte était écartelée.

Je rêve qu’il me prenne en missionnaire pour que je puisse croiser amoureusement mes cuisses autour de ses hanches si puissantes. Mais Lui ne veut pas, il dit que je ne suis qu’une vieille merde, une connasse, une poufiasse, et une sale chienne et que je ne le mérite pas, et qu’il ne me baisera qu’à quatre pattes car c’est ma position naturelle.

Car mon maître me méprise profondément. Il n’en dit rien, mais je sens son mépris envers moi à chaque fois avec des ordres secs, sans fioritures, comme si cela le dégoutait de s’adresser à moi. Et de temps en temps il laisse échapper quelques expressions de dégout, comme « t’es vraiment une merde », ou « t’es trop moche, y a que ton trou qui est bien ». Je lui ai posé dernièrement directement la question. Il dit que comparé à lui (il est vraiment très beau), je ne suis qu’une « vieille pute », « un morceau de viande avarié » et que je le dégoute vraiment, mais « qu’il y a quelque chose en moi qui le fait bander ». Il dit aussi que je suis juste un vide couille pour lui, et qu’il n’en a rien à foutre de moi.

Aussi il préfère ne pas voir mon visage. Je le comprends fort bien car il me fait un grand honneur en daignant me baiser. L’avant dernière fois, mon Maître m’a fait l’honneur de me pisser dessus, toute allongée, en tenue, avec ma guêpière dans la baignoire. Et j’ai déjà eu le privilège de lécher sa pisse, comme de lécher son cul sale et d’y mettre ma langue de putasse.


D’ailleurs maintenant il me puni vraiment sévèrement, « sans haine ni colère comme il a dit ». La dernière fois j’ai eu droit à 50 coups de martinet les mains menottées dans le dos et pinces au seins. Je devais compter les coups et le remercier à chaque coup. Passé les 20 coups, je sentais que je me donnais totalement à lui, encaissant chaque coup, lui offrant ma douleur et ma soumission, c’était un don complet de moi. Il m’a dit que j’avais l’air « vraiment conne et ridicule en me dandinant des fesses sous les coups ».

Quand je lui ai demandé de pouvoir retirer les pinces, il a voulu les retirer lui-même. Comme je lui demandais de pouvoir les retirer moi même, ca l’a énervé et il en a retiré brutalement une. Cela m’a fait extrêmement mal. Mais j’ai pu retirer l’autre moi même. Ca l’a énervé et il m’a dit que je serais punie pour cela la prochaine fois car je ne lui avais pas fait confiance, alors que je lui appartiens et que je n’ai qu’à fermer ma gueule et tout accepter. J’ai demandé pardon, bien sûr, mais cela n’a rien changé à sa décision de me punir la prochaine fois.

J’ai aussi eu une fois l’immense plaisir de respirer l’odeur de ses aisselles et de son slip, mais cela n’arrive pas souvent hélas pour moi.

J’espère avoir bientôt une nouvelle séance avec mon maître. J’ai hâte d’y être pour subir la loi de sa Virilité, de pouvoir profiter de ses odeurs, de sa pisse et du reste…

La prochaine fois il me veut toute en noir. J’ai du commander une nouvelle guêpière noire avec des bas.

Peggy

dimanche 9 mai 2010

Un contrat que j'aimerai réaliser...

Contrat d'appartenance de la truie Aline à son Maître

1- La truie Aline doit obéissance absolue à son Maître. Elle fait confiance à son Maître pour respecter ses limites et pour les faire évoluer si besoin. Les limites de la truie Aline sont : pas de prise de risque vis-à-vis VIH, que tout cela reste mon jardin secret, pas de marques trop visibles, pas de fist ni de piercing. Les limites que l'on peut faire évoluer sont: marques visibles (sauf visage), fist, et exhibition devant public choisi par son Maître, son entourage exclu.

2 - La truie Aline est au service de son maître jour et nuit, sauf si la truie a une obligation professionnelle ou une obligation familiale forte. Son Maître peut l'appeler jour et nuit, soit au tel, soit qu'elle se rende chez lui (en tenant compte des transports disponible) soit pour accueillir son Maître chez elle.

3 - Il est strictement interdit à la truie Aline de jouir sans l'autorisation de son Maître. Elle ne devra toucher son clitoris que sur ordre de son Maître (sauf pour le laver sous la douche). Son maître peut lui ordonner de branler doucement son clito et d'arrêter dés que son clitoris commence à grossir, mais sans jamais jouir. La truie Aline sera mise en cage de chasteté.

4 - La truie Aline devra être épilée. il est possible que la truie ne soit pas totalement épilée des bras l'été seulement.

5 - La truie Aline devra en permanence porter des petites culottes féminines choisies par son Maître. Elle pourra être pluggée à l'extérieur si son Maître l'ordonne.

6 - La truie Aline devra faire des comptes rendu quotidien à son maître et répondre à tous ses mails, SMS ou appel téléphonique. En revanche la truie Aline doit s'abstenir d'envoyer des SMS ou d'appeler son Maître au téléphone de sa propre initiative.

7 - La truie Aline devra appeler son maître en utilisant des petits mots doux. En revanche son maître peut utiliser toutes les insultes les plus dégradantes qui lui viennent à l'esprit. La truie Aline doit caresser, masser, mais ne devra jamais donner des bisous à son Maître, ni l'embrasser. De même il est strictement interdit à la truie de regarder son maître dans les yeux. elle doit se contenter de regarder ses pieds, ou sa bite si son maître l'y autorise. En revanche son maître lui donne des gifles, coups, fessées, claques, crachats et pourra examiner ou fouiller la truie tout à loisir.

8 - La truie Aline devra se plugger ou se goder sur les ordres de son maître dés que son maître le lui ordonne. Elle devra sucer son maître aussi longtemps qu'il le désire, même si sa bite est sale ou très odorante. De même, la truie Aline devra se faire baiser par son maître aussi souvent et aussi souvent qu'il le désire et devra servir tout homme que son maître lui désignera, la douleur ou la fatigue n'étant pas des excuses valables.

9 - La truie Aline devra boire la pisse de son maître quand celui ci le lui ordonne, de même pour sa propre pisse. Elle devra aussi recevoir la pisse de son maître sur toute partie du corps décidé par son maître comme voir sa chatte remplie de pisse. Il en est de même pour la merde. Le Maître peut demander à la truie de le servir aux toilettes quand celui ci doit déféquer. La truie doit alors servir de papier cul. A terme la truie Aline devra arriver à manger la merde de son maître.

10 - Le maître peut punir la truie par le martinet, la fessées à main nue ou à la ceinture, donner des gifles ou des coups de poings ou des coups de pieds à la truie Aline, sans faire de marques au visage, et cela même sans motif.

11 - La truie peut être attachée, avoir les yeux bandés, être séquestrée dans local étroit pour des dures plus ou moins longue suivant le bon plaisir et la disponibilité de son Maître.

12 - La truie devra apprendre à apprécier toutes les odeurs de son maître : l'odeur de ses aisselles, de sa bite et de ses couilles et aussi de son cul ou de ses pets, pisse, ou merde. Pour cela le maître peut lui mettre sous le nez ses aisselles, son linge de corps ou slip porté, sa merde ou sa pisse. Pour la merde, en particulier, la truie Aline devra faire des inhalations à l'aide d'un dispositif approprié, ou avoir le nez collé à sa merde de la manière qu'il plaira à son maître

dimanche 2 mai 2010

Qu’est ce qu’un vrai Maître ?

Je me sens obligée de reprendre ma plume pour vous faire part de ma frustration et celle de nombreuses soumis(e)s comme moi, d’après les confidence que j’ai pu recueillir.

Qu’est ce qu’un vrai Maître ?

C’est quelqu’un qui cherche avant tout à prendre le POUVOIR sur son ou sa soumise.

Prendre le pouvoir ce n’est pas :
- Draguer en disant : « ou ? quand ? »
- Donner quelques claques sur le cul, tirer son coup et se barrer au bout d’une demie heure sans plus donner de nouvelles pendant quinze jours.
- Demander n’importe quoi, comme baiser sans capote, sous prétexte qu’on est soumis et qu’un soumis doit obéir.
- Ne pas respecter les limites, ou ce qui a été établit à l’avance.
- Se contenter d’un « plan » de temps en temps

Prendre le pouvoir c’est :
- Faire en sorte que son soumis ai ses pensées les plus souvent tournées vers son Maître et la satisfaction du plaisir de son Maître : envoi de mails quotidien, coups de fil, SMS, auxquels bien entendu le soumis doit répondre. Il doit s’engager à faire des comptes rendus quotidien.
- Suivre son soumis au quotidien : interrogation sur emploi du temps, limites et contraintes diverses,
- Entreprendre une sorte de « lavage de cerveau » de son soumis en l’obligeant à remercier son Maître pour chaque action ou geste, et à le supplier d’être dégradé ou punis. Faire répéter son soumis pour qu’il dise le plus souvent possible ce qu’il est.
- Etablir une relation totalement déséquilibrée : aucune réciprocité, seul le plaisir du maître compte, le soumis doit rester frustré et le Maître doit contrôler ses masturbations voire imposer le port d’une cage de chasteté, les échanges verbaux doivent aussi être déséquilibrés : d’un côté « Maître chéri » et de l’autre « Salope, connasse, pauvre merde, etc… »

On pourrait longtemps développer sur ce thème, l’antithèse et la thèse, ce qu’il ne faut pas faire et faire… j’espère que tout le monde a bien compris. Un vrai Maître prend le temps de s’occuper de sa soumise, et donc être vraiment disponible. Ceci exclut les hommes mariés qui ne peuvent recevoir chez eux, oui qui ont peur d’envoyer des emails ou des SMS. Cela implique des plans longs, voire des week end entiers passés chez le Maître, séquestrée, à subir la loi du Maître pour l’unique plaisir du Maître.

Mais le plus important est CECI : le Maître doit s’efforcer de comprendre le soumis, c’e st à dire qui l’attire dans la soumission, POURQUOI il aime se soumettre, quels sont ses ressorts secrets. Pas besoin d’être psychanalyste pour cela, il suffit de savoir écouter sons soumis, de l’interroger sur ses pulsions et le pourquoi de ces pulsions, en bref d’amener le soumis à totalement se DEVOILER à son Maître.

Connaissant alors les ressorts intimes des pulsions de son soumis, la tâche lui sera grandement facilitée : une sorte de boulevard de la domination s’ouvre devant lui. Il pourra ainsi « jouer » avec ces pulsions, son masochisme moral ou physique, et faire que son soumis ressente une véritable addiction envers lui. Alors là, il aura vraiment gagné son titre de MAITRE. A lui de ne pas trop en abuser…

Bien entendu, tout cela n’est possible que s’il y a entente sur les trips, sinon, inutile de poursuivre.

J’espère que ces conseils serviront à de nombreux Maîtres.

Aline

vendredi 12 mars 2010

Milking


Voilà à nouveau 4 jours complets que je suis chaste à nouveau. Et hier mon clito a commencé à couler. Je ressens à nouveau cette chaleur constante et si particulière dans mon clito qui me maintient tout le temps dans un état d'excitation plus psychologique que physique (mon clito ne durci pas tout le temps !).

Aussi pour faire baisser la pression, je me suis pratiquée un "milking" : avec un gode bien dur que j'ai introduit juste à l'entrée de ma chatte, je l'ai massée pendant 5 minutes au moins en faisant entrer et sortir le gode juste à l'entrée de la chatte. Dans ces cas là, mon clito n'est pas en érection, mais le résultat ne s'est pas fait attendre a laissé échapper de longue coulées de liquide pré spermatique qui sont allé se recueillir dans le préservatif que j'avais mis. C'est une sensation très bizarre, qui n'a rien à voir avec l'orgasme. Cela se produit de manière complètement incontrôlée (on ne peut absolument pas se retenir), mais sans que les muscles qui contrôlent l'éjaculation interviennent, et cela donne quand même un autre plaisir, différent de l'éjaculation, plus bref, coulée par coulée, où l'on se sent impuissante. Et ce plaisir se mêle à celui que l'on ressent à travers sa chatte qui est ainsi bien travaillée.

Bien entendu quand on est bien baisée, il se passe aussi la même chose, si l'on a été chaste suffisamment longtemps. C'est une sorte de mouille de femelle.

J'ai obtenu une assez bonne quantité de liquide comme vous pouvez le voir sur les photos. Et comme une bonne lopette j'en ai vodé tout le contenu dans ma bouche de pute. Le goût est différent du sperme ou de l'urine, à peu prés entre les deux, très acre et très fort. Ce liquide sent aussi très fort.

Dés ce matin, après mon pipi matinal, assise comme il se doit, j'ai remis le préservatif. Cela n'a pas tardé, dés que je me suis mise à bouger un peu dans l'appartement, mon clito s'est remis à couler, toujours de manière incontrôlée, au moment où l'on s'y attends le moins et à chaque fois me rappelle ma condition de lopette soumise. Et à nouveau je ressent cette "pression", cette chaleur qui irradie mon bas ventre de femelle. Il va sans doute falloir que je pratique à nouveau aujourd'hui.

J'espère que ma nouvelle cage de chasteté va arriver aujourd'hui: http://shop.morgane-folies.com/cage-de-chastete-inox-la-prison.html
Vu le prix j'espère ne pas être déçue et ne pas m'être trompée dans mes mesures.

mercredi 24 février 2010

Superbement baisée...


C’est bon de se faire bien baiser par un Vrai Mâle. J’espère que je le reverrai et qu’il sera mon maître régulier. Voilà l’histoire…

D’entrée, dans le dial, il m’a traitée comme une merde… Pas une phrase sans une insulte. Et mon petit mot doux préféré « connasse » à tour de langue… Il désirait un vide couille régulier, point barre, à traiter comme il se doit. Pas de bla bal…

Il faut dire que je n’aimes pas trop ce genre de plan : le mec qui veux juste se vider les couilles mais sans dominer. Mais dans le dial, il m’a vraiment remise à ma place. Un vrai Dominateur comme il y en a peu.

Il était le petit matin. 5 heures environ (je suis une lève tôt). Lui, sans doute, devait bosser la nuit. Il voulait passer à 7h15. Le dial se continua sous MSN. J’étais réticente au début, je n’aime pas recevoir la première fois. Mais il me subjuguait vraiment par sa volonté implacable, et faible et molle comme je suis je finis rapidement par céder. J’en avais marre de tomber sur des nuls (vaut mieux pas s’étendre sur ce sujet… quoique, un jour… je ferai un catalogue de toutes les sortes de mec bidon sur lesquels on peut tomber). Et LUI, il avait l’air d’un vrai MALE DOMINATEUR qui savait imposer sa VOLONTE.

Donc entre deux dials MSN je prends ma douche et me prépare. J’étais complètement épilée et lisse. Je me parfume « Amour… Amour »… me maquille légèrement, mets mes boucles d’oreilles et mon collier de perles. Je passe ma guêpière, mes bas blancs, ma petite culotte blanche en dentelle, et par dessus une tunique blanche vaporeuse ainsi qu’un petit short taillé dans un jean féminin très étroit qui laissait voir mes jarretelles qui tenaient les bas.



J’attends, anxieuse. Il m’avait demandé de laisser la porte entrouverte et d’être à 4 pattes, le cul tourné vers la porte.

A 7h15 pile, il sonne à l’interphone. Je lui ouvre et me remets en position. Je le distingue à peine dans la pénombre de la pièce.

A peine arrivée il m’insulte. Me palpe le cul, les seins, avec vigueur comme seul un VRAI MALE sait le faire. Je reçois quelques vigoureuses claques sur le derrière. Je lui demande de ne pas faire trop de bruit (hélas les murs de mon appartement sont minces). D’entrée il me met mon bâillon gode dans la bouche en serrant la boucle à fond et me mets les menottes les mains dans le dos en serrant fort les bracelets. Ca fait mal. Je n’en mène pas large. Mais quelque chose dans son attitude que dit qu’il se contrôle. Bien entendu tout cela se passe en étant traitée de « sous merde », de « lope », etc… Exactement l’ambiance que j’ai toujours cherchée.

Il plante son doigt dans ma chatte et voie qu’elle n’était pas assez lubrifiée. Il en met une bonne giclée. Puis il me conduit dans la chambre et me pousse brutalement sur le lit (Humm ! Quel HOMME !). Moi, douillette, apeurée, je gémie dans mon bâillon. J’aurais mérité des paires de baffes, mais il sentait que j’avais la trouille et sans doute ne voulais pas trop pousser. Je suis à quatre pattes sur le lit et il me lime la chatte avec un gode sans ménagement (heureusement je suis assez bien ouverte) pour me préparer. Au bout d’un moment, les menottes s’étant resserrées, je lui fais signe qu’elles me font mal. Magnanime mon MAITRE consent à me les enlever. C’est trop bon de se faire prendre ainsi par le gode. Je me sens devenir câline. Je lui fais signe d’enlever le bâillon car j’ai envie qu’il entende mes gémissements et mes petits cris de plaisir.

Ensuite, débâillonnée cette fois, il mets une capote et me pénètre d’un coup ! Oh ! Quelle sensation divine ! Il me pistonne sans ménagement et je sens sa bite incroyablement dure et chaude qui me ramone. C’est trop bon. Je sens le plaisir au bout de mon clito. Il me baise ainsi un bon moment à coup très rapide.

Puis il joui, et se casse immédiatement en me demandant de ne pas bouger. Je me précipite sur lui et lui baise la bite à travers son slip et ses baskets en le remerciant avec chaleur.

Quand il est parti je me lève et je m’aperçois qu’il a laissé la capote à l’intérieur de ma chatte comme souvenir, comme s’il l’avait jetée dans une chiotte. J’apprécie beaucoup cette petite attention humiliante. . Je la retire, elle est pleine de son sperme. Je me sens heureuse d’avoir pu donner du plaisir à mon homme !

J’espère qu’il repassera très bientôt et qu’il me baisera encore. Je l’adore !