mardi 27 février 2007

Aider un ami

Voici une nouvelle différente de ce que vous avez pu lire jusqu'ici sur mon Blog. Il ne s'agit pas de domination féminine, mais masculine, homosexuelle. Il n'y a pas non plus de notion de chasteté. et c'est très hard et cru. Faîtes moi part de vos commentaires pour savoir si vous aimez ou non ce genre d'histoires.

Pour ma part je crois que la soumission et le travestissement conduisent fatalement un jour à l'autre à accepeter, avec plus ou moins de difficultés, son homosexualité. Et vous qu'en pensez vous ?

L'original de cette histoire est sur le site de Nifty et s'intitule "Helping Out a Friend". Elle est due à Bart Marshall. La voici.



Aider un ami


J'étais à mon bureau, faisant mon travail -- ou essayant de faire mon travail. Je pourrais à peine maintenir mes yeux ouverts. La linguistique me barbait à me faire dormir debout. Mais, naturellement, il faut en passer par là n’est ce pas ? Car j’étais un jeune étudiant.


Quelques mots à mon sujet. Je suis un étudiant de première année. Je vis sur le campus dans une résidence qui est principalement consacrée aux étudiants de première année, mixte, avec des étages différents pour les hommes et pour les femmes. Mon compagnon de chambrée, Marc, est un type gentil. Le premier mois nous étions de grands copains, mais maintenant il a une petite amie qui vit dans un appartement hors du campus, aussi il passe rarement la nuit dans notre chambre.


A part Marc, je n'ai vraiment aucun ami sur le dans cette résidence. La plupart des types sont, disons, des porcs. Ils déambulent dans les couloirs jurant et rotant et pour quelque raison mystérieuse ne sont pas capable d’avoir assez d'énergie pour tirer la chasse des toilettes communes de l’étage. Mais, d’un autre côté, ils ne m'ont causé aucun problème d’aucune sorte. Et s’ils ne sont pas particulièrement aimables, ils n'ont pas non plus été méprisants envers moi.


J’étais donc à mon bureau, il était environ une heure du matin, tournant en rond d’ennui, quand on a frappé à la porte. "Entrez," ai-je crié paresseusement, mais la porte ne s'est pas ouverte. "Entrez, " ai-je dit encore, jetant un coup d'oeil sur le bouton pour voir si j'avais involontairement fermé la porte à clef. Il était ouvert. "Entrez!" Enfin, je me suis levé de ma chaise et j’ai ouvert la porte.


Comme j’ai ouvert porte, j’ai vu Derek. Derek vit de l’autre côté du couloir. Je ne sais pas grand-chose à son sujet, autre que je ne l'ai jamais vu un seul jour passer sans entrer dans sa chambre avec une fille sur son bras. Derek ne m’avait jamais adressé la parole, se contentant d’incliner la tête de temps en temps quand nos chemins se croisaient dans le vestibule, mais jamais vraie conversation.


"Salut, Derek."


"Oh. Bonjour, " dit-il comme si il ne m'avait pas remarqué que j’avais ouvert la porte. "Marc est là?"


"Non. Désolé," ai-je répondu, en remarquant le corps de Derek. Derek se tenait incliné contre le cadre de la porte avec un bras. L'autre bras était sur son côté, la main disparaissant dans la taille de son short de sports. Je pouvais voir au bombement extrême que sa main était sur son sexe. Il était poitrine nue. Quel spécimen! Ses abdominaux étaient comme un mur de muscles, pas bien formés et indiquaient une force incroyable. Un de ses bras étant soulevé pour prendre appui contre le cadre de la porte, je pouvais clairement voir le buisson moite et bien fourni niché dans ses aisselles.


"Encore debout ?" demanda-t-il, me tirant brusquement de mes rêveries.


"Oui. Bien sur. En train d’étudier, " bégayais-je.


"Bien," dit-il, semblant désintéressé.


"Tout cela est très brabant. Je suis en train de faire une pause."


"Envie de compagnie ? demanda-t-il, tandis que j’espérait qu’il veuille bien de la mienne.


Je ne pus cacher le sourire qui éclaira mon visage. "Bien sur. " Avant que je pusse lui faire signe d’entrer dans ma chambre, il s’avança vers moi et se laissa tomber lourdement sur mon lit. Je tournais ma chaise pour lui faire face. Il s’assit sur le lit, s’allongea et mis jambes sur le lit, largement ouverte en V, tout le paquet qu’il avait dans son short faisant une large et grosse bosse. Il resta ainsi, ses mains derrière la tête, exposant maintenant ses deux larges buissons noirs sous ses aisselles, tous les deux humides de transpiration. Je ne pouvais m’empêcher de le détailler de haut en bas.


"Rends moi une faveur, veux tu ? " demandât-il avec un léger sourire. "Je voudrais retirer mes chaussures mais je suis trop crevé pour le faire." Il s’arrêtât, comme pour attendre ma réponse, mais je savais ce qu’il désirait. Je me senti parfaitement idiot de faire cela, mais je m’agenouillais et je me mis à retirer ses baskets. "Chaussette, aussi," ajouta-t-il. Je me sentis ridicule, a genoux devant ce parfait étalon. Mais après tout j’étais juste en train de rendre service à un ami.


Tandis que je faisait coulisser la dernière chaussette, il émis un soupir d’aise. Je me figeait, n’étant pas sur s’il pouvait être excité par mon attitude – il pouvait ne pas être gay, avec toutes ces filles qui traînaient après lui et toutes les histoires que j’avait entendu sur lui. Aussi je fit comme si je n’avais rien entendu. Juste deux garçons entre eux.


"Mec, je suis crevé," soupira-t-il.


"Vous devriez vous mettre au lit." Pourquoi fis-je ce commentaire stupide ?


"Je ne peux pas," dit-il.


"Vous ne pouvez pas ?"


"Non." Il se redressa, et se courba en avant en posant ses mains sur ses cuisses. Il me regarda par en dessous, alors que j’était assis sur le sol en face de lui. "Vois-tu, j’ai un problème."


"Un problème ?"


"Oui. Je ... je ne peux trouver le sommeil sans, tu sais, me vider." dit-il. Sa main gauche gratta ses couilles.


"Vous n’avez qu’à vous masturber, Derek."


"Me masturber !" Il a sourit.


"Pourquoi me masturber quand je vous trouver quelque stupide pétasse pour vous sucer et avaler votre jus ? Je ne me suis pas couché sans une bonne pipe depuis 46 jours, mec... Et désormais je ne peux plus m’endormir sans cela. Je dois trouver une salope pour me sucer à fond, puis je la renverrai chez elle et je pourrais alors m’endormir comme un bébé. Le problème c’est que la salope que j’avais avec moi cette nuit n’a pas voulu me sucer. Aussi je suis sérieusement en manque et je bande comme un cerf, ne vois-tu pas ? " Il me regarda avec un sourire vicieux sur ses lèvres.


"Qu’allez vous faire ? " Mon sexe grossissait dans mon pantalon.


"Et bien. Tout le monde dit que tu es une pédale, Steve." Je me figeais. Mon expression devait avoir changé car il le remarqua. "Je n’ai jamais pensé cela, mec. Mais tout le monde dit à l’étage, ‘Steve est une pédale. Il prends dans le cul.’ Aussi je me suis dit que cela devait être un peu vrai. Je n’ai pas d’autres possibilités. Aussi qu’en dis-tu ? Prêt à me sucer ou non ?


Mon regard se fixa sur son bas ventre, qu’il était en train de frictionner à travers son short. Il remarqua mon regard furtif. "Tu es une vraie pédale." Il rit. Soudainement il tendit la main et je senti sa poigne sur ma nuque. Il tira ma tête jusqu’à lui, la maintenant fermement contre son entre jambe. Je pouvais sentir son érection à travers le tissu. "Est-ce que tu veux cette bite, lopette ?" J’opinais de la tête, en léchant mes lèvres. "Et bien, au boulot. J’ai besoin de me vider les couilles."


En disant cela, il baissa son short et son boxer, révélant sa queue en érection. Elle faisait environ 20 cm de long et était très large. Ses couilles étaient très grosses et poilues. Lentement, je me penchais en avant, empoignant la tige, et commençant à donner de légers coups de langue sur le gland.


"Mieux que ça suceur de bites, avale tout."


Je n’avais pas besoin de plus d’encouragement. Je pris une profonde respiration et je commençais à prendre en bouche la bite de Derek, jusqu’à ce que j’en ai avalé tous les 20 cm et que mon nez soit enterré dans abondant buisson noir. L’odeur était enivrante. Des senteurs de sueur, d’urine et de virilité pure emplirent mes narines. Je faisais de ma gorge un fourreau pour sa bite.


J’enfonçais sa bite jusque dans ma gorge, en coulissant de haut en bas, tout en sentant toujours la pression de ses mains sur le dos ma tête.


Soudain, il empoigna mes cheveux, me forçant à me retirer de son énorme bite, et criant "Mes couilles. Suce mes couilles, sale pédé."



La suite très bientôt.....

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