jeudi 15 février 2007

"Chastity Belt Roulette" (suite 8)

Après un bain chaud et un petit déjeuner, Gloria m'a demandé de m'habiller comme je l'étais hier. Je suis descendu habillé dans le corset, les bas, le soutien-gorge, la culotte bouffante, la brassière et une robe très large d'un modèle Victorien avec cinq jupons. La culotte bouffante était étrange parce qu’elle n’était pas fermée à l’entre cuisse. Madame K. m'a dit que les femmes de l'époque Victorienne ne se déshabillaient pas aller aux toilettes. Les caleçons sont ouverts pour ça. Nous nous sommes assis et avons discuté si je voulais abandonner ou continuer la suite de mon dressage.


C'était Madame K. qui m'a expliqué simplement les choses. Je porterais pour toujours la ceinture de chasteté excepté pendant des fêtes très spéciales. Six jours par semaine je devrais être presque normal. Je continuerais mes affaires comme d'habitude. Dès mon retour du travail à la maison, j'aurais accès à tous les luxes de la vie avec mon épouse. Après dîner, quand la bonne et la cuisinière auraient terminées leur service, je leur succéderais à toutes les deux, pour tout service exigé par Gloria. Samedi, la routine continuerait, à moins que j'aie du travail. Après dîner nous partirions pour la réunion. Dimanche mes fonctions commenceraient à 7 du matin. Je devrait prendre soin d'abord des besoins de Gloria, puis je nettoierais les chambres de la bonne et de la cuisinière. Et en particulier je devrais laver et prendre soin de leurs petites culottes. Le reste de la journée j’appartenais à Gloria.


Quand elle eu terminé je ne pouvais en croire mes oreilles, mais j'acceptais. C'était ce qui m'attendait désormais. L'alternative était moins souhaitable. Pour renforcer sa position, elle m'a montré une cassette vidéo me montrant en train de m'habiller hier et aujourd'hui, et le doigt de Gloria baisant mon anus pendant que j'étais connecté à "l'aspirateur de sperme". Puis, je fus choqué de me voir accroupis sur le siège de ma voiture, fourrant mon doigt dans mon propre anus en ondulant de la croupe. Si des images comme celles-ci devaient devenir publiques, je serais ruiné. Aussi, je devrais apprendre à apprécier "l'aspirateur de sperme" et le doigt Gloria dans mon anus comme les seules relations sexuelles auxquelles j'aurais droit.


Maintenant que nous avons décidé de ton futur, il est temps de déjeuner. Tandis que tu le prépares, nous avons des choses à faire pour Gloria et toi. J'ai disparu dans la cuisine. J'ai toujours apprécié de faire une cuisine de gourmet et maintenant j'avais une raison supplémentaire de le faire.


Tandis que j'étais occupé à la cuisine, Madame K. et Madame M. étaient occupées à discuter de mon dressage avec Gloria. Il semble que Gloria avait beaucoup de choses à m'apprendre. Elle devait apprendre à me contrôler et à m'employer le plus efficacement pour son plaisir. Une chance qui n'est pas offerte à beaucoup de femmes. Elle devait aussi se faire à l'idée que le sexe pouvait être ouvertement discuté et que les maris pouvaient être exhibés. Il était totalement naturel et considérée comme normal pour un mari de fournir un service oral en présence des autres dames pourvu que les parties intimes soient couvertes. Les cris et les gémissements étaient les bienvenus, naturellement. Des rapports normaux ne pouvaient être consommés que dans le privé, mais ils pouvaient être ouvertement discutés. Ces rapports pouvaient être accomplis de beaucoup de manières, avec un gode tenu par la dame elle-même, ou par son mari, ou en attachant le gode à la ceinture de chasteté ou à un bâillon sur sa bouche, ou même de manière conventionnelle si vous lui permettez d'enlever sa ceinture de chasteté.


Il semblait que la règle de base était que quelque chose était acceptable si les parties génitales féminines restaient cachées. Gloria a dû apprendre à pratiquer beaucoup de techniques différentes de dressage et de punition. Une grande variété de techniques rendait la relation intéressante et empêchaient le mari et l'épouse de s'ennuyer. Car comme je devais fournir un service complet pour elle, il était facile de tomber dans une routine.


Gloria a dû apprendre comment bien m'habiller moi-même, une chose qui avait déjà commencé, comment m'entraîner aux lavements, au port de langes ou de couches culotte, au maniement du gode pour la servir, aux techniques masculines de menstruation et au culte du vagin et de son anus. J'ai été formé pour fournir le service oral à tout moment du mois. Beaucoup de femmes ont trouvé ceci difficile et Madame K. a fait plusieurs suggestions pour en faciliter la pratique. Chaque semaine les dames discutaient pendant des heures de nouvelles techniques et d'idées qu'elles avaient eues. Elles les perfectionnaient et faisait un rapport sur les résultats. Quelques idées insidieuses mais inoffensives ont été inventées de cette façon. Et sans m’en dire plus afin de me surprendre, ces prochaines semaines seraient consacrées à la pratique intensive de ces techniques, par Gloria, sur ma personne.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Bravo pour ce blog, j'attend avec impatience la suite de cette histoire.