vendredi 30 décembre 2011

beaucoup d'émotions


Hier, je me suis levée un peu avant 6 heures, ayant passée une bonne nuit. Et j’ai commencé à appliquer le programme (voir post précédent) avec un peu d’avance, en enlevant la cage avec laquelle j’avais dormie, et en me frottant doucement le clito. J’en ai aussi profitée pour faire quelques essais de maquillage car j’ai encore des progrès à faire en ce domaine.

Puis j’ai scrupuleusement respecté le programme, pris mon petit déjeuné, fait ma toilette, puis j'ai soigneusement ajustée le serre taille et le soutien gorge, mis la cage, préservatif par dessus, le plug, bas, nuisette pour faire mon ménage jusqu'à 11H.

A chaque étape j’informais mon Maître par mail pour lui rendre compte, mais je ne recevais aucun SMS. Je me suis appliquée dans mon ménage, avec le plug toujours en moi et en me concentrant cette fois sur la chambre, avec l’idée, de faire particulièrement une pièce plus à fond chaque jour. Mais je ne recevais aucun signe de mon Maître. Je commençais à être vaguement inquiète…

Puis à 11h, j’enlevais la cage pour une nouvelle séance de frottage du clito, qui coulait par intermittence. A 14h je m’apprêtais à sortir avec plug , cage, string et soutien gorge. En marchant, je réfléchissais et j’étais de plus en plus inquiète. Mon Maître était-il parti en vacances dans un endroit où il n’y avait pas de réseau ? Etait-il arrivé quelque chose à mon Maître ? Lui avait-on volé son téléphone portable ? Mon Maître cherchait-il à me tester, ou pire était-il fâché contre moi ? Avait-il décidé définitivement que je n’étais pas assez obéissante et que ce silence signifiait une rupture ? Cette perspective me semblait à la fois irréaliste, car j’avais complètement confiance en mon Maître, et à la fois évidente, comme la seule explication possible de ce silence.

Toujours en marchant (donc sans pouvoir accéder à mes mails), je me mis alors à passer en revue nos échange dans la soirée pour voir où est ce que j’avais commis ma faute. Je me souvenais alors que j’avais osé demandé des choses à mon Maître (en lui proposant que nous dialoguions sur un site de chat, plutôt que par SMS et mail interposée) et que je n’avais pas répondu à son dernier SMS qui m’ordonnais d’aller au lit, et même, me semblait-il oublié de lui souhaiter bonne nuit (en fait il n’en était rien, mais je n’avais pas accès à mes mail à cet instant là).

Je me demandais si une rupture pour un tel motif était vraiment possible, et en même temps je savais que j’avais accumulée pas mal de fautes et l’idée que mon Maître me laisse tomber comme un vieux kleenex commençait à me faire déprimer. L’année 2012 qui semblait si bien commencer, allait être en fait bien noire. Plus je marchais, et plus cette idée s’imposait en moi, et plus je déprimais. J’allais donc retourner à cette vie vide, sans but, sans perspectives, sans sens, qui était la mienne depuis pas mal de temps alors que je venais de vivre des moments si intenses, si plein, et qu’enfin on me guidait, on me prenait en main, on m’imposait un but, et que quelqu’un remplissait ma vie. Plus j’y pensais et plus je déprimais.

Heureusement, vers 15h je recevais enfin un SMS de mon Maître : « Alors ma putain, tu t’inquiète de ne pas avoir de messages ? Sale truie ! » Ouf ! Enfin ! Mon Maître ne m’avait donc pas laissée tomber. J’étais sauvée !

J’interrompais vite ma promenade et rentrais au plus vite chez moi pour lui répondre par mail. Arrivée chez moi, je lui répondais qu’effectivement j’étais très inquiète, que je pensais avoir commis une faute en ne répondant pas à son dernier SMS et ne lui avais pas souhaité bonne nuit.

Il me demanda alors : « Ma putain ! Mes SMS te manquent ? » et m’expliqua dans un autre message, qu’il ne voulais plus que je critique sa façon de communiquer avec moi, qu’il ne voulait pas de question et voulait me montrer que si je n’avait pas de message de lui j’étais perdue et inquiète. C’était réussit !

Je lui répondais « Oh oui, Maître, vos SMS me manquent beaucoup. Mais en même temps je me dis que mon Maître est occupé et qu'il n'a peut être pas trop de temps à perdre avec une sous merde comme moi. Ca n'empêche pas, vos SMS me manquent, Maître, je suis en manque de Vous.

Pardonnez moi Maître d'avoir critiqué votre façon de communiquer avec moi. Je sais que je dois expier cette faute Maître et suis prête pour une punition et vous en remercie d'avance. »

Mon Maître répondit : « je ne veux plus que tu me demande quoi que ce soit ! Tu n’es qu’une truie et une putain, une salope. Tu n’as aucun droit ! » Puis il m’indiqua ma punition pour que cette leçon soit bien comprises : 100 coups de martinet sur les fesses.

Je me punissais immédiatement, trop heureuse d’avoir retrouvée mon Maître. Je frappais du plus fort que je pouvais, en répétant la phrase de son dernier message. Cela faisait vraiment mal, et je sens encore mes fesses qui me brulent quand je suis assise dans le fauteuil de mon bureau pour rédiger ceci. J'ai regardé mon cul dans le grand miroir de la salle de bain. Il était totalement écarlate avec des points rouges, surtout le côté droit.

Après que j’ai informé mon maître du bon déroulement de la punition, il me donna de nouvelles instructions pour cette nuit et ce matin:
·      Dormir nue avec porte jarretelles et bas et soutien gorge.
·      Ne plus boire de café mais du thé.
·      Me donner 30 coups de martinet dès 7h pour bien me rappeler « je suis ton maître et tu n’as qu’une chose à faire c’est d’obéir ! ».
·      Je devrais boire un verre d’eau toutes les heures.
·      Le pipi ne serait autorisé que toutes les heures, à la demie (8h30, 9h30, etc..)
·      Je me coucherai à 11H.
·      Je devrais augmenter les séances avec le gode, séances à 7h, 13h, 17h et 20h, de 15 minutes chaque fois.
·      Acheter des gants en latex pour qu’il explore mon anus, ma bouche te mon corps.


A chaque fois que je lisais un de ses nouveaux message ou que je lui répondait, mon clito commençait à grossir, à suinter, et j’étais obligée d’arrêter le frottage.

Comme il était 17h, je me suis ramonée la chatte pendant une demie heure avec le gode. Cette fois j'avais eu presque plus mal et plus de plaisir.  Dans le préservatif il y avait beaucoup moins de mouille qu'hier, Maître. Je ne sais pas pourquoi, ça doit dépendre des jours.

Alors que j’étais en train de me ramoner la chatte, il m’envoya un SMS : « Tu n’es qu’une merde ! » Ça fait drôle de recevoir un SMS "Tu n'est qu'une merde" alors qu'on est en train de se goder la chatte accroupie, avec les fesses qui brulent encore des 100 coups de martinet que l'on vient de se donner. Du coup regard sur moi même. Et je me suis effectivement senti une vraie merde. Pas de doute j'en suis une.

Mais maintenant je m'en fous, même si j'ai encore un peu honte. C'est trop bon d'être une merde avec Vous, maître. De se sentir appartenir, d'être cadrée, guidée, de s'abandonner à votre Volonté et vos désirs.

Oui je suis à Vous, Maître. Vous me dresserez à votre guise pour faire de moi votre marionnette de plaisir. D’ailleurs je me sens déjà dressée Maître. Merci. Merci. Mille fois merci.

Puis mon Maître me demanda de faire graver une plaque pour moi avec « Peggy la chienne » après notre premier rendez vous. Gasp !! J’essayais d’abord de dire que mon budget était limité. Mais il me proposa de me l’offrir… Je lui avouais alors que j’avais peur de ne pas oser cela. Il me répondit que cela alors ne serait pas pour tout de suite mais que je devrais le faire.

Ensuite, je dînais, et je regardais la télé pour me détendre en me frottant doucement le clito. Mon Maître m’envoya plusieurs SMS, dont celui-ci : « Tu n’es qu’une sous merde. Tu es une putain et une salope. Une chaudasse et bouffeuse de merde ! Une vide couilles. Je suis ton Maître et tu n’as aucun droit. Ma putain aux cuisses écartées ! Dis le !!! Ma grosse truie ! Mon urinoir.» J’ai encore honte de retranscrire ces messages. Surtout celui qui me traite de chaudasse et… Je lui répondais en répétant ses paroles. Sans oser écrire que j’étais une bouffeuse de. J’avais honte. Très honte même, d’autant plus que je savais que mon maître ne parlait jamais à la légère… J’ajoutais que je n’étais plus qu’une chose sans volonté, qu’il était ma volonté, et que j’étais sans droit. Je savais qu'il faudra que j'arrive à ingurgiter toute sa pisse à la source d'un coup, à avaler le jet à toute allure en m’adaptant à Lui, pour ne pas l’importuner avec ma lenteur de déglutition, comme un trou à pisse.

Puis il m’annonça que je n’étais pas sa seule soumise. Qu’il en avait d’autres. Et que je devais l’accepter. Je m’en doutais bien sûr. Car un maître tel que lui doit être très sollicité. Mais c’était dur à entendre. Et je devais l’accepter, je n’avais pas le choix. Mais il me dit que j’avais du « potentiel », et que je pouvais devenir sa putain n°1. Puis il m’envoya me coucher.

Je lui souhait une très bonne nuit, et de très beaux rêves, en espérant en faire partie. Et je me couchais dans la tenue demandée.

C’était mon sixième jour de chasteté. Mais j’étais complètement heureuse.

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