mercredi 24 février 2010

Superbement baisée...


C’est bon de se faire bien baiser par un Vrai Mâle. J’espère que je le reverrai et qu’il sera mon maître régulier. Voilà l’histoire…

D’entrée, dans le dial, il m’a traitée comme une merde… Pas une phrase sans une insulte. Et mon petit mot doux préféré « connasse » à tour de langue… Il désirait un vide couille régulier, point barre, à traiter comme il se doit. Pas de bla bal…

Il faut dire que je n’aimes pas trop ce genre de plan : le mec qui veux juste se vider les couilles mais sans dominer. Mais dans le dial, il m’a vraiment remise à ma place. Un vrai Dominateur comme il y en a peu.

Il était le petit matin. 5 heures environ (je suis une lève tôt). Lui, sans doute, devait bosser la nuit. Il voulait passer à 7h15. Le dial se continua sous MSN. J’étais réticente au début, je n’aime pas recevoir la première fois. Mais il me subjuguait vraiment par sa volonté implacable, et faible et molle comme je suis je finis rapidement par céder. J’en avais marre de tomber sur des nuls (vaut mieux pas s’étendre sur ce sujet… quoique, un jour… je ferai un catalogue de toutes les sortes de mec bidon sur lesquels on peut tomber). Et LUI, il avait l’air d’un vrai MALE DOMINATEUR qui savait imposer sa VOLONTE.

Donc entre deux dials MSN je prends ma douche et me prépare. J’étais complètement épilée et lisse. Je me parfume « Amour… Amour »… me maquille légèrement, mets mes boucles d’oreilles et mon collier de perles. Je passe ma guêpière, mes bas blancs, ma petite culotte blanche en dentelle, et par dessus une tunique blanche vaporeuse ainsi qu’un petit short taillé dans un jean féminin très étroit qui laissait voir mes jarretelles qui tenaient les bas.



J’attends, anxieuse. Il m’avait demandé de laisser la porte entrouverte et d’être à 4 pattes, le cul tourné vers la porte.

A 7h15 pile, il sonne à l’interphone. Je lui ouvre et me remets en position. Je le distingue à peine dans la pénombre de la pièce.

A peine arrivée il m’insulte. Me palpe le cul, les seins, avec vigueur comme seul un VRAI MALE sait le faire. Je reçois quelques vigoureuses claques sur le derrière. Je lui demande de ne pas faire trop de bruit (hélas les murs de mon appartement sont minces). D’entrée il me met mon bâillon gode dans la bouche en serrant la boucle à fond et me mets les menottes les mains dans le dos en serrant fort les bracelets. Ca fait mal. Je n’en mène pas large. Mais quelque chose dans son attitude que dit qu’il se contrôle. Bien entendu tout cela se passe en étant traitée de « sous merde », de « lope », etc… Exactement l’ambiance que j’ai toujours cherchée.

Il plante son doigt dans ma chatte et voie qu’elle n’était pas assez lubrifiée. Il en met une bonne giclée. Puis il me conduit dans la chambre et me pousse brutalement sur le lit (Humm ! Quel HOMME !). Moi, douillette, apeurée, je gémie dans mon bâillon. J’aurais mérité des paires de baffes, mais il sentait que j’avais la trouille et sans doute ne voulais pas trop pousser. Je suis à quatre pattes sur le lit et il me lime la chatte avec un gode sans ménagement (heureusement je suis assez bien ouverte) pour me préparer. Au bout d’un moment, les menottes s’étant resserrées, je lui fais signe qu’elles me font mal. Magnanime mon MAITRE consent à me les enlever. C’est trop bon de se faire prendre ainsi par le gode. Je me sens devenir câline. Je lui fais signe d’enlever le bâillon car j’ai envie qu’il entende mes gémissements et mes petits cris de plaisir.

Ensuite, débâillonnée cette fois, il mets une capote et me pénètre d’un coup ! Oh ! Quelle sensation divine ! Il me pistonne sans ménagement et je sens sa bite incroyablement dure et chaude qui me ramone. C’est trop bon. Je sens le plaisir au bout de mon clito. Il me baise ainsi un bon moment à coup très rapide.

Puis il joui, et se casse immédiatement en me demandant de ne pas bouger. Je me précipite sur lui et lui baise la bite à travers son slip et ses baskets en le remerciant avec chaleur.

Quand il est parti je me lève et je m’aperçois qu’il a laissé la capote à l’intérieur de ma chatte comme souvenir, comme s’il l’avait jetée dans une chiotte. J’apprécie beaucoup cette petite attention humiliante. . Je la retire, elle est pleine de son sperme. Je me sens heureuse d’avoir pu donner du plaisir à mon homme !

J’espère qu’il repassera très bientôt et qu’il me baisera encore. Je l’adore !